Puilboreau

commune française du département de la Charente-Maritime

Puilboreau est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime, en région de Nouvelle-Aquitaine.

Puilboreau
Puilboreau
Église de Puilboreau.
Blason de Puilboreau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement La Rochelle
Intercommunalité Communauté d'agglomération de La Rochelle
Maire
Mandat
Alain Drapeau
2020-2026
Code postal 17138
Code commune 17291
Démographie
Gentilé Puilborains
Population
municipale
6 635 hab. (2021 en évolution de +11,83 % par rapport à 2015)
Densité 842 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 11″ nord, 1° 06′ 57″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 35 m
Superficie 7,88 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine La Rochelle
(banlieue)
Aire d'attraction La Rochelle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aytré
Législatives Première circonscription
Localisation
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Puilboreau
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Puilboreau
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Puilboreau
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Puilboreau
Liens
Site web www.mairie-puilboreau.fr

Ses habitants sont appelés les Puilborains et les Puilboraines[1].

Géographie

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Puilboreau est située au nord-est de La Rochelle, en agglomération quasi-continue avec cette dernière, en particulier au niveau des quartiers Lafond ou Moulin-des-Justices.

Sur la commune s'étend la zone commerciale de Beaulieu, créée à la fin des années 1960 le long de la RN 11. Avec près de 200 enseignes sur une emprise de 74 hectares, elle est aujourd'hui un des principaux pôles commerciaux de l'agglomération rochelaise, sur l'ensemble de laquelle s'étend son rayonnement, et a largement contribué à la prospérité de la commune.

Puilboreau bénéficie également du calme de ses zones pavillonnaires et de son bois de 10 hectares, la Tourtillère, ouvert en de multiples circuits pour les sportifs ou les promeneurs.

Hameaux et lieux-dits

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La commune comprend plusieurs hameaux, lieux-dits ou villages, tels La Motte, La Vallée, Le Treuil Gras, Le Temps Perdu (aggloméré à la commune voisine de Saint-Xandre) ou une partie du village du Payaud, partagé avec les communes de Nieul-sur-Mer et, dans une moindre mesure, de Lagord.

Communes limitrophes

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Urbanisme

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Typologie

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Au , Puilboreau est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Rochelle, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[4],[5]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Rochelle, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[5]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,2 %), zones urbanisées (31,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Puilboreau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2001 et 2010[11],[9].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puilboreau.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[12].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 50,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 348 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 152 sont en aléa moyen ou fort, soit 49 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[14].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

Toponymie

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C'est en 1199 qu'est mentionné le village sous le nom de Podioliborelli lors de la réception d'une délégation rochelaise par Aliénor d'Aquitaine. Le toponyme a ensuite évolué en Polyboreau, Puy-le-Boreau, Pilboreau et enfin Puilboreau.

Si la mention latine podioli (podiolum) signifie « la petite colline », du latin podium « hauteur, lieu élevé », la suite du toponyme reste obscure et évoque très probablement un nom de personne : Boreau[16].

En saintongeais, la commune est appelée Peulbouria.

Histoire

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Puilboreau devient une commune en 1858 à partir de ses voisines Cognehors, aujourd'hui disparue (Cognehors fut divisée entre La Rochelle, Dompierre et Périgny, la partie restante du territoire participant à la formation de Puilboreau), Lagord et Dompierre-sur-Mer. Elle regroupait à cette époque une population voisine de 310 habitants.

Les premières mentions du village datent du XIIe siècle, alors nommé « Podioliborelli » lors de la réception d'une délégation rochelaise par la reine Aliénor d'Aquitaine. Par la suite, son nom subit des modifications (« Puyle-Boreau », « Pilboreau ») pour enfin devenir « Puilboreau ». Au XVIe siècle, le territoire de la commune actuelle est partagé entre de nombreuses petites seigneuries telles que Puilleboreau, Baillac, La Tourtillière et La Vallée.

Le , Philippe Strozzi, colonel général de l'infanterie, arrive avec une partie des Gardes françaises et quelques autres régiments au village de Puy-le-Boreau et investit La Rochelle, dont le siège commence au printemps de 1573.

Le domaine de la seigneurie accueillit des vignobles dès le Moyen Âge, le vin se vendait principalement à La Rochelle ou se transformait sur place, dans des brûleries, en une eau-de-vie assez célèbre au temps de Philippe Auguste.

Dans un contexte de crise agricole, notamment lié au phylloxéra en 1875, les agriculteurs durent se reconvertir. La vigne fut arrachée et remplacée par du blé et par le développement de l'élevage. La première ferme-école de France est fondée sur ces terres. Une variété de betteraves est alors créée par monsieur Bouscasse, ingénieur agronome, directeur de la ferme-école de Grammont - la betterave de Puilboreau - qui se répandit par la suite dans toute la France[17].

Actuellement, la ville bénéficie de l'attractivité de La Rochelle. Son économie repose sur environ 300 entreprises (6 % industrie ; 12 % construction ; 57 % commerce ; 18 % services ; 5 % agriculture)[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Liste des maires

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L’intercommunalité dans l’agglomération rochelaise date des années 1970. Au fil des changements de statuts et de l’élargissement du territoire par l’adhésion de nouvelles communes, la collectivité est passée de la solidarité intercommunale à celle due aux plus fragiles de ses résidents, les dernières compétences acquises relevant du domaine social.

Sivom

Créé en 1964, le Syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) regroupait alors 9 communes : La Rochelle, Aytré, Périgny, Saint-Rogatien, Puilboreau, Lagord, Châtelaillon-Plage, Angoulins-sur-Mer et L’Houmeau. Elles se partageaient la gestion de certains services difficiles à concevoir à l’échelle d’une seule localité : transports, gestion des déchets, traitement des eaux usées et production d’eau potable.

Communauté de villes

L’agglomération rochelaise a joué le rôle de pionnière dans l’Hexagone, en expérimentant un mode de relation intercommunale impliquant la taxe professionnelle unique, soit la mise en un « pot commun » de cette taxe sur les entreprises au profit de projets et compétences intéressant toute l’agglomération.

Créée le avec les communes de l’ancien Sivom, la communauté de villes (CDV) enregistrait un an plus tard l’adhésion de Nieul-sur-Mer, Saint-Xandre, La Jarne, Dompierre-sur-Mer, Salles-sur-Mer et Saint-Vivien.

En , trois autres communes adhéraient : Esnandes, Marsilly et Sainte-Soulle, portant à 18 leur nombre total.

Communauté d’agglomération

En , la CDV se transformait en CDA, se conformant ainsi aux statuts sur l’intercommunalité inscrits dans la loi Chevènement du . Un passage en douceur puisqu’il n’entraînait pas de grande perturbation dans la représentativité des communes, le financement ou l’organisation du travail déjà expérimentés avec la CDV. Ce passage en communauté d’agglomération a permis d’étendre les compétences au domaine social en intégrant la politique de la ville et l’équilibre social de l’habitat, notamment.

 
La mairie de Puilboreau.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1858 1865 Guillaume Dayras   Propriétaire
1865 1882 Édouard Bouscasse   Directeur et fondateur de la Ferme-Ecole (Baillac puis Grammont)
Chevalier de La Légion d'honneur
1882 1885 Alfred-Hilaire Renaud   Propriétaire de La Tourtillère
1885 1908 Pierre Autrusseau   Propriétaire cultivateur
1908 1934 Pierre Gaillard   Propriétaire cultivateur
1934 1935 Jean Lévêque   Propriétaire cultivateur au Payaud
1935 1938 Emile Coupeau    
1938 1945 Jean Lévêque   Chassé de ses fonctions par le Comité de Libération
1945 1946 Roger Morgat   Propriétaire cultivateur
1946 1947 Edmond Briaud   Propriétaire cultivateur
1947 1953 Roger Morgat    
1953 1965 Jean Daniaud    
1965 1971 Roger Morgat    
1971 1981 Jean Filippi    
1981 2014 Jack Proust PRG Retraité de l'Éducation nationale
Conseiller général du canton de La Rochelle-5 (1992-2011)
2014 2016 Jean-François Vatré PRG jugé inéligible pour 3 ans en avril 2016
2016 En cours Alain Drapeau DVG Retraité de l'agriculture

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 6 635 habitants[Note 2], en évolution de +11,83 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4327657297327951 0021 0621 1901 251
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5051 0061 0269639771 0721 005930936
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8598939108328519139031 0561 208
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 3421 4842 1092 6344 0674 6224 8364 9905 322
2014 2019 2021 - - - - - -
5 9116 5566 635------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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La commune accueille de nombreux commerces dans la Zone commerciale de Beaulieu-Est, dont des enseignes connues comme But, Hyper U, Décathlon, Leroy Merlin, Darty, Truffaut, Conforama, Fnac, Cultura, Kiabi[22]... ainsi qu'un important transformateur électrique de 380 000 Volts[23] situé rue de l'EDF.

  • Rugby Club de Puilboreau.
Joueurs emblématiques

Jumelages

  Autrans (France)

Lieux et monuments

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  • La Tourtillière . M. Lessenne, capitaine, armateur, prêteur, propriétaire de plantations de canne à sucre à Saint Domingue achète le domaine de La Tourtillère et y fait reconstruire le château à la fin du XVIIIe siècle sur l'emplacement de l'ancien château en ruines. Restauré, le domaine accueille désormais la majorité des clubs sportifs de la commune ainsi que les activités culturelles : théâtre, musique, danse et peinture.
  • L'église Saint-Louis . La construction de ce monument a été fortement perturbée par la crise économique liée au phylloxéra qui détruisit la totalité du vignoble. Elle fut terminée grâce aux donations de paroissiens, puis bénie le , placée sous l'invocation de saint Louis.
  • La ferme-école de Grammont, créée dans le contexte de la crise du phylloxéra en 1875.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blasonnement :
De gueules aux deux ancres de marine d’or passées en sautoir, à l’écusson d’argent semé de lys d’azur et sommé d’une couronne de comte aussi d’or perlée aussi d’argent brochant en abîme[24].

Voir aussi

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de La Rochelle », sur insee.fr (consulté le ).
  5. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Rochelle », sur insee.fr (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Puilboreau », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Puilboreau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  16. « Histoire - Puilboreau », sur mairie-puilboreau.fr (consulté le ).
  17. « Accueil - Site officiel de la ville de Puilboreau », sur Site officiel de la ville de Puilboreau (consulté le ).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Nielsen Tradedimensions, Panorama 2020 : Le guide de la distribution, Bezons, Nielsen, , 1250 p. (ISSN 0299-4690), p. 447.
  23. Alice Robinet, « La Rochelle : l'incendie d'un transformateur à Puilboreau provoque des pannes d'électricité », sur francetvinfo.fr, France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  24. « Gaso.fr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

Liens externes

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