Galinagues

commune française du département de l'Aude

Galinagues Écouter (en occitan Galinagas) est une commune française, située dans le Sud-Ouest du département de l’Aude en région Occitanie.

Galinagues
Galinagues
Vue du bourg.
Blason de Galinagues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes des Pyrénées Audoises
Maire
Mandat
Patrick Emery
2020-2026
Code postal 11140
Code commune 11160
Démographie
Gentilé Galinagois
Population
municipale
33 hab. (2021 en évolution de +17,86 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 48′ 31″ nord, 2° 02′ 46″ est
Altitude Min. 736 m
Max. 1 098 m
Superficie 4,14 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Haute-Vallée de l'Aude
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Galinagues
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Galinagues

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pays de Sault, un plateau situé entre 990 et 1310 mètres d'altitude fortement boisé. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Rébenty et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « pays de Sault » et le « bassin du Rebenty ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Galinagues est une commune rurale qui compte 33 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 197 habitants en 1821. Ses habitants sont appelés les Galinagois et ses habitantes les Galinagoises.

Géographie

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La commune est située dans le pays de Sault.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Galinagues[1]
Espezel Belfort-sur-Rebenty
  Rodome
Mazuby

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le Rebenty, le ruisseau de Font Escure et le ruisseau du Rach, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Lauquette, d'une longueur totale de 17,9 km, prend sa source dans la commune de Fajac-en-Val et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est puis vers l'ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Lauquet à Ladern-sur-Lauquet, après avoir traversé 4 communes[5].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 998 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Belcaire à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

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Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[13] :

et un au titre de la directive oiseaux[13] :

  • le « pays de Sault », d'une superficie de 71 499 ha, présentant une grande diversité d'habitats pour les oiseaux. On y rencontre donc aussi bien les diverses espèces de rapaces rupestres, en particulier les vautours dont les populations sont en augmentation, que les passereaux des milieux ouverts (bruant ortolan, alouette lulu) et des espèces forestières comme le pic noir[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[16] : la « vallée du Rébenty de Belfort-sur-Rebenty à Cailla » (3 553 ha), couvrant 10 communes du département[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] :

  • le « petit plateau de Sault » (5 054 ha), couvrant 11 communes du département[18] ;
  • la « vallée du Rébenty » (5 661 ha), couvrant 14 communes du département[19].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Galinagues est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (55,8 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), forêts (12,3 %), prairies (10,3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Galinagues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Galinagues.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 24,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 33 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en aléa moyen ou fort, soit 0 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous la forme de Galinagiis en 1360[27].

Issu du bas latin galina (cf. occitan galina « poule »[28]), suivi du suffixe gaulois -aca[28], forme féminine d'-acum, suffixe ayant originellement une valeur locative. Le bas latin Galina recouvre peut-être un nom de personne gaulois *Gallinus, issu de Gallus « le Gaulois » avec suffixe diminutif gaulois et latin -inus[28].

Histoire

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En 876, le seigneur d'Aniort (Niort-de-Sault) détient les territoires d'Aniort, Gebetx, Galinagues et Mazuby[29].

En 1016, le chevalier Bernard Odon de Niort donne à l'abbaye de Joucou la moitié du lieu de Galinagues. En 1037, il donne l'autre moitié du lieu à la canoniale de Saint-Jean de Niort.

À la fin des années 1990, Galinagues, petit village du bout du monde, a retrouvé une seconde jeunesse avec l'arrivée de nouveaux venus de l'Europe urbaine et même des États-Unis. La population est passée de 28 habitants en 1990 à 41 en 1999. La Dépêche du Midi relate en avril 1999 que les enfants, au nombre de 16, ont pris possession du village[I 2]. Crèche vivante, carnaval, omelette pascale.. ont été parmi les initiatives redonnant du sens au mot village[30].

Au début des années 2010, les plus grands enfants ont dû se rendre en ville ramenant la population à 29, remontée à 37 en 2018.

Le 10 juillet 2021, la 14e étape du Tour de France passe sur la commune et emprunte la côte de Galinagues classée en 3e catégorie au Grand prix de la montagne.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Galinagues est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[31].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[32].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 En cours Patrick Emery PS  
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 33 habitants[Note 4], en évolution de +17,86 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
175179176197180174176186158
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
149153151149140143148142124
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
113112100827680777364
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
574226312841434329
2017 2021 - - - - - - -
3533-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 3] 22,2 % 17,4 % 4,3 %
Département[I 4] 10,2 % 12,8 % 12,6 %
France entière[I 5] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 24 personnes, parmi lesquelles on compte 60,9 % d'actifs (56,5 % ayant un emploi et 4,3 % de chômeurs) et 39,1 % d'inactifs[Note 5],[I 3]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 6]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 14, soit un indicateur de concentration d'emploi de 99,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,7 %[I 7].

Sur ces 14 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 92 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 38,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 30,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 30,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

Activités hors agriculture

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Deux établissements[Note 6] seulement relevant d’une activité hors champ de l’agriculture sont implantés à Galinagues au [I 10].

Agriculture

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1988 2000 2010
Exploitations 5 4 4
Superficie agricole utilisée (ha) 115 161 nd[Note 7]

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[37]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 8] de 2010 (cinq en 1988)[39].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Écartelé d’azur et d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. nd : donnée non disponible.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Galinagues » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  3. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Galinagues », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « la Lauquette »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Galinagues et Belcaire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Belcaire » (commune de Belcaire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Belcaire » (commune de Belcaire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  13. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Galinagues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « site Natura 2000 FR9101468 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « site Natura 2000 FR9112009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Galinagues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF la « vallée du Rébenty de Belfort-sur-Rebenty à Cailla » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « petit plateau de Sault » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « vallée du Rébenty » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. « Les risques près de chez moi - commune de Galinagues », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
  28. a b et c Robert Aymard, Les Pyrénéens au miroir de leur toponymie: Atlas toponymique pyrénéen, 1995, page 115
  29. Jean-Pierre Sarret, « Géographie historique du Pays de Sault au Moyen Age (Aude). », Archéologie du Midi médiéval. Tome 3,‎ , pp. 93-102 (lire en ligne)
  30. Ph. C., « La deuxième vie de Galinagues », La Dépêche du midi,‎ (lire en ligne)
  31. « communauté de communes des Pyrénées audoises - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  32. « Découpage électoral de l'Aude (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  38. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  39. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Galinagues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Liens externes

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Articles connexes

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