Threema

Informations
Développé par	Threema GmbH
Première version	12 décembre 2012
Dernière version	4.63 (Android, 4 janvier 2022), ; 4.6.14 (iOS, 20 décembre 2021), ; 4.61 (Huawei AppGallery, 6 décembre 2021)
Dépôt	https://github.com/threema-ch
État du projet	en développement actif
Écrit en	Java (Android), Swift et Objective-C (iOS), JavaScript (web), Python (protocole de communication)
Environnement	Android, iOS, macOS, Windows et Linux
Langues	Allemand, anglais, basque (Espagne), chinois (traditionnel et simplifié), espagnol, français, italien, japonais, néerlandais, portugais brésilien, polonais, romanche, russe, slovaque, tchèque, turc
Type	Application mobile
Politique de distribution	Payant à l'achat
Licence	AGPL-3.0
Site web	https://threema.ch

Threema (prononcé : /ˈθɹiː.mə/) est une application de messagerie instantanée chiffrée de bout en bout développée par la société suisse Threema GmbH^[1]. Avec 6 millions d'utilisateurs^[2], principalement en Allemagne, en Suisse et en Autriche, les spécialités de l'application sont la confidentialité et l'anonymat. Ainsi, l'inscription ne nécessite ni numéro de téléphone, ni email. Les serveurs sont situés en Suisse^[1] et le développement se fait à Pfäffikon.

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Les messages peuvent être textuels ou multimédia. L'application est disponible pour Android et iOS. Elle est recommandée par des spécialistes, tels que Stéphane Koch^[3], comme alternative, plus respectueuse des données personnelles, à WhatsApp ou Facebook Messenger.

Fonctionnalités et spécificités

Confidentialité et anonymat : ne nécessite ni numéro de téléphone ni email^[4].
Aucune donnée n’est conservée par la société, les messages sont supprimés des serveurs (localisés en Suisse) après réception par le destinataire^[4].
Open Source^[5].
Verrouillage des conversations privées avec un code PIN^[6].
Vidéos, images et partage des localisations.
Envoi de n’importe quel type de fichier (pdf, gif animé, mp3, doc, zip, etc.).
Création de groupes.
Création de sondages avec fonctionnalités de sondages^[2].
Utilisation de Threema web^[7] pour discuter depuis un PC.
Synchronisation des contacts (optionnelle).
Réponse rapide et en silence avec la fonctionnalité originale d’accord/pas d’accord.
Auto-suppression des messages après une période définie par les interlocuteurs, à l'instar de Signal ou Telegram ou Olvid.

Points négatifs

Application payante.
Quelques fonctionnalités disponibles sur les appareils mobiles ne sont pas prises en charge dans l’app desktop / le client web.

Notes et références

↑ ^{a et b} (en) « The Threema Story », sur threema.ch (consulté le 10 janvier 2021)
↑ ^{a et b} « Threema, l’app suisse qui rivalise avec WhatsApp et Telegram », Le Temps,‎ 16 août 2020 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 10 janvier 2021)
↑ Henry Buxant, « On en parle : WhatsApp trahit ses utilisateurs » [MP3], RTS, 31 août 2016 (consulté le 26 mai 2018).
↑ ^{a et b} « La messagerie sécurisée Threema passe en open source / Guide Open Source », sur Guide Open Source (consulté le 10 janvier 2021)
↑ (en) « Open Source - Threema », sur threema.ch (consulté le 10 janvier 2021)
↑ « Les meilleures alternatives à WhatsApp », sur IONOS Digital Guide (consulté le 17 novembre 2022)
↑ (en) « Features - Threema », sur threema.ch (consulté le 10 janvier 2021)

Voir aussi

Articles connexes

[:1-1] {a et b} (en) « The Threema Story », sur threema.ch (consulté le 10 janvier 2021)

[:2-2] {a et b} « Threema, l’app suisse qui rivalise avec WhatsApp et Telegram », Le Temps,‎ 16 août 2020 (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le 10 janvier 2021)

[3] Henry Buxant, « On en parle : WhatsApp trahit ses utilisateurs » [MP3], RTS, 31 août 2016 (consulté le 26 mai 2018).

[:0-4] {a et b} « La messagerie sécurisée Threema passe en open source / Guide Open Source », sur Guide Open Source (consulté le 10 janvier 2021)

[5] (en) « Open Source - Threema », sur threema.ch (consulté le 10 janvier 2021)

[6] « Les meilleures alternatives à WhatsApp », sur IONOS Digital Guide (consulté le 17 novembre 2022)

[7] (en) « Features - Threema », sur threema.ch (consulté le 10 janvier 2021)

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