Gouzon

commune française du département de la Creuse

Gouzon est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants s'appellent les Gouzonnais et Gouzonnaises.

Gouzon
Gouzon
L'église et le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Confluence
Maire
Mandat
Cyril Victor
2020-2026
Code postal 23230
Code commune 23093
Démographie
Gentilé Gouzonnais, Gouzonnaises
Population
municipale
1 560 hab. (2021 en évolution de −1,45 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 33″ nord, 2° 14′ 22″ est
Altitude Min. 366 m
Max. 476 m
Superficie 50,03 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gouzon
(bureau centralisateur)
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Gouzon
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Gouzon
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Gouzon
Liens
Site web gouzon23.com

La commune de Gouzon est labellisée Village étape depuis 2008.

Géographie

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Généralités

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La commune est arrosée par la Voueize, par son affluent la Goze, et par le Signollet, affluent de la Goze, ainsi que brièvement au sud-ouest par le Verraux, affluent de la Petite Creuse.

Communes limitrophes

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Gouzon est limitrophe de neuf autres communes.


Géologie

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Gouzon se trouve au cœur d'une zone au relief plat rare par son étendue au sein du paysage vallonné du Limousin, le « bassin sédimentaire de Gouzon ». Celui-ci s'étend des hauteurs de Toulx-Sainte-Croix au nord et au plateau de Chénérailles au sud, et son point bas forme la retenue naturelle de l'étang des Landes sur la commune voisine de Lussat.

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[1].

Situation et transports

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Située à 385 mètres d'altitude, à l'ouest de la micro-région de la Combraille (ou Combrailles), sur la Voueize, Gouzon est située à environ 30 km de Guéret et 35 km de Montluçon sur la Route Centre-Europe Atlantique qui relie La Rochelle et Nantes à Genève en Suisse. Il est également desservi par le train, la gare de Parsac - Gouzon étant située à 5 kilomètres à l'ouest sur la commune de Parsac. La ville est située à 13 kilomètres de l'aérodrome de Montluçon Guéret LFBK ouvert à la Circulation Aérienne Publique.

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boussac à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 896,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9].

En 2023, aucune aire protégée ne concerne le territoire communal[10].

Réseau Natura 2000

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Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.

En 2023, quatre ZNIEFF sont recensées sur la commune d'après l'INPN[13].

Le site « Étang et prairies humides de Tiolet » est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1[Note 2] qui s'étend sur 95 hectares du bassin versant du Mardallou, affluent du Signollet ; elle est située à 88 % sur le territoire de La Celle-sous-Gouzon, le reste — onze hectares et demi, en deux zones distantes de plus de 300 mètres — étant sur celui de Gouzon[14].

Ce site est remarquable par la présence de quinze espèces déterminantes d'animaux (deux libellules et treize oiseaux) et sept de plantes phanérogames[15].

Le site « Prairies et mares de la Voueize à Lussat » est une autre ZNIEFF de type 1 située essentiellement sur le territoire de Lussat, dans une moindre mesure sur celui de Chambon-sur-Voueize, et de façon minimaliste sur Bord-Saint-Georges et Gouzon ; il concerne une partie de la vallée de la Voueize et des vallées de deux de ses petits affluents, la Verneigette et le ruisseau de la Viergne, ainsi que leurs rives. Seule l'extrémité nord-ouest de cette zone tangente Gouzon, dans l'est de la commune, au lieu-dit Bois des Ganivotes[16].

Le site « Bois des Landes » est une autre ZNIEFF de type 1 située à plus de 97 % sur le territoire de Lussat, de façon marginale pour Gouzon (environ douze hectares) et minimaliste pour Saint-Loup (moins d'un hectare). Pour Gouzon, elle représente une zone morcelée en limite sud-est de la commune, limitrophe de Lussat, notamment à l'est du lieu-dit la Brande des Landes[17].

