Henri Hayden
Henri Hayden est un peintre et lithographe français d'origine polonaise, né le à Varsovie et mort à Paris le .
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Nom dans la langue maternelle |
Henryk Hayden-Wurcel |
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École polytechnique de Varsovie École des beaux-arts de Varsovie (d) Académie de la Palette |
Biographie
modifierHenryk est le fils de Maximilien Hayden-Wurzel et de Gustawa Lukrec[1]. Henri Hayden, « sous la pression parentale », suit en 1902 des études d'ingénieur à l'École polytechnique de Varsovie, s'inscrivant parallèlement à l'École des beaux-arts[2]. En 1907, il s'installe à Paris dans un atelier situé boulevard Saint-Michel où il travaille dans une grande solitude, fréquentant cependant pendant quelques mois de l'année 1908 l'académie de peinture La Palette où enseignent Georges Desvallières et Charles Guérin. Il passe l'été 1908 à Pont-Aven, revenant en Bretagne, au Pouldu, de 1909 à 1912[3].
En 1909, Hayden participe pour la première fois au Salon d'automne.
En 1910, il fait la connaissance d'André Salmon.
Sa première exposition personnelle se tient en 1911 à la galerie Druet à Paris. À partir de 1912 son admiration pour Cézanne est telle que l'on qualifiera sa production jusqu'en 1914 de période « cézannienne ».
À partir des années 1914-1915, Hayden fréquente les cubistes et, recommandé par Juan Gris, signe en 1915 un contrat d'exclusivité avec la Galerie de L'Effort moderne que dirige Léonce Rosenberg, ardent défenseur des cubistes[4]. Sa signature autographe figure sur l'un des feuillets signés par les convives du banquet mémorable donné le en honneur d'Apollinaire à l'Ancien Palais d'Orléans de l'Avenue du Maine[5].
Durant la Seconde Guerre mondiale, lors de l'Occupation allemande, Henri Hayden se réfugie dans un premier temps en Auvergne où il rencontre son ami Robert Delaunay. Ils rejoignent Mougins sur la côte d'Azur, mais l'avancée allemande de 1943 amène Hayden à se réfugier à Roussillon d'Apt (Vaucluse) où il se lie d'amitié avec Samuel Beckett[6].
De retour à Paris en 1944, Hayden découvre son atelier pillé[7].
En 1964, avec son épouse Juliette Géraud[8], il achète une maison à Reuil-en-Brie en Seine-et-Marne. Il y fréquente Samuel Beckett qui habite à quelques kilomètres de là, à Ussy-sur-Marne[9],[10].
À Paris, le couple habite un vieil appartement boulevard Raspail puis déménage au 25, rue du Montparnasse dans un studio neuf, quelques semaines avant la mort du peintre à l'hôpital Broussais à l'âge de 86 ans[11],[12].
Œuvre
modifierLes différentes « périodes » de l'artiste
modifierOn peut distinguer - au moins - quatre « périodes » dans la production artistique de Henri Hayden[13].
- 1908-1915 : L'héritage de Gauguin et de Cézanne.
- 1915-1922 : L'expérience cubiste.
- 1922-1953 : L'incertitude. Des quatre périodes, la moins connue[14].
- 1953-1970 : L'épanouissement.
Contributions bibliophiliques
modifier- Erik Satie, Trois morceaux en forme de poire, programme de l'audition, une gravure sur bois originale d'Henry Hayden, festival Satie-Ravel, Association Lyre et Palette, [15].
- Joseph Kessel, Nuits de Montmartre, illustrations d'Henri Hayden, Éditions J. Ferenczi et fils, 1947.
- Jean Giono, Routes et chemins - Édition des peintres témoins de leur temps à l'occasion de leur XIe exposition au Musée Galliera, cinquante six planches hors-texte de dessins en fac-similé par Yvette Alde, Pierre Ambrogiani, Michel Ciry, Édouard Goerg, Henri Hayden, Camille Hilaire, Isis Kischka, Roger Lersy, José Palmeiro, Joseph Pressmane, Michel Rodde, Kostia Terechkovitch, Henry de Waroquier, Gabriel Zendel..., Éditions du Musée Galliera, 1962.
L'œuvre lithographique
modifierHenri Hayden va également produire de nombreuses estampes, surtout dans les dix dernières années de son existence. Une première série de lithographies - six marines de Cherbourg (Cherbourg-en-Cotentin depuis 2016) - a été réalisée en 1948 à partir de gouaches exécutées après la Seconde Guerre mondiale (1946-1947)[16]. Les lithographies suivantes, qui reproduisent les œuvres de sa maturité, ont été produites à partir du début des années 1960[17].
Réception critique
modifier- « Effectuant la synthèse de ses expériences réalistes et cubistes, il évoque la nature avec une extrême simplicité de moyens. Les paysages et les natures mortes des vingt dernières années de sa vie (Nature morte rouge, 1957, Musée national d'art moderne, Paris), réduits aux éléments et aux coloris les plus sobres, témoignent de la vision très personnelle de l'artiste. » - Les Muses, encyclopédie des arts[18]
- « Henri Hayden, figure majeure du cublisme, eut le courage (rare) de se libérer en 1921 d'une discipline dont il avait épuisé les ressources. Succédant à une longue période d'incessantes recherches, ses dernières œuvres nous livrent la poésie personnelle de ses natures mortes subtilement agencées, de ses paysages composés, de larges plages de couleurs aux rapports très affinés. » - Gérald Schurr[19]
- « Après quelques années - de 1908 à 1913 - durant lesquelles il compose en Bretagne des paysages marqués par l'influence de Gauguin, il oriente à partir de 1915 son cézannisme vers les disciplines cubistes, sous l'influence de Juan Gris et du sculpteur Lipchitz. Des formes intellectualisées auxquelles il renoncera en 1922 ; il écrira plus tard : "j'ai abandonné le cubisme parce qu'il m'a semblé que j'en avais épuisé toutes les ressources et que j'étais condamné à piétiner, à me répéter: je me suis aperçu, en faisant des essais d'après nature, que j'avais perdu toute sensibilité de l'œil". Après une longue période de recherche, il signe vers la fin de sa vie des paysages onduleux et souples, aux relations de tons décelant un œil d'une fine acuité et d'une grande sensibilité, et aux aplats colorés d'une simplification extrême. » - Gérald Schurr[20]
- « Il parvient à une plénitude plastique et colorée par un subtil équilibre entre la réalité d'un paysage et le pouvoir poétique de la "couleur abstractisée"... Ses paysages développent une palette très personnelle de verts, de terres brûlées, d'ocres brun et jaune, sur une surface plane délicatement modelée, afin de rendre l'espace toujours perceptible. Les objets simples de ses natures mortes procèdent de la même vie intérieure, par l'emploi particulier de la couleur. Samuel Beckett écrivait à son propos que peu d'artistes ont su "résister aux grandes tentations, celles du réel et du mensonge". » - Lydia Harambourg[21]
Expositions
modifierExpositions personnelles
modifier- 1931. Galerie Drouant, Paris[22].
- 1953. Galerie Suillerot, Paris.
- 1960. Exposition rétrospective, Musée de Lyon.
- 1962. Exposition rétrospective, Waddington Galleries, Londres.
- 1966. Exposition rétrospective, centre culturel d'Aix-en-Provence.
- 1968. Exposition rétrospective, « Hayden. Soixante ans de peinture 1908-1968 », Musée national d'art moderne, Paris[23],[9].
- 1970. Exposition rétrospective à la maison de la culture de Bourges.
- . Galerie Suillerot, Paris[19].
- 1977. Exposition rétrospective des « Paysages de la Marne », musée d'art moderne de la ville de Paris.
- 1979. Exposition rétrospective, « Henri Hayden.1883-1970 », musée des beaux-arts de Rennes et musée d'art moderne André-Malrauxdu Havre[24].
- - . Centenaire de Henri Hayden, Galerie Suillerot, Paris[25].
- Septembre-. Henri Hayden - Peintures 1959-1969, Galerie Marwan-Hoss, Paris.
- 1991. Henry Hayden - Peintures et œuvres sur papier, 1911-1970, Galerie Marwan Hoss, Paris.
- 1994. Exposition rétrospective, musée d'Art moderne, Troyes.
- Juin-. Musée Thomas-Henry, Cherbourg-en-Cotentin.
- 2012. Galerie Browse & Darby, Londres.
- 2013 Exposition rétrospective “Henri Hayden 1883-1970”. Bibliothèque Polonaise de Paris.
- 2013. Exposition rétrospective, musée Villa la Fleur, Konstancin-Jeziorna, Pologne.
- 2017. Exposition hommage (mai-juin), Galerie Éric Baudet, Le Havre[21].
Expositions collectives
modifier- Salon d'automne, Paris, 1909.
- Salon des indépendants, Paris, 1913, 1920.
- Salon des Tuileries, Paris, jusqu'à 1939.
- Salle Huyghens, Paris, janvier-février 1917.
- Biennale de Menton, 1951, 1953.
- Biennale de Turin, 1959.
- Salon des peintres témoins de leur temps, Paris, 1962.
- Salon de mai, Paris, à partir de 1963.
- Exposition organisée à l'occasion des États généraux du désarmement, Cercle Volney, Paris, mai 1963.
- Premier Salon Biarritz - San Sebastian - École de Paris, peinture, sculpture : Yvette Alde, André Beauce, Jehan Berjonneau, Louis Berthomme Saint-André, Roland Bierge, Maurice Boitel, Andrée Bordeaux-Le Pecq, Rodolphe Caillaux, Jack Chambrin, Jean Cluseau-Lanauve, Paul Collomb, Jean-Joseph Crotti, Gen Paul, Antonio Guansé, Henri Hayden, Franck Innocent, Daniel du Janerand, Adrienne Jouclard, Jean Joyet, Georges-André Klein, Germaine Lacaze, André La Vernède, Robert Lotiron, Marcel Mouly, Jean Navarre, Roland Oudot, Maurice Verdier, Henry de Waroquier…, casino Bellevue, Biarritz et Musée San Telmo, Saint-Sébastien (Espagne), juillet-septembre 1965[26].
- De Bonnard à Baselitz, dix ans d'enrichissements du cabinet des estampes, Bibliothèque nationale de France, Paris, 1992[27].
Collections publiques
modifierFrance
modifier- Musée des beaux-arts de Nantes, Nature morte aux instruments de musique.
- Musée de Grenoble.
- Cabinet des estampes de la Bibliothèque nationale de France, 31 lithographies et un album, donation Henri Hayden[27].
- Musée national d'art moderne, Paris, Les trois musiciens, 1919-1920.
- Musée des beaux-arts de Lyon, Jazz band, dit aussi Les trois musiciens, 1920.
- Musée d'art moderne de Troyes :
- Nature morte cubiste, 1918.
- Nature morte au coquillage rouge, 1963.
- Vue sur Sammeron, 1966.
Danemark
modifierEspagne
modifier- Musée européen d'art moderne, Barcelone.
Pologne
modifier- Musée de Silésie, Katowice.
Roumanie
modifierSuède
modifierSuisse
modifier- Musée du Petit Palais, Genève, Les trois Pierrots, 1914.
États-Unis
modifierRéférences
modifier- Selon l'acte no 2138 dans l'état-civil de la ville de Paris, 14earrondissement, décès de 1970.
- Nadine Nieszawer, Deborah, Arthur et Boric Princ, Marie Boyé-Taillan et Paul Fogel, Artistes juifs de l'École de Paris, Éditions Somogy, 2015.
- Jacques Busse, Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, pages 817-819.
- Ce contrat prévoit la livraison d'un certain nombre de points qui correspondent environ à trois toiles par mois. Pour cela Hayden perçoit 3 500 francs par trimestre (source : Pierre Cabanes). La séparation des deux hommes va être fracassante : Rosenberg, ne pardonnant pas à Hayden d'abandonner le cubisme, liquide son stock en inondant les salles de ventes. Les toiles cubistes d'Hayden s'adjugent alors à 45/50 francs ; la plus chère (en 1923) « monte » à 75 francs (témoignage d'Hayden, in Troyes, 1994).
- Détail de la vente aux enchères d'un lot comportant le menu du banquet en honneur d'Apollinaire et huit pages remplies de signatures autographes sur le site de la Maison Brissonneau consulté le 30 mai 2014.
- Samuel Beckett est l'auteur d'un texte commentant la dernière période de l'artiste - Henri Hayden, homme-peintre () ; on retrouve ce texte dans de nombreux catalogues du peintre, notamment ceux consacrés à des rétrospectives de son œuvre. Le texte figure également dans la monographie publiée en 2005 aux éditions Fragments.
- « Henri HAYDEN », sur Bureau d’art Ecole de Paris, (consulté le )
- « A l’écoute de Josette HAYDEN », sur Association pour la Sauvegarde d'Ussy, (consulté le )
- « Henri HAYDEN | Jean-Francis Gaud », sur www.jeanfrancisgaud.com (consulté le )
- « La Maison du peintre à Reuil en Brie », sur Association pour la Sauvegarde d'Ussy, (consulté le )
- (en) James Knowlson, Damned to Fame: the Life of Samuel Beckett, Bloomsbury Publishing, (ISBN 978-1-4088-5766-3, lire en ligne)
- « Mort du peintre Henri Hayden », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Ces périodes sont distinguées par différents auteurs, on les trouve sous ces termes dans Henri Hayden. 1883-1970. Rétrospective. (1979) musée des beaux-arts de Rennes, Musée des beaux-arts du Havre. 14 mars - 14 mai 1979 (Rennes), 12 septembre - 15 octobre 1979 (Le Havre).
- Les rétrospectives cataloguent toujours quelques œuvres de cette période (souvent, un portrait de Madame Zborowska vers 1922-1924 ou encore un paysage intitulé Roussillon d'Apt, 1944), mais ces quelques œuvres cataloguées restent marginales et ne donnent qu'un aperçu limité de trente années de production (durant lesquelles Hayden continue pourtant d'exposer et de vivre de sa peinture). Sans aucun doute, la terra incognita de la carrière du peintre.
- Jean-Paul Caracalla, Montparnasse, l'âge d'or, La Table ronde, 1997.
- « Henri Hayden. 1883-1970 », musée Thomas Henry, Cherbourg, 1997 ; p. 76.
- Un peu moins d'une quinzaine de ces lithographies sont référencées et accessibles sur le site internet de la Tate Gallery [1].
- « Henri Hayden », Les Muses, encyclopédie des arts, Éditions Grange-Batellière, 1969-1974.
- Gérald Schurr, « Les expositions : Henri Hayden », La Gazette de l'Hôtel Drouot, no 24, 13 juin 1975, page 22.
- Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, page 416.
- Lydia Harambourg, « Henri Hayden, hommage », La Gazette de l'Hôtel Drouot, no 19, 12 mai 2017, pages 219-200.
- Germain Bazin, « Le Moulin à peinture - Les galeries : Henri Hayden, Galerie Drouant », L'Amour de l'art, no 1, janvier 1931, p. 40.
- Henri Hayden, « interview à propos de sa rétrospective au musée national d'art moderne », émission Arts d'aujourd'hui, France Culture, 18 mai 1968.
- Pierre Mazars, Jean-Marie Dunoyer et Jean Sels, L'année de la peinture, Calmann-Lévy, 1980, pages 142-143.
- Gérald Schurr, « Les expositions », La Gazette de l'Hôtel Drouot, no 1, 6 janvier 1984, page 17.
- Musée San Telmo, Premier Salon Biarritz - San Sebastien - École de Paris, peinture, sculpture, présentation de l'exposition, 1965
- Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz, estampes et livres d'artistes; B.N.F., 1992.
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Jean-Albert Cartier, « Henry Hayden 1883 », Les cahiers d'art-document, Genève, Pierre Cailler, no 22, , p. 18Une photographie de l'artiste et sept photographies en noir et blanc.
- Jean Selz, Hayden, Genève, Pierre Cailler, coll. « Peintres et sculpteurs d'hier et d'aujourd'hui », , 48 p.103 illustrations dont 9 en couleurs.
- Les Muses, encyclopédie des arts, Éditions Gtange-Batellière, 1969-1974.
- Dictionnaire universel de la peinture, Le Robert, 1975.
- Pierre Mazars, Jean-Marie Dunoyer et Jean Selz, L'année de la peinture, Calmann-Lévy, 1980.
- Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, De Bonnard à Baselitz, estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992.
- Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
- Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
- Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999.
- Christian de Bartillat, Deux amis. Becket et Hayden, Etrepilly, Les presses du village, , 128 p..
- Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001.
- (en) Philippe Chabert et Christophe Zagrodzki, Hayden, Paris, Fragments éditions, , 201 p. (ISBN 2-912964-84-9).
- Christophe Zagrodzki, HENRI HAYDEN 1883-1970, Société Historique et Littéraire Polonaise, 2013, 112 p. (ISBN 83-89092-48-4).
- Artur Winiarski, Henri Hayden Mistrzowie, École de Paris, Muza, Varsovie, 2013, 224 p. (ISBN 978-83-7758-476-7).
- Nadine Nieszawer, Deborah, Arthur et Boric Princ, Marie Boyé-Taillan et Paul Fogel (préface de Claude Lanzmann), Artistes juifs de l'École de Paris, 1905-1939, Éditions Somogy, 2015.
Catalogues d'expositions
modifier- Hayden (1960) Musée de Lyon, Lyon. Introduction de Jean Cassou. Non paginé. 115 œuvres référencées. 11 reproductions N&B, 2 planches en couleurs.
- Henri Hayden (1962) Waddington Galleries, London. - . Non paginé. 39 reproductions en noir et blanc, 39 œuvres référencées.
- Hayden. Soixante ans de peinture 1908-1968 (1968). Musée National d'Art Moderne, Paris. au . Introduction de Jean Cassou. Non paginé.
- Hayden (1970) Musée de Bourges, Bourges. - . Introduction de Jean Goldman. Non paginé. 60 œuvres référencées, dont plusieurs "variations gouachées". 10 reproductions N&B.
- Henri Hayden. Paysages de la Marne (1977) Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, Paris. Février-mars. Non paginé. 20 reproductions en noir et blanc, 6 planches couleurs, 77 œuvres référencées dont 18 gouaches et 9 dessins.
- Henri Hayden.1883-1970. Rétrospective (1979) Musée des beaux-arts de Rennes, Musée des beaux-arts du Havre. - (Rennes), - (Le Havre). 48 pages. (19 reproductions en noir et blanc, 4 planches couleurs, 55 œuvres référencées).
- Henri Hayden (1994), Rétrospective au Musée d'Art Moderne, - , Troyes ; 92 p.
- Henri Hayden. 1883-1970 (1997), Musée Thomas Henry, Cherbourg ; 123 p.
- Henri Hayden, Œuvres cubistes, 1914-1921. 2005 à la galerie Zlotowski à Paris.
- Henri Hayden 1883-1970. Exposition à la Bibliothèque Polonaise de Paris 12.VI.2013 - 12VII.2013.
- Henri Hayden, Mistrzowie École de Paris, Rétrospective (2013) au Musée Villa la Fleur, Pologne, - . 224 pages.
Liens externes
modifier- Henri Hayden sur le site de Nadine Nieszawer
- (en-GB) « Résultats de recherche pour "Hayden" », Henri Hayden à la Tate Gallery, sur Tate (consulté le )
- Documentaire (extraits) Avec toi, sans toi sur la vie tumultueuse de Josette Géraud Hayden, l'épouse du peintre, par Francesca Ragusa, 2011.
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :