Lesterps
Lesterps (prononcé [letɛʀ] ; L'Esterp en limousin, dialecte occitan), est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Lesterps | |||||
Vue en venant de Confolens. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Daniel Soupizet 2020-2026 |
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Code postal | 16420 | ||||
Code commune | 16182 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lesterrois | ||||
Population municipale |
441 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 00′ 41″ nord, 0° 46′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 170 m Max. 275 m |
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Superficie | 36,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Vienne | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
modifierLocalisation et accès
modifierLesterps est située en Charente limousine, au nord-est du département de la Charente et se trouve limitrophe de la Haute-Vienne.
Le bourg de Lesterps, à 9 km à l'est de Confolens, est un bourg important. Il est aussi à 16 km de Chabanais, 17 km de Saint-Junien, 42 km de Limoges et 63 km d'Angoulême[2].
La commune est bien pourvue en voies de communications. La D 30, de Confolens à Limoges par Saint-Junien, la parcourt d'ouest en est, et la D 29, de Saulgond à Brillac, la traverse du sud au nord. La D 82 à l'est du bourg va vers Limoges par Saint-Christophe[3].
La gare la plus proche est celle de Chabanais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.
Hameaux et lieux-dits
modifierSoixante-et-un hameaux sont disséminés sur l'ensemble de la commune. Les plus importants sont : les Boucheries, dans le nord de la commune ; la Confoulaude, près de la route d'Esse ; le Rigadoux, Beaupuy, la Chabarie et Vérinas dans le sud de la commune ; Saint-Quentin, dans l'est ; Ésignac, près de la route de Limoges ; les Boiges, Chez Gourdy et Tagibaud, dans l'ouest ; Aucher, à la limite de la commune de Saint-Christophe ; la Roche, près de la Marchadaine ; Loubart et le Repaire, à proximité de la route de Saulgond ; Moulins-Brandins, le Mas ; la Glayolle, à la limite de la commune d'Esse, etc.
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierComme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.
Le sous-sol de la commune se compose de gneiss, granit et diorite, avec tonalite (roche éruptive) dans l'extrême nord (entre Chez Carail, la Courtaudie et Baracoux)[4],[5],[6].
La commune de Lesterps est, comme les autres communes du canton, une contrée accidentée, présentant une suite de collines élevées et de vallées profondes. Elle occupe un vaste plateau ondulé, dont l'altitude moyenne dépasse 220 m. Les altitudes s'étagent entre 170 m, au nord (la Courrière), et 275 m, au sud-est (aux Cinq Chemins). Le bourg est à environ 230 m d'altitude[3].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[7]. Elle est drainée par la Courrière, la Marchadaine, la Font, l'Eaupedde le Cluzeau et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 42 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La commune de Lesterps est arrosée par la Marchadaine[9], la Courrière[10] et quelques autres petits affluents de l'Issoire, elle-même affluent de la Vienne
Quelques étangs parsèment la commune, en particulier l'étang de la Glayolle à l'ouest et l'étang de Procurat à l'est[3].
Gestion des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vienne ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].
Climat
modifierLe climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lesterps est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14] et hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (77,3 %), forêts (8,3 %), terres arables (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Lesterps est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Risques naturels
modifierLe retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 12 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 356 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 23 sont en aléa moyen ou fort, soit 6 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lesterps est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].
Toponymie
modifierLes formes anciennes sont prope Stirpem, Stirpa[24].
L'origine du nom de Lesterps remonte au latin stirpes qui signifie "souche", et par extension "forêt défrichée" (le bas latin stirpare signifie "essarter")[25]. Lesterps et Les Essarts ont le même sens[26].
Le nom de cette localité s'écrivait aussi Leyter, suivant la prononciation[réf. nécessaire], ou Lesterp au XVIIIe siècle[27].
Langues
modifierLa commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[28]. Elle se nomme L'Esterp en occitan[29].
Histoire
modifierAu sud-ouest de la commune, des vestiges d'une voie antique ont été reconnus en 1921. Cette voie qui passait par Étagnac et traversait la Vienne à Pilas (Chassenon) relierait Chassenon à Poitiers[30],[31].
Lesterps faisait partie de l'ancienne province du Limousin, puis de l'Angoumois à partir du XIe siècle, comme Confolens et Chabanais[32].
L'histoire de Lesterps, c'est l'histoire de son abbaye, qui fut fondée vers 980 par Jourdain Ier, seigneur de Chabanais, et sa femme Dia. En 1040 le comte de la Marche, Aldebert, attaqua et brûla l'église. Il fut excommunié, et l'abbaye prospèrera à nouveau avec les seigneurs de Chabanais[33].
Au Moyen Âge, Lesterps était près d'un itinéraire secondaire d'un chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, qui se dirigeait du Limousin vers Angoulême par Confolens ou Manot, pour bifurquer vers Saintes (reliques de saint Eutrope), Blanzac (vers Blaye) ou Aubeterre (vers Sainte-Foy-la-Grande)[34].
Mais l'abbaye périclita à la guerre de Cent Ans, puis surtout lors des guerres de Religion. À la Révolution, il ne restait que dix moines[33].
Les plus anciens registres paroissiaux de Lesterps remontent à 1617.
Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par deux moulins sur la Marchadaine. Des foires très suivies avaient lieu le 24 de chaque mois[33].
Administration
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2021, la commune comptait 441 habitants[Note 1], en évolution de −9,26 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 228 hommes pour 234 femmes, soit un taux de 50,65 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierCommerces
modifier- Épicerie, tabac, presse, gaz, dépôt de pain et pâtisserie, papeterie, droguerie…
- Boucherie-charcuterie.
- Garages automobiles et agricoles.
- Matériel agricole, magasin libre service, pièces agricoles.
- Entreprises du bâtiment.
- Entreprise de travaux agricoles.
- Élevage de chiens et chats
- Élevage de faisans
- Vente de bois de chauffage
- Centre équestre
Équipements, services et vie locale
modifierEnseignement
modifierL'école élémentaire François-Tisseuil comporte deux classes. Elle fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) regroupant les écoles des communes de Brillac et d'Oradour-Fanais pour la maternelle, d'Abzac, Lesterps et Lessac pour l'élémentaire. Ce RPI s'appelle Boreall. Le secteur du collège est Confolens[41],[42].
Sports
modifier- Étoile sportive de Lesterps : section football et section gym.
Vie associative
modifier- Lesterps - Patrimoine
- Société de chasse.
- Club du Troisième Âge "Les Cœurs Joyeux".
- Association des Anciens Combattants.
- Comité des fêtes.
Lieux et monuments
modifierPatrimoine religieux
modifier- Abbatiale Saint-Pierre : du XIIe siècle, classée M.H. en 1862[43]. Clocher-porche datant du XIe siècle d’une hauteur de 43 mètres, divers chapiteaux et sculptures typiques et bâtiments conventuels datant du XIIe siècle abritant aujourd’hui le presbytère, la mairie et des logements de particuliers.
- La chapelle de l'Image est située au cimetière
-
L'abbatiale et son clocher.
-
La chapelle de l'Image.
Patrimoine civil
modifier- Motte féodale, haute de 10 m, large de 26 m, située au lieu-dit le Dognon[44].
- Maison du patrimoine : ancienne maison à colombages du XIIIe siècle restaurée par la commune ; exposition sur l’histoire de l’abbatiale à travers les siècles, maquette de l’abbaye et du bourg et ancien mécanisme de l’horloge en état de fonctionnement; exposition d’œuvres de peintres locaux en été, exposition à thème ; musée des automates.
-
Maison ancienne au bourg.
-
Ancien logis derrière la mairie.
-
La place et ses colonnes.
Patrimoine environnemental
modifier- Sentiers de randonnées: trois sentiers de randonnée ont été balisés sur le territoire de la commune: sentier de la Cuirasse d’or (10 km), sentier de Saint-Quentin (10 km) et sentier des Moulins (13,5 km)[45].
Personnalités liées à la commune
modifier- Franck Bourdier (1910-1985), préhistorien français né à Lesterps.
Héraldique
modifierBlasonnement :
De gueules à une épée haute d'argent croisée et pommetée d'or, surchargée de deux clés d'argent posées en sautoir et accostée de deux fleurs de lys d'or.
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Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Lesterps » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Oradour-sur-Glane », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le ).
- « Fiche communale de Lesterps », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- Sandre, « la Marchadaine »
- Sandre, « la Courrière »
- « SAGE Vienne », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Lesterps », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lesterps », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 21,44
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 398.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Carte de Cassini sous Géoportail
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 126
- J.Piveteau, Voies antiques, 1954, p. 48
- André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 95
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 215
- Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9,48
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lesterps (16182) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
- « RPI Boreall », (consulté le ).
- « Église Saint-Pierre », notice no PA00104390, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- F. Marvaud, Répertoire archéologique du département de la Charente, 1863.
- Site de la Communauté de communes du Confolentais
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Dujardin V., Moineau É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, no 243, Geste éditions, 2007.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie