Gacé
Gacé est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie.
Gacé | |
Le château. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
Intercommunalité | CC des Vallées d'Auge et du Merlerault |
Maire Mandat |
Jean Grimbert 2020-2026 |
Code postal | 61230 |
Code commune | 61181 |
Démographie | |
Population municipale |
1 786 hab. (2021 ) |
Densité | 275 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 47′ 35″ nord, 0° 17′ 49″ est |
Altitude | Min. 179 m Max. 316 m |
Superficie | 6,50 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Vimoutiers |
Législatives | 2e circonscription de l'Orne |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.gace.fr/ |
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Géographie
modifierLocalisation
modifierGacé se trouve sur l'axe Rouen - Le Mans. La Touques arrose la commune.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Cisai-Saint-Aubin, Coulmer, Croisilles, Résenlieu et Saint-Evroult-de-Montfort.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d'Ouche et au Perche et bénéficiant d’un caractère continental affirmé avec des précipitations atténuées et des amplitudes thermiques fortes[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Merlerault à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gacé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[9],[10].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62,8 %), zones urbanisées (14,7 %), forêts (14,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), terres arables (2,8 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 073, alors qu'il était de 1 120 en 2015 et de 1 141 en 2010[I 2].
Parmi ces logements, 82,5 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 15,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 72,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 27,4 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gacé en 2020 en comparaison avec celle de l'Orne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (10,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 49,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (45,6 % en 2015), contre 64,3 % pour l'Orne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Gacé[I 2] | Orne[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 82,5 | 78,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 2,4 | 10,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 15,1 | 11,1 | 8,2 |
Toponymie
modifierLe nom de la commune est attesté sous les formes de Gaci vers 1055 et Waci en 1066[12].
Les toponymistes considèrent la finale -é comme une évolution phonétique du suffixe gallo-roman *(I)-ACU, issu du gaulois -acon (celtique commun *-āko-), localisant à l'origine, puis marquant la propriété. La forme -é est caractéristique de l'ouest (Sud de la Normandie, Maine, Haute-Bretagne, Anjou, etc.), ailleurs au nord ouest et au nord, cette finale est notée -y, -ay (-ai dans l'Orne par correctisme officiel) ou -ey.
Par contre, l'analyse du premier élément Gac- ne fait pas l'unanimité.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing[12] l'expliquent par le nom de personne gallo-romain Vassius. Ils le relient aux toponymes du type Vassy, Vassé et Vaissac
- Ernest Nègre propose, quant à lui, le nom de personne germanique Wacco[13], cité par Marie-Thérèse Morlet[14]
- René Lepelley reprend la proposition d'A. Dauzat et C. Rostaing, avec le nom de personne Wassius, donné sans astérisque[15].
Remarques : 1/ le nom de personne gallo-roman Vassius serait issu du gaulois vassos « serviteur, soumis » (cf. vasseur, vassal, valet. cf. breton gwaz « homme, mari »). 2/ Le passage de [v] à [g] (par l'intermédiaire de [w]) suppose une influence germanique qui se serait exercée sur la consonne initiale de l'anthroponyme [v] devenu [w] puis [g(w)]. On la note, entre autres, dans certains noms communs, par exemple : WADU → gué (peut-être latin vadum, assimilé au vieux bas francique *wad) ; WESPA → guêpe (latin vespa, assimilé au vieux bas francique *wespa), etc. 3/ Il existe effectivement un nom de personne germanique Wasso cf. Vassonville (Seine-Maritime