Michel Conte

Auteur compositeur québécois

Michel Conte, né Michel Seunes le à Villeneuve-sur-Lot et mort le en Tunisie[1], est un chorégraphe français pour la télévision et la scène, auteur-compositeur-interprète et metteur en scène d'opéras, d'opérettes et de comédies musicales.

Michel Conte
Michel Conte au piano lors d’un concert privé en 1964.
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 75 ans)
Nom de naissance
Michel Jean Henri Seunes
Nationalités
Formation
Activités

Biographie

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Michel Conte est issu d'une famille paysanne. Il a une sœur. Son père fut membre de la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale[2]. Il tiendrait sa vocation de sa mère.[Interprétation personnelle ?][2]

Son talent ayant été remarqué, il quitte sa Gascogne natale à treize ans pour étudier le piano et la composition au Conservatoire de Paris, peut-être pour échapper à sa famille. Après une dispense il obtient à quinze ans la première partie du BAC mais ne pourra terminer ses études à cause de la tuberculose et de la leucémie dont il est atteint, et qui l’obligent à interrompre ses études musicales après l’obtention d’un deuxième prix de piano à dix-sept ans et après avoir suivi des cours d’orchestration avec Elsa Barraine.[réf. nécessaire]

Michel Conte étudie la danse chez Gina Bartissol à Biarritz. Il entre dans le corps de ballet de l’Opéra de Strasbourg à dix-neuf ans, à temps pour la saison d’été au grand Théâtre de Vichy, en 1951. Il quitte Vichy pour Bordeaux où il rencontre Annie Fiedler, première danseuse allemande de la troupe de la ville. Puis c’est le Casino de Paris avec Jeannine Monin. Son essai Les Évangiles s'inspirera de sa relation amoureuse avec elle.[réf. nécessaire]

Après ce retour à Paris, il rencontre Paul Vervisch, un critique de danse qui le fait évoluer dans le milieu artistique de l'époque. Au début de la vingtaine, il rencontre Cocteau après un rêve prémonitoire au cours de la nuit précédente. Il est présenté dans le salon de la vicomtesse de Noailles où règne Leonor Fini autour de 1952.[réf. nécessaire]

En 1954, il rencontre Charles Trenet qui lui prodigue ses encouragements. Suivent des cours d’orchestration donnés par Maurice Thiriet. Il croise Raoul Jobin à la Maison du Québec à Paris la même année. Autre tournée des salons parisiens où Conte, un habitué, est mis en présence du Prince Alexandre Volynski avec lequel il se lie d’amitié et plus. L’auteur de Nu… comme dans nuages le décrit comme un excellent conteur qui lui fait vivre l’exil des grandes familles nobles à Paris pour fuir la révolution. Chez « Chura », il rencontre le Prince Youssoupof qui lui aurait raconté comment il fut utilisé pour attirer le moine Raspoutine dans un piège afin de le tuer.[réf. nécessaire]

Il travaille à l’âge de vingt-deux ans avec Jean Guélis qui dirige la compagnie des Ballets Parisiens et devient le partenaire et l’amant de Geneviève Kergrist, qui venait de quitter l’Opéra Comique. C’est à ce moment qu’il réalise sa première chorégraphie en mettant des pas sur cet Adagio d’Albinoni qui vient d’être dépoussiéré.[réf. nécessaire]

C’est l’époque également de son service militaire comme météorologue. Après quoi il s’embarque sur le navire Homéric au départ du Havre, en 1955.[réf. nécessaire]

Nom de scène

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Lors de son inscription à l’âge de dix-neuf ans au Ballet de Strasbourg, il adopte le nom de « Conte », un nom qu’il emprunte à la comédienne française Louise Conte, « pensionnaire du Théâtre-Français »[3], admirée dans Bérénice et Phèdre.

Chorégraphe

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Il débarque au Québec en octobre 1955, époque des débuts de la télévision. Il met en place des ballets classiques présentés par Henri Bergeron à L’Heure du Concert . Il compose les fonds scéniques de l’émission de music-hall du dimanche, aux heures de grande écoute. Ces numéros de danse accompagnent une chanteuse populaire, ou bien sont diffusés en direct, afin de servir de liens entre les numéros de magicien et d'acrobate. Ils accompagnent Petula Clark dans une version française de Downtown : la chanson commençait à se positionner favorablement dans les palmarès britanniques.

Un talk show (le premier au Canada) est présenté dans les deux langues la première année, puis en français seulement les années suivantes. Michelle Tisseyre y interviewe des personnalités de tous les milieux, sauf celui de la politique. De 1955 à 1960, elle anime aussi Music-Hall, première émission de variétés à grand spectacle ; elle fait découvrir de nombreux artistes. Son aisance et sa simplicité lui valent le trophée Frigon pour la meilleure animatrice de télévision, ainsi que le titre de Miss Radio-Télévision pour l’artiste la plus populaire en 1959. De 1962 à 1970, elle coanime avec Wilfrid Lemoine Aujourd’hui, première grande émission quotidienne d’affaires publiques à Radio-Canada qui attire plus d’un million de téléspectateurs[réf. nécessaire] et à Pleins Feux, une émission de variétés animée par Monique Leyrac dont la diffusion commence en [réf. nécessaire].

Il chorégraphie plusieurs ballets présentés à la télévision. Il écrit de la musique qui sera utilisée par les troupes de ballet canadiennes[4]. Il met en scène plusieurs opéras, opérettes et comédies musicales, tant à la télévision que sur les planches.

Michel Conte est auteur de musique de ballet dont Un et un font deux créé par le Ballet Royal de Winnipeg en 1961 et Cantique des cantiques chorégraphié par Fernand Nault des Grands Ballets canadiens et créé lors du « Festival Expo-Théâtre » en 1974[5]. Parmi ses créations chorégraphiques pour la télévision : Le Porte-rêve de Clermont Pépin en 1958[6].

Le chorégraphe et danseur devient en quelques années une référence en matière de danse. Il influence le milieu professionnel hors de la télévision. En même temps que lui, Ludmilla Otzoup-Gorny Chiriaeff, la fondatrice des Grands Ballets Canadiens, travaille à la télévision d’État. Le noyau de sa troupe est présent parmi les danseurs classiques de l’institution.

La troupe des émissions de variétés de la télé d’État fait du ballet-jazz, genre que Conte avait abordé brièvement avec la troupe de danse d’un studio de télévision newyorkais[style à revoir].

Mandat du Conseil des Arts

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En 1966 il est en tournée européenne de six mois dans les grandes maisons d’opéra au nom du Conseil des Arts du Canada, pour y étudier la mise en scène particulière à cet art et ses techniques de production[réf. nécessaire].

Auteur-compositeur

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Au cours des années 1960, il entreprend une carrière d’auteur-compositeur et sera interprété par Lucille Dumont, puis, entre autres, par Monique Leyrac, Renée Claude (Shippagan, Viens faire un tour chez moi), Isabelle Pierre (Évangéline), Suzanne Stevens (Celui qui ne sait pas aimer, L'amour ne s'en va pas) ou Julie Arel (Kamouraska) et plusieurs autres. Julie Arel se voit décerné le premier prix au Festival d’Athènes de la chanson avec Kamouraska en 1973[7].

Interprète

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En 1966, il enregistre Michel Conte chante, sous étiquette Columbia. Le disque Michel Conte chante une histoire d’amour[8] est enregistré à Paris, sous étiquette Columbia, en 1967.

Voir aussi : discographie de Michel Conte.

Tragédie musicale

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En 1968, Michel Conte écrit, avec Robert Gauthier Monica la mitraille, qu'il met en scène. C'est une comédie musicale basée sur des faits vécus. Cela lui vaut, ainsi qu’à l’artiste tenant le rôle-titre, des démêlés avec la famille de la criminelle[9] décédée. Ils sont résolus par un intéressement des parents dans les bénéfices du spectacle.

L’œuvre raconte de manière romancée la vie tumultueuse de Monica Proietti, dite « Monica la mitraille », une criminelle notoire, braqueuse de banques, qui sévit à Montréal à la fin des années cinquante et durant les années soixante, et qui culmine avec sa fin tragique en 1967 lors du braquage raté d’une banque ; elle est abattue par balles.

Spectacle Aimons-nous les uns les autres

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Au début des années 1970, à la suite de l’enregistrement de Aimons-nous les uns les autres[10], l’artiste accomplit une tournée promotionnelle avec quatre musiciens et une équipe technique d’éclairage, de sonorisation et de transport. Cette tournée, avec retour à Montréal après chaque spectacle, s’effectue dans des églises du Québec. Les chansons de ce récital portent le message évangélique des chrétiens, tel qu'il est perçu par l’auteur. Le spectacle est défendu par un membre de l’archevêché de Montréal, Jean-Guy Dubuc.

Musique de films

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Michel Conte signe la musique des films du réalisateur Jean-Claude Lord, Les Colombes[11] en 1972 et Bingo[12] en 1974. La réalisatrice de Évangéline en quête, Ginette Pellerin, le convainc à son retour de Tenerife en 1996 de réaliser la trame musicale de ce film produit par l’ONF.

Les enfants du ciel, la comédie musicale

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Il prépare ensuite Les enfants du ciel, une comédie musicale qu’il présentera en 1977, un spectacle souligné par le lancement simultané d’un disque analogique London Records, sur lequel on retrouve La Source Coule, une chanson qui connaît le succès commercial et dont la partition paraît la même année.

Publications

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C'est en 1980 que Michel Conte fait son coming out en publiant Nu… comme dans nuages, après la parution l’année précédente de son premier ouvrage, Le Prix des possessions[13].

Après 1980

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En 1981, il « tue » Michel Conte, devient « Melki », puis déménage à Tenerife, dans les îles Canaries. Il y enregistrera en 1982 Un piano en amour[14], un disque de « easy listening music » sous étiquette UFM[15] et distribué par Trans-Canada.

A travers le personnage de Melki, il animera des émissions de télévision et de radio axées sur les médecines alternatives et les nouvelles thérapies. Il séjourne une quinzaine d’années dans les îles espagnoles, s’initie au yoga, au tai-chi et donne des conférences sur la danse sacrée, la « musicosophie », l’harmonisation des énergies féminine et masculine[16].

Il revient à Montréal en 1996. Il prépare un spectacle qu’il livre en à l’Atelier À l’Écart (Longueuil), un récital qu’il reprendra en au café-théâtre de la PdA[17].

En 1998, paraît Comme un grand cri d’amour : un récit entre le cœur et l’âme[18], à la fois sous forme de roman, de cassette et de disque numérique, dans sa version chantée.

En 2001, reparaît la partition de Évangéline, écrite plusieurs années auparavant et qui fut interprétée par Isabelle Pierre, Marie-Jo Thério, Lyne Lapierre, Marie Williams et Annie Blanchard. L’auteur-compositeur-interprète Michel Conte s’est inspiré en 1971 du poème Evangeline, A Tale of Acadie de l’auteur américain Henry Wadsworth Longfellow (1847), pour écrire cette chanson sur l’héroïne fictive des Acadiens, Évangéline et son bel amant Gabriel, lors du Grand dérangement. C’est Isabelle Pierre qui l'enregistrera pour la première fois en 1971 sur son album intitulé Heureuse[19]. Cette chanson est considérée comme son plus grand succès.

, à l’âge de soixante-quatorze ans, il reçoit de la SOCAN[20] une plaque rappelant la première position d’une de ses chansons à divers palmarès au cours de l’année écoulée. Le , lors du Gala de l’ADISQ, sa chanson « Evangéline » gagne le prix de la chanson de l’année. À cette occasion, le vétéran Michel Conte se déclare « ému de recevoir » un prix pour cette chanson Évangéline, écrite il y a quarante ans. », poursuivant que c’était « un miracle et un cadeau. »

En visite chez des amis, il meurt à l’âge de soixante-quinze ans d'une crise cardiaque, le , en Tunisie[21].

Discographie

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  • Michel Conte chante Conte, Columbia, Paris, 1966.
  • Michel Conte chante une histoire d’amour, Columbia, Paris, 1967.
  • Monica la mitraille, Polydor, Montréal, 1968.
  • Aimons-nous les uns les autres, Polydor, Montréal, 1969.
  • Les enfants du ciel, London Records of Canada, Mont Saint-Hilaire, 1977.
  • Un Piano en Amour, A Piano in Love, Un Piano Enamorado, sous le nom de Melki, UFM, Montréal, 1981.
  • Comme un grand cri d’amour, Éditions Guzzi, Laval, 1998.
  • Viens faire un tour, Disques XXI-21 et Intermède Music, Montréal, 2008.

Musique de ballet et chorégraphie

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Musique
  • Un et un font deux, créé par le « Montreal Theatre Ballet », une compagnie éphémère, et repris par le Ballet Royal de Winnipeg en 1961. À la création de l’œuvre, Conte était à la fois auteur de la musique, chorégraphe et premier danseur de la jeune compagnie de danse qui ne devint pas vieille.
  • Cantique des cantiques, Les Grands Ballets canadiens, Fernand Nault, 1974.
Chorégraphie

Chansons

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Certains titres qu’il a enregistrés ont été repris par d’autres interprètes. Certains ont été écrits à la suite de la demande d’une artiste ou en pensant à une chanteuse en particulier. La majorité des interprètes de Michel Conte sont des femmes.

Le tableau qui suit n’est pas exhaustif.

Titre Interprète Année
Tes vingt ans Lucille Dumont 1963
Agapi mou Ginette Ravel 1967
Je veux t’aimer longtemps Donald Lautrec 1967
Évangéline Isabelle Pierre 1971
Jean Sébastien Bach Monique Leyrac 1967
Kamouraska Julie Arel 1973
La source coule Michel Conte, Angela Laurier 1977
Le jour où tu viendras Renée Claude 1969
Les colombes Lise Thouin 1973
Ouvre un petit peu les yeux Renée Claude 1969
Shippagan Renée Claude 1967
Tout mais pas ça Monique Leyrac 1964
Celui qui ne sait pas aimer Suzanne Stevens 1973
Un homme dans une île Renée Claude 1969
Viens faire un tour Renée Claude 1970

† Année de création ou d’enregistrement de la chanson

Publications

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  • 1979 : Le prix des possessions, Éditions de Mortagne, Boucherville.
  • 1980 : Nu... comme dans nuages, Éditions de Mortagne, Boucherville.
  • 1984 : Les bergers, Éditions de Mortagne, Boucherville.
  • 1998 : Comme un grand cri d'amour : un récit entre le cœur et l'âme avec Michel Conte et Melki, Éditions Guzzi, Sainte-Dorothée (Laval).
  • 2007 : Évangéline, ou, L’amour en exil : chansons et récits, Éditions VLB, Montréal.

Notes et références

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  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. a et b « Villeneuve-sur-Lot. Michel Conte, le plus Villeneuvois des artistes québécois », sur ladepeche.fr (consulté le )
  3. p. 17, Nu… comme dans nuages, op.cit.
  4. Le Ballet Royal de Winnipeg avec Un et un font deux en 1961 et Les Grands Ballets canadiens avec Cantique des cantiques en 1974.
  5. Voyez l’affiche et le programme dans les archives de la Bibliothèque de la danse de l’École supérieure de ballet contemporain.
  6. « Séduit par le théâtre et la danse, [Clermont] Pépin écrivit successivement deux ballets, L'Oiseau-phénix et Le Porte-rêve, le premier créé à la scène sous sa direction, avec chorégraphie de Ludmilla Chiriaeff, et le second à la télévision de la SRC, chorégraphie de Michel Conte. Pour la première fois, Pépin introduisit des éléments de jazz dans sa musique. »

    — Voir l’article de l’Encyclopédie de la musique au Canada sur Clermont Pépin.

  7. La chanson est inspirée du film homonyme de Claude Jutra, film lui-même tiré du roman d’Anne Hébert.
  8. Michel Conte chante une histoire d’amour, Paris, Columbia, 1967 (Voir la fiche de la Bibliothèque nationale du Québec)
  9. Monica Proietti, braqueuse, Montréal, Québec, 1940-1967. source : Le Petit Journal, 24 septembre 1967
  10. Aimons-nous les uns les autres, Polydor, Montréal, 1969. (Voir la fiche de la BNQ). Titres de l’album : Prologue — En ce temps-là — Les roses de Marie-Madeleine — Il est revenu — Pierre — La colombe et le serpent — Je reviendrai parler d'amour — Aimons-nous les uns les autres
  11. Voir Les Colombes sur imdb.
  12. Voir Bingo sur imdb.
  13. Le Prix des possessions, Éditions de Mortagne, Boucherville, 1979.
  14. Melki, Un Piano en Amour, A Piano in Love, Un Piano Enamorado, UFM-999
  15. Unidentified Flying Music ; cf. fiche de la BAnQ Un piano en amour
  16. Selon l’information parue dans un article sur le site des éditions Guzzi, en 1999. cf. Michel Conte sur web.archive.org La référence originale n’est plus disponible.
  17. Le café-théâtre en question, où dans une atmosphère détendue on peut écouter des vers dits, des chansons ou voir du théâtre, s’appelait autrefois « Théâtre du Café de la Place » et a été renommé « Studio-théâtre » en 1994, appellation sous laquelle il est connu depuis. C’est un théâtre parmi le public, un lieu d’esprit élizabéthain.
  18. Comme un grand cri d’amour : un récit entre le cœur et l’âme, Éditions Guzzi, 1998. (Voir la fiche de la BNQ)
  19. (Écouter un extrait de la chanson)
  20. cf. article à la SOCAN
  21. [1]

Liens externes

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