Le bassin versant de l'étang des Landes est une ZNIEFF de type 2[Note 3] concernant l'intégralité de ce bassin versant, qui s'étend sur 30,52 km2, sur le territoire de six communes[18]. Cette ZNIEFF est remarquable par la présence de très nombreuses espèces, dont 92 sont déterminantes : 73 animales et 19 végétales[19]. Sur le territoire de Gouzon, elle représente une zone morcelée en limite sud-est de la commune, sur environ douze hectares, limitrophe de Lussat, notamment à l'est du lieu-dit la Brande des Landes[20].

Bien que n'étant pas citée parmi les quatre communes concernées par la ZNIEFF de type 2, « vallée de la Voueize à l'amont de Chambon »[21], Gouzon est néanmoins concernée de façon marginale par l'extrémité nord-ouest de cette zone qui tangente l'est du territoire de Gouzon, au lieu-dit Bois des Ganivotes[22].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Gouzon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle est située hors unité urbaine[24] et hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,1 %), zones agricoles hétérogènes (28,8 %), terres arables (5,9 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transports en commun

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Gouzon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gouzon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 34,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 950 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 675 sont en aléa moyen ou fort, soit 71 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[31].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[28].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Gouzon est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].

Toponymie

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Le toponyme Gosom est attesté depuis le XIIe siècle. Le suffixe -om vient du gaulois magos, qui semble démontrer une origine celtique[34]. Gouzon se nomme Gosom ou Gosum en marchois, dialecte du Croissant[35],[36].

À noter que le village (l'écart) nommé Lauradoueix (en marchois l'Oradoir), est une forme rare, entre l'occitan Orador et le marchois Ordoir (Lourdoueix)[36].

Histoire

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Avant la conquête romaine, la Marche dépendait du pays des Lémovices. Plus tard, elle s'agrandit du pays de Combrailles.

Le premier seigneur connu de la baronnie de Gouzon est Alard de Goson. En 1279, Guy de Gouzon accorda à ce lieu des lettres de franchises qui furent confirmées le par Louis de Bourbon, duc du Bourbonnais, comte de Clermont et de la Marche. D'après la charte de franchise, les Gouzonnais sont déclarés « francs bourgeoys, exempts de tout guetz, harbans et corveez ».

Autour de Gouzon, on a retrouvé des témoignages de l’occupation préhistorique (haches à talon en schiste) et gallo-romaine (poteries sigillées, perles, boucles, collier, autel, sépultures à incinération, tegulae). Gouzon appartient à la partie de la Combraille qui fut rattachée au comté de Bourges par Charlemagne.

Le premier seigneur connu, Alard de Gouzon, apparaît dans le cartulaire de l’abbaye cistercienne de Bonlieu en 1187. Le suzerain est alors Henri II Plantagenêt, comte d’Anjou, duc d’Aquitaine (et roi d’Angleterre. Il a choisi le mari de Denise de Déols, Guy de Chauvigny, un fidèle, qui a la charge de la seigneurie voisine de Boussac.)

Les seigneurs de Gouzon auraient-ils pu aussi doter le tout proche prieuré de Grandmont, appelé Jayat[37] ?

Guy de Gouzon accorde des privilèges aux habitants du bourg en 1279 confirmés par un autre Guy de Gouzon et Louis de Bourbon, comte de la Marche en 1337, puis Pierre de Rochefort de Salvert en 1581. Gouzon était passé dans la mouvance de la seigneurie de Bourbon au début du XIIIe siècle. La famille de Gouzon a gardé la baronnie jusqu’en 1450. Ensuite les familles Brandon, de Cluis, Fricon, La Fin sont coseigneurs, puis François de Durat en 1615. Par mariage de sa petite fille, la seigneurie passa à Toussaint d’Oiron en 1654. Henri-François de Ligondès en acheta une partie en 1770 à M. de Fénis.

Le , deux communes fusionnent avec Gouzon : Les Forges en fusion simple et Gouzougnat en fusion-association, celle-ci devenant commune associée à Gouzon depuis cette date[24].

Politique et administration

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Carte postale de la mairie et de l'école (oblitération de 1907).

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
maire en 1945 ? Jean-Paul Guyonnet SFIO Chirurgien-dentiste
avant 1981 ? Georges Boudard    
mars 1995 2008 Jean Pierre Vacher RPR-UMP  
mars 2008 En cours Cyril Victor UMP-LR Cadre, maire
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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Panneau de jumelage à Gouzon.

  Alcàntera de Xúquer (Espagne)

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 1 560 habitants[Note 4], en évolution de −1,45 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9241 0481 0481 2041 4151 4851 4751 4941 570
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5161 4181 4451 3901 4381 4811 5191 5681 632
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6401 7941 6841 5291 5741 5451 5571 4361 364
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 4471 4301 5011 4691 3701 3811 4041 4241 500
2014 2019 2021 - - - - - -
1 5751 5671 560------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le club de football de la ville est l'Avenir Sportif de Gouzon.

Économie

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Le gouzon, fromage local.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Les comtes de Gouzon étaient anglais, et les Gouzonnais, au Moyen Âge, bénéficiaient des droits de pêche et de chasse, ce qui a beaucoup contribué à la prospérité de la commune.

  • René Sappin des Raynaud (1878-1951), architecte, né à Gouzon.
  • Germain Joseph Dorel (né le 25 février 1889 à 69380 Lozanne), architecte, décédé à Gouzon le 5 aout 1970 (mention sur l'acte de naissance).

Héraldique

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La commune associée de Gouzougnat dispose d'un blasonnement.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Références

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  1. « Didacticiel de la règlementation parasismique > Département : 23 > Commune : GOUZON - Le Plan Séisme », sur planseisme.fr (consulté le ).
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Gouzon et Boussac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Boussac_sapc » (commune de Boussac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Boussac_sapc » (commune de Boussac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  10. « Liste des espaces protégés sur la commune de Gouzon », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Gouzon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Gouzon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Carte de la ZNIEFF « Étang et prairies humides de Tiolet » (centrée sur Gouzon) » sur Géoportail., Géoportail, consulté le .
  15. [PDF] Chabrol, Espaces naturels du Limousin, Étang et prairies humides de Tiolet - (Identifiant national 740006171), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  16. « Carte de la ZNIEFF « Prairies et mares de la Voueize à Lussat » (en vert foncé) à Gouzon » sur Géoportail., consulté le .
  17. « Carte du bois des Landes (en vert) à Gouzon » sur Géoportail., consulté le .
  18. ZNIEFF 740120044 Bassin versant de l'étang des Landes, INPN - MNHN, consulté le .
  19. [PDF] Espaces Naturels du Limousin, L. Chabrol, Bassin versant de l'étang des Landes - (Identifiant national 740120044), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  20. « Carte du bassin versant de l'étang des Landes (en vert clair) à Gouzon » sur Géoportail., consulté le .
  21. ZNIEFF 740006140 Vallée de la Voueize à l'amont de Chambon, INPN - MNHN, consulté le .
  22. « Carte de la ZNIEFF « Vallée de la Voueize à l'amont de Chambon » (en vert foncé) à Gouzon » sur Géoportail., consulté le .
  23. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
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  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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  28. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Gouzon », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gouzon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  33. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  34. Marcel Villoutreix, « La toponymie limousine d'origine antique », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, vol. I, no 1,‎ , p. 34-43 (ISSN 2275-5160, lire en ligne).
  35. « I.E.O. - Toponimia occitana », sur Framacarte.org ; carte des toponymes des régions occitanes par l'Institut d'Estudis Occitans.
  36. a et b Yves Lavalade, Dictionnaire des communes de la Creuse, La Geste, , 248 p. (ISBN 979-10-353-1852-9).
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  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Notice no PA00100083, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Notice no PA00100084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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  45. Ministère de l’écologie

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • D. Dussot, Carte archéologique de la Gaule, Creuse, dir. M.Provost, Paris, 1989, p. 134-5.
  • M. Joullieton, Histoire de la Marche et du pays de Combraille, Guéret, 1814, 2 tomes, p. 95.
  • A. Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, (1902), Marseille 1994, p. 307-8.

Articles connexes

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Liens externes

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