Saint-Georges-d'Aurac
Saint-Georges-d'Aurac est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Saint-Georges-d'Aurac | |||||
Église Saint-Georges. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Rives du Haut Allier | ||||
Maire Mandat |
Alain Garnier 2020-2026 |
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Code postal | 43230 | ||||
Code commune | 43188 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Auracois(es) | ||||
Population municipale |
475 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 09′ 26″ nord, 3° 32′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 557 m Max. 911 m |
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Superficie | 17,42 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Langeac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Lafayette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
modifierLa commune est située à 624 mètres d'altitude et est proche du parc naturel régional Livradois-Forez.
Localisation
modifierLa commune de Saint-Georges-d'Aurac se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 22 km de Brioude[2], sous-préfecture, et à 4 km de Mazeyrat-d'Allier[3], bureau centralisateur du canton du Pays de Lafayette dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Chavaniac-Lafayette (3,1 km), Mazerat-Aurouze (3,7 km), Mazeyrat-d'Allier (4,1 km), Couteuges (4,9 km), Cerzat (4,9 km), Paulhaguet (6,1 km), Jax (6,2 km), Chassagnes (6,5 km).
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chavaniac-Lafa », sur la commune de Chavaniac-Lafayette à 3 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 766,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Georges-d'Aurac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Langeac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55 %), zones agricoles hétérogènes (35,9 %), forêts (4 %), terres arables (3,3 %), zones urbanisées (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 312, alors qu'il était de 300 en 2013 et de 279 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 66,9 % étaient des résidences principales, 17,8 % des résidences secondaires et 15,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6,6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Georges-d'Aurac en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (17,8 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,9 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Saint-Georges-d'Aurac[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 66,9 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 17,8 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,3 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
modifierTrois changements de nom de Saint-Georges-d'Aurac ont été référencés au cours de l'histoire de la commune :
- 1789 : Aurac-Chavagnac
- 1793 : Aurat
- 1801 : Saint-Georges-d'Aurat
Histoire
modifierEntre 1790 et 1794, Saint-Georges absorbe la commune éphémère de Chavagnat[15]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Aurac-Chavagnac[16].
En 1842, la commune absorbe celle voisine de Flageat et, en 1880, cède une partie de son territoire pour former la commune de Chavaniac-Lafayette[16].
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Saint-Georges-d'Aurac est membre de la communauté de communes des Rives du Haut Allier[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Langeac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Pays de Lafayette pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[18].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].
En 2021, la commune comptait 475 habitants[Note 4], en évolution de +1,71 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 225 hommes pour 244 femmes, soit un taux de 52,03 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (50,87 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 208 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 457 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 210 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 11] | 7,6 % | 10,5 % | 7,1 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 276 personnes, parmi lesquelles on compte 76,5 % d'actifs (69,4 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 23,5 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Langeac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 125 emplois en 2018, contre 109 en 2013 et 100 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 194, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,8 %[I 15].
Sur ces 194 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 40 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 85,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Château de Flaghac[23] ;
- Église Saint-Georges ;
- Maison-forte d'Azinière datant du 15e siècle et du 18e siècle[24].
Le nom de la commune est surtout connu pour sa gare (Saint-Georges-d'Aurac Gare) située à la bifurcation de deux lignes SNCF venant de Nîmes vers Clermont-Ferrand, sur la ligne des Cévennes et la ligne vers Le Puy-en-Velay (Ligne Saint-Georges-d'Aurac - Saint-Étienne). Cette gare n'est pourtant pas située sur le territoire communal, mais sur celui de Mazeyrat-d'Allier. Jusques en 1992, un point d'arrêt sur la seconde ligne, nommé Aurac-Lafayette, desservait le village.
Personnalités liées à la commune
modifier- Antoine Rongiès (1754-1807), né et décédé à Flageac, homme politique, député de la Haute-Loire en 1791 à l'Assemblée nationale législative.
- Louis de Cazenave (1897-2008), un des 2 derniers poilus et doyen des hommes français du à sa mort le , est né dans la commune.
Bibliographie
modifier- J.P Marty, « Etude du volcanisme récent de la région de Saint-Georges d'Aurac », Almanach de Brioude, Brioude,
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Georges-d'Aurac ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Georges-d'Aurac » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Georges-d'Aurac - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Georges-d'Aurac - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Georges-d'Aurac (43188) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Georges-d'Aurac » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Georges-d'Aurac » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Georges-d'Aurac » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Georges-d'Aurac et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Georges-d'Aurac et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Georges-d'Aurac et Mazeyrat-d'Allier », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Georges-d'Aurac », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Georges-d'Aurac et Chavaniac-Lafayette », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chavaniac-Lafa », sur la commune de Chavaniac-Lafayette - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chavaniac-Lafa », sur la commune de Chavaniac-Lafayette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Langeac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chavanat », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « communauté de communes des Rives du Haut Allier - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Château de Flaghac », notice no PA00092843, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison-forte d'Azinière », notice no PA00092844, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture