Mike Crapo

sénateur des États-Unis pour l'Idaho depuis 1999

Michael Dean Crapo, dit Mike Crapo, né le à Idaho Falls (Idaho), est un homme politique américain, membre du Parti républicain. Il est élu du deuxième district congressionnel de l'Idaho à la Chambre des représentants des États-Unis de 1993 à 1999 et sénateur de l'Idaho au Congrès des États-Unis depuis 1999.

Mike Crapo
Illustration.
Mike Crapo en 2019.
Fonctions
Sénateur des États-Unis
En fonction depuis le
(25 ans, 11 mois et 8 jours)
Élection 3 novembre 1998
Réélection 2 novembre 2004
2 novembre 2010
8 novembre 2016
8 novembre 2022
Circonscription Idaho
Législature 106e, 107e, 108e, 109e, 110e, 111e, 112e, 113e, 114e, 115e, 116e, 117e et 118e
Groupe politique Républicain
Prédécesseur Dirk Kempthorne
Représentant des États-Unis

(6 ans)
Élection 3 novembre 1992
Réélection 8 novembre 1994
5 novembre 1996
Circonscription 2e district de l'Idaho
Législature 103e, 104e et 105e
Prédécesseur Richard H. Stallings
Successeur Mike Simpson
Sénateur de l'Idaho

(8 ans)
Circonscription 32e district de l'Idaho
Successeur Mel Richardson
Biographie
Nom de naissance Michael Dean Crapo
Date de naissance (73 ans)
Lieu de naissance Idaho Falls (Idaho, États-Unis)
Nationalité Américaine
Parti politique Parti républicain
Religion Mormonisme[1]

Biographie

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Mike Crapo est né le à Idaho Falls en Idaho.

Diplômé en droit d'Harvard, devint avocat en Idaho et un militant du Parti républicain.

De 1985 à 1992, il est sénateur de l'État de l'Idaho.

De 1993 à 1999, il est député à la Chambre des représentants des États-Unis, réélu en 1994 et 1996.

En novembre 1998, il est élu sénateur de l'Idaho au Sénat des États-Unis et reprend le siège laissé vacant par le sénateur républicain Dirk Kempthorne, élu gouverneur.

En 2004, Crapo est réélu avec 99 % des voix, sans opposition démocrate et contre un candidat indépendant. Il est réélu en 2010 et 2016.

Son siège de sénateur républicain de l'Idaho au Congrès fédéral est considéré comme le plus sûr politiquement du Sénat.

Il s'est engagé pour le retrait des États-Unis de l'accord de Paris sur le climat[2]. Lui-même a reçu des fonds des industries du pétrole, du gaz et du charbon pour financer ses campagnes électorales[2].

Alors qu'il siège à la commission des Finances du Sénat, il s'élève contre le projet d'introduction au niveau mondial d'un taux minimum d’imposition de 15% sur les multinationales, déclarant que les États-Unis « n’étaient pas enclins à accepter un accord qui continue de cibler les compagnies américaines »[3].

Notes et références

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  1. (en) « Faith on the Hill », sur pewforum.org, (consulté le ).
  2. a et b « The Republicans who urged Trump to pull out of Paris deal are big oil darlings », sur the Guardian,
  3. Justine Daniel, « Le Parti républicain, obstacle majeur aux ambitions fiscales de Biden », sur Libération,

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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