Villaines-sous-Bois

commune française du département du Val-d'Oise

Villaines-sous-Bois est une commune du Val-d'Oise située en plaine de France, et à environ 25 km au nord de Paris.

Villaines-sous-Bois
Villaines-sous-Bois
La mairie.
Blason de Villaines-sous-Bois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité Communauté de communes Carnelle Pays-de-France
Maire
Mandat
Patrice Robin
2020-2026
Code postal 95570
Code commune 95660
Démographie
Gentilé Villainoises, Villainois
Population
municipale
775 hab. (2021 en évolution de +1,44 % par rapport à 2015)
Densité 410 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 37″ nord, 2° 21′ 28″ est
Altitude Min. 111 m
Max. 127 m
Superficie 1,89 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Belloy-en-France
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fosses
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Villaines-sous-Bois
Liens
Site web https://villaines-sous-bois.fr/

Ses habitants sont les Villainoises et les Villainois.

Géographie

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Localisation

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Villaines-sous-Bois est située près de l’autoroute A16 et de la Croix Verte, qui offre un accès rapide à Paris, à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle et à la ville nouvelle de Cergy-Pontoise.

Communes limitrophes

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La commune est limitrophe de Belloy-en-France, Villiers-le-Sec, Attainville, Maffliers et Saint-Martin-du-Tertre.

Communes limitrophes de Villaines-sous-Bois[1]
Saint-Martin-du-Tertre Belloy-en-France
Maffliers   Villiers-le-Sec
Attainville

Transports et déplacements

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Villaines-sous-Bois est desservie par la gare de Villaines, sur la ligne H du Transilien, branche Paris-NordLuzarches.

La gare est desservie à raison d'un train omnibus par heure en heures creuses et par un train semi-direct à la 1/2 heure (direct de Sarcelles - Saint-Brice à Montsoult-Maffliers et omnibus ensuite) en pointe. Il faut de 33 à 36 minutes de trajet à partir de la gare du Nord.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Villaines-sous-Bois est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belloy-en-France[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Toponymie

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La localité était désignée Villanæ[13], Villena en 1004, Villainnes vers 1272[14], Villennes[13].

La commune est instituée par la Révolution française sous le nom de Villaine en 1793, puis de Villaines[15]. En 1922, elle est renommée Villaines-sous-Bois[16].

Le nom de Villaines provient de villana, dérivé du latin villa, la ferme. Le nom du village dénommé Villena in Parisiaco apparaît pour la première fois en 838 sur le testament d'Aldric, évêque du Mans[réf. nécessaire].

Histoire

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L'abbaye Saint-Martin de Pontoise perçoit la dîme dès le XIIIe siècle.

Sur un acte de 1294, Mathieu IV de Montmorency, chambellan de France, cède six villages dont Villaines à l’abbaye de Saint-Denis, en échange du fief de Berneval-en-Caux.

La seigneurie passe à Jean Guyard en 1476, puis à Jean de Vignolles au début du XVIe siècle, et à Guillaume de Verthamont et son épouse Denise Le Beau en 1597.

La terre est acquise en 1641 par Macé Le Boulanger, prévôt des marchands de Paris.

Outre la grande culture céréalière, le travail de la dentelle réalisé par les femmes fait vivre les villageois du XVII e au XIXe siècle.

En 1804, la commune, instituée par la Révolution française compte 145 habitants.

La construction d'édifices publics, et surtout la réalisation du chemin de fer (ligne de Montsoult - Maffliers à Luzarches) par la compagnie des chemins de fer du Nord en 1880 entraîne la modernisation du village.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du [17], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Écouen du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Viarmes[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Fosses.

Villaines-sous-Bois fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en [18]), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[19],[20].

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la Communauté de communes Carnelle - Pays de France créée en 2005.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), le schéma départemental de coopération intercommunale du Val-d’Oise prévoit la fusion des deux communautés de communes Pays de France et Carnelle Pays de France, soit près de 31 500 habitants répartis sur 19 communes[21]. Cette fusion est effective le (hormis pour la commune de Noisy-sur-Oise qui rejoint la communauté de communes du Haut Val-d'Oise).

Une nouvelle communauté de communes Carnelle Pays-de-France, dont la commune fait désormais partie, est ainsi créée par un arrêté préfectoral du qui prend effet le [22],[23],[Note 4].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1899 1903 Louis Bulte    
1903 1903 Louis Bouilliette    
1903 1904 Henri Bouillette    
1904 1904 Lequertier Jules    
1904 1908 Louis Bouilliette    
1908 1909 Louis Bulte    
1909 1919 Narcisse Leclere    
1919 1924 Justin Regnouard    
1924 1925 Eugène Bernet    
1925 1927 Louis Maréchal    
1927 1929 Henri Maurin    
1929 1941 Justin Regnouard    
1941 1945 Paul Jalle    
1945 1947 Henri Maurin    
1947 1953 Marcel Dandoy    
1953 1956 Roger Hiet    
1956 1959 Désiré Boyaval    
1959 1965 Camille Moureau    
1965 1989 Pierre Baspeyre    
mars 1989 2014 Louis Bourles[25]   Ingénieur
2014[26] En cours Patrice Robin UMP-LR Vice président ( ? → 2016) puis président (2017 → ) de la CC Carnelle Pays de France
Conseiller départemental de Fosses (2021 → )
Réélu pour le mandat 2020-20026[27]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 775 habitants[Note 5], en évolution de +1,44 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
14414515099128120120122101
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1111031029599104979294
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
958986109111119132140163
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
184217199382475583649668703
2018 2021 - - - - - - -
782775-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'école primaire a été baptisée en 2009 Les Camélias-Yann-Arthus-Bertrand en l'honneur du photographe Yann Arthus-Bertrand[31]. A la rentrée 2011, elle comptait 93 élèves, répartis en 4 classes à deux niveaux[32].

