Majastres
Majastres (Majastre en provençal selon la norme classique et la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Majastres | |||||
Vue générale du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jean Sevenier 2020-2026 |
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Code postal | 04270 | ||||
Code commune | 04107 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Malejactois | ||||
Population municipale |
5 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 0,17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 54′ 51″ nord, 6° 17′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 800 m Max. 1 860 m |
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Superficie | 29,85 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Riez | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Avec quatre habitants permanents en 2019, elle est la commune la moins peuplée du département (Alpes-de-Haute-Provence) et de la région (Provence-Alpes-Côte d'Azur).
Le nom de ses habitants est Malejactois[1].
Géographie
modifierSituation et accès
modifierLe village est situé à 1 143 mètres d’altitude[2],[3], au cœur du massif du Montdenier.
Le point culminant est le sommet du Serre de Montdenier, à 1 749 mètres d’altitude.
On peut y accéder par une route suivant la vallée de l’Estoublaïsse et par le col de Saint-Jurs (1318 mètres) au départ de Saint-Jurs, alternativement dans une forêt méditerranéenne (pins et chênes) et dans des gorges étroites, et réduite à l’état de piste terreuse sur une partie de son parcours.
Une autre piste étroite et très caillouteuse relie Majastres à Blieux. Enfin, on peut atteindre Majastres à partir de Mézel, par le col de la Croix (869 mètres) et par la route départementale 17 : la route est étroite mais correctement goudronnée.
Communes limitrophes
modifierMajastres est limitrophe de six communes, toutes situées dans le département des Alpes-de-Haute-Provence et réparties géographiquement de la manière suivante :
Estoublon | Senez | |||
Saint-Jurs | N | Blieux | ||
O Majastres E | ||||
S | ||||
Moustiers-Sainte-Marie | La Palud-sur-Verdon |
Géologie et relief
modifierC'est une des communes couvertes par la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence[4]
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Le village dans le paysage.
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La longue barre rocheuse du Serre de Montdenier (Massif du Montdenier).
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Vallée encaissée de l’Estoublaïsse.
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Relief montagne de Saint-Sauveur.
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Robines à Majastres.
Hydrographie
modifier- L'eau dans la commune[5] :
- Liste des masses d'eau superficielles directement impactées (traversant la commune) : ravin du riou d'ourgeas; ravin du pas d'escale; L'Estoublaise
- Mesure des eaux souterraines, Lieu-dit : Ruisseau De Ville : Code national du point d’eau : 09702X0001/HY, Code européen du point d’eau : FR09702X0001/HY[6].
Flore et faune
modifierUne liste des espèces recensées a permis d'inventorier 754 taxons terminaux (espèces et infra-espèces) sur la commune[7].
Transports
modifierLa seule route desservant la commune de Majastres est la départementale 17 des Alpes-de-Haute-Provence, une route difficile qui la relie à la vallée de l'Asse (Mézel) au nord, et à celle du Verdon (Rougon) au sud.
L'ancienne halte du « Train des Pignes », située à plusieurs heures de marche du village entre Norante et Barrême, a été fermée en 2013.
Risques majeurs
modifierLe canton de Mézel auquel appartient Majastres est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[8], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[9]. La commune de Majastres est également exposée à deux autres risques naturels[9] : les feux de forêt et les mouvements de terrain.
La commune de Majastres n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[10]
et aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] ; le Dicrim n’existe pas non plus[11].
Le seul tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui de Chasteuil, le , avec une intensité macro-sismique ressentie de IV et demi sur l’échelle MSK[12],[13].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[15].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 923 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs à 7 km à vol d'oiseau[16], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38 °C, atteinte le ; la température minimale est de −16,5 °C, atteinte le [Note 1],[17],[18].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[19]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Majastres est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle est située hors unité urbaine[22] et hors attraction des villes[23],[24].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (49,7 %), forêts (40,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,2 %)[25].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
modifierLa localité apparaît pour la première fois dans les textes en 1040, de terra Magastris. Selon Charles Rostaing, il s’agirait d’un nom formé sur une racine pré-indo-européenne, *Mag-. Selon Ernest Nègre, il peut s’agir d’un nom propitiatoire, visant à attirer un destin favorable, formé de l’occitan mager (plus grand) et astre (destin) : le village au destin meilleur[26],[27].
Charles Rostaing considère que Levens, de la même façon que Majastres, est un toponyme antérieur aux Gaulois[28].
Histoire
modifierLa communauté de Majastres, signalée en 1040 pour la première fois[29], relevait de la baillie de Digne[29]. Le chapitre de Riez percevait les revenus liés aux églises des deux communautés de Levens et Majastres. Il existait également deux prieurés, Saint-Sauveur et Saint-Pierre[29]. En 1309, Guillaume de Roumoules est signalé comme seigneur de Roumoules, de Beaujeu, de Bédéjun, de Bras-d'Asse, d'Entrages, de Majastres, de Vergons et d'Estoublon[30].
Durant les guerres de religion, le bourg est attaqué et saccagé par les protestants en 1574[31]. Les carcistes (catholiques radicaux), menés par le comte de Sault et Hubert de Garde de Vins, prennent et saccagent le village le [32].
Durant la Révolution, cette commune comptait une société patriotique, créée après la fin de 1792[33]. Les communes du Poil et de Majastres en possédaient également chacun une, mais les deux communes ayant de bonnes relations, elles fusionnent en mai 1793[34].
Comme de nombreuses communes du département, Levens et Majastres se dotent d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, chaque commune en possède une, installée au chef-lieu, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[35]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[36], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent les deux communes[37], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Levens et de Majastres sont régulièrement scolarisées.
La commune de Levens est rattachée à Majastres en 1951[38]. Son nom apparaît dans les chartes vers 1200, sous la forme Levenz[39]. Elle comptait 27 feux en 1301, était comme Majastres inhabitée en 1471 et avait 169 habitants en 1765[39].
Économie
modifierAperçu général
modifierEn 2009, la population active comptait une seule personne, ayant un emploi[40]. Du fait de l’extrême faiblesse de l’économie locale, le secteur primaire représente la totalité des emplois de Majastres.
Agriculture
modifierFin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et un emploi salarié[41].
Les exploitations professionnelles sont inexistantes en 2010, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture[42]. Elles étaient trois en 1988[43] avec une surface agricole utile (SAU) de 544 hectares[43].
Activités de service
modifierFin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait un seul établissement, la mairie[41].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant, statistique faussée par la faiblesse de la population[44]. La seule capacité d'hébergement de la commune consiste en ses résidences secondaires[45] : au nombre de 12, elles représentent 86 % des logements[46],[47].
Politique et administration
modifierHabitants, électeurs et élus
modifierBien que ne comptant que quatre habitants permanents (en 2017), la commune compte 19 électeurs inscrits, incluant les résidents secondaires. Conformément à la loi, le conseil municipal compte sept membres, élus au scrutin plurinominal. Pour les élections de , neuf candidats se présentent, dont le maire sortant[48].
Liste des maires
modifierIntercommunalité
modifierMajastres a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .
Budget et fiscalité 2015
modifierEn 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[54] :
- total des produits de fonctionnement : 33 000 €, soit 16 461 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 45 000 €, soit 22 681 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 16 000 €, soit 8 089 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 9 000 €, soit 4 669 € par habitant.
- endettement : 0 €, soit 25 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 2,67 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 3,22 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 25,00 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Démographie
modifierMajastres est une des communes parmi les moins peuplées de France avec Rochefourchat et Aulan (Drôme), Leménil-Mitry (Meurthe-et-Moselle), Baren (Haute-Garonne) et Ornes (Meuse). En 2021, la commune comptait 5 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants sont effectués tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Mane). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
Majastres
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[56].
En 2021, la commune comptait 5 habitants[Note 2], en évolution de +66,67 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Levens
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L’église paroissiale est placée sous le vocable de Notre-Dame-de-la-Roche[39].,[29].
- L’ancienne église paroissiale de Levens est, elle, sous la titulature de Saint-Barnabé[29].
- Le monument aux morts de la guerre 1914-1918[59],[60].
- Croix de Saint-Sauveur.
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | ||
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Détails | Blason attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Blason | ||
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Détails | Blason attribué par Charles d'Hozier à la fin du XVIIe siècle. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Cavités souterraines naturelles
- Majastres, selon D. Thièry
- L'ancien hameau de Levens
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
Filmographie
modifier- Les Naufragés de la D17 de Luc Moullet. Majastres apparaît déjà dans Les terres noires, du même réalisateur en 1961[64].
Articles connexes
modifier- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Levens
- Massif du Montdenier
- Mont Chiran
- Gare du Poil - Majastres
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Majastres sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Le repère du Nivellement général indique 1143 ± 1 m
- Réserve géologique de Haute-Provence
- L'eau dans la commune
- Station de mesure des eaux souterraines
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, , p.39.
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 31 juillet 2012
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 96.
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 31 juillet 2011
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Majastres », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 31 juillet 2012
- BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consultée le 31 juillet 2012
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Majastres et Saint-Jurs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « St Jurs », sur la commune de Saint-Jurs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 199-200
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 21048, p 1122
- Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, carte 11 et commentaire
- Daniel Thiery, « Majastres- Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », (consulté le ).
- Marie-Zéphirin Isnard, État documentaire et féodal de la Haute-Provence : nomenclature de toutes les seigneuries de cette région et de leurs possesseurs depuis le XIIe siècle jusqu'à l'abolition de la féodalité ; état sommaire des documents d'archive communales antérieures à 1790 ; bibliographie et armoiries, Digne, Vial, 1913, p. 446
- Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, coédition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, (ISBN 2-7449-0139-3), p.200.
- Cru 2001, p. 201.
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307, 1er trimestre 1989, p.296-298.
- Alphand 1989, p. 296.
- Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
- Labadie 2013, p. 16.
- Labadie 2013, p. 18.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 180-181.
- Dossier local - Commune :Majastres, Insee (lire en ligne), p.5.
- Dossier local, p. 15.
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, (lire en ligne), p.6.
- Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 44.
- Dossier local, p. 16.
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- P.S., « Municipales 2020 : à Majastres, un des plus petits villages de France, “être maire, c'est être le papa de tout le monde” », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur, (consulté le ).
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- Gustave Pierrisnard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Gérard Schivardi (PT) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Jausiers à Montfort (liste 4), consulté le 8 mars 2013
- Annuaire des mairies des Alpes-de-Haute-Provence
- , « [1] », 2020, consultée le 5 janvier 2022.
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Levens », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Monument aux morts de la guerre de 14-18
- Monument aux morts
- « 04107 Majastres (Alpes-de-Haute-Provence) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Louis de Bresc Armorial des communes de Provence 1866. Réédition - Marcel Petit CPM - Raphèle-lès-Arles 1994
- « 04107 Levens (Alpes-de-Haute-Provence) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- (de) « Terres noires (Luc Moullet, 1961) » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).