Rue du Douanier-Rousseau (Paris)
rue de Paris, en France
La rue du Douanier-Rousseau est une voie du 14e arrondissement de Paris, en France.
14e arrt Rue du Douanier-Rousseau
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Situation | |||
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Arrondissement | 14e | ||
Quartier | Petit-Montrouge | ||
Début | 108, rue de la Tombe-Issoire | ||
Fin | 13, rue du Père-Corentin | ||
Morphologie | |||
Longueur | 60 m | ||
Largeur | 15 m | ||
Historique | |||
Dénomination | 1949 | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 2935 | ||
DGI | 2915 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 14e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
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Situation et accès
modifierLa rue du Douanier-Rousseau est une voie publique située dans le 14e arrondissement de Paris. Elle débute au 108 de la rue de la Tombe-Issoire et se termine au 13 de la rue du Père-Corentin. Il ne faut pas la confondre avec une autre voie du même arrondissement qui rend hommage au même peintre, la rue du Douanier[1].
Origine du nom
modifierElle porte le nom du peintre français Henri Rousseau, dit le Douanier Rousseau (1844-1910).
Historique
modifierLa voie est ouverte et prend sa dénomination par arrêté du .
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Immeuble au croisement avec la rue du Père-Corentin.
Annexes
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Rue du Douanier-Rousseau (mairie de Paris)
Références
modifier- Dans le tome 2 du Guide de Paris mystérieux (éditions Tchou, 1975, p. 20), un article signé F.C. (François Caradec) raconte l'origine de cette voie : « Impasse privée, la rue du Douanier fut longtemps habitée par des peintres (Foujita, Derain et Braque, qui y est mort). Ils construisirent leurs ateliers sur des terrains qui ne valaient pas grand-chose, et prirent entre eux l'habitude de baptiser leur rue du nom du Douanier Rousseau. En 1927, la municipalité ratifia leur choix, et dénomma l'impasse rue du Douanier. Mais il faut croire que les conseillers municipaux ont oublié (ou ignorent) cette origine, car, en 1949, ils donnèrent à une autre rue toute proche le nom de rue du Douanier-Rousseau. C'est ainsi que Rousseau, qui ne fut jamais douanier – mais simple employé d'octroi – possède maintenant deux rues à Paris, dans le même arrondissement… » La rue du Douanier a été évoquée par Léo Malet au chapitre II de son roman Les Rats de Montsouris (1955).