Économie

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En 2017, la commune est dépourvue de commerces, à l'exception d'une jardinerie. La municipalité souhaite de longue date utiliser l’ancien bâtiment de la mairie pour y installer un café-restaurant, dans lequel les habitants pourraient retrouver d’autres services[33]

Culture locale et patrimoine

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L'église Notre-Dame-de-la-Nativité.

Lieux et monuments

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Villaines-sous-Bois ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire :

La paroisse est attestée dès le milieu du XIIIe siècle, et de cette époque pourrait dater le clocher, sans caractère particulier.
Pendant la seconde moitié du XVIe siècle, le chœur est reconstruit dans un style hésitant entre le gothique flamboyant, pour le profil des nervures de la voûte et l'emploi de l'arc brisé, et la Renaissance, pour les clés de voûte pendantes et les chapiteaux.
Le chœur ne comporte qu'une unique travée carrée et est très basse, mais il se distingue par son architecture raffinée, insoupçonnée pour une minuscule église rurale. La nef est une simple salle rectangulaire, qui a reçu sa forme actuelle au XVIIIe siècle[35],[36].
L'église a été restaurée en 1926 et après son inscription aux monuments historiques, et se trouve aujourd'hui dans un parfait état de conservation. Malgré la petite taille du village, elle accueille des messes dominicales anticipées chaque samedi soir. Elles sont célébrées selon la forme tridentine du rite latin.

On peut également signaler :

Personnalités liées à la commune

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  • Louis Jules Duboscq (1817-1886), photographe, inventeur et fabricant d’instruments d’optique, est né à Villaines-sous-Bois.

Héraldique

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  Blason
D'azur à la fasce d'or, accompagnée en chef d'un clou de la Passion d'argent accosté de deux fleurs de lys d'or et en pointe d'une rose d'argent.
Détails
La fasce d’or et la rose proviennent des armes des Leboulanger, seigneurs de Villaines au XVIIe siècle, depuis que Macé Leboulanger, prévôt des marchands de Paris, en fit l’acquisition en 1641 à titre d’échange contre 750 livres de rentes versés à André de Verthamont, ancien propriétaire des terres.
Le chef rappelle que le village devint propriété de l’abbaye de Saint-Denis en 1294, par acte de cession de Mathieu de Montmorency, chambellan de France.

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Villaines-sous-Bois », p. 982–983
  • Éliane Beau et Jean-Pierre Beau, Histoire de Montsoult et de Maffliers : Seigneurs et barons de Maffliers - Montsoult - Béthemont ; notes historiques sur les pays voisins : Villaines et Nerville, Saint-Ouen-l'Aumône, éd. du Valhermeil, , 415 p. (ISBN 2-905684-66-6), p. 395-406

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Belloy-en-France comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. La dénomination officielle de l'intercommunalité créée en 2005 comprend un tiret entre Carnelle et Pays de France. Par contre, il n'y a pas de tiret dans le nom de l'intercommunalité créée en 2017.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. « Communes limitrophes de Villaines-sous-Bois » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Villaines-sous-Bois et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le Bourget » (commune de Bonneuil-en-France) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Belloy-en-France », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Villaines-sous-Bois ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France - Page 399
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Décret du 20 juin 1922 autorisant les communes de Jagny et de Villaines (Seine-et-Oise) à porter à l'avenir les noms de « Jagny-sous-Bois » et de « Villaines-sous-Bois », Bulletin des lois de la République française, no 324,‎ , p. 1388-1389 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
  17. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  18. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
  19. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  20. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  21. « Carnelle Pays de France : une nouvelle communauté de communes au  »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur carnelle-pays-de-france.fr (consulté le ).
  22. « Arrêté préfectoral du 20 décembre 2016 portant fusion des communautés de communes « Carnelle - Pays de France » et du « Pays de France » au  », Recueil des actes administratifs de l'État dans le Val-d'Oise, no 55,‎ , p. 18-25 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  23. « CC Carnelle Pays-de-France (N° SIREN : 200073013) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  24. « Tous les Maires de Villaines-sous-bois »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), La municipalité, sur villaines-sous-bois.fr (consulté le ).
  25. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture du Val-d'Oise - Liste des maires du département du Val-d'Oise, avril 2008
  26. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
  27. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Yann Arthus-Bertrand à la rencontre des enfants : Le photographe écologiste Yann Arthus-Bertrand a rendu visite hier aux élèves de l'école qui porte son nom, pour parler d'environnement », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « L'école »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur villaines-sous-bois.fr (consulté le ).
  33. Thibault Chaffotte, « Villaines-sous-Bois : la municipalité veut installer un commerce », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Notice no PA00080230, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Mathieu Lours, « Villaines-sous-Bois - Notre-Dame de la Nativité », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 286 (ISBN 9782953155402).
  36. Pierre Autin, Daniel Baduel, Yves Breton et M. Johnson, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 982-983 (ISBN 2-84234-056-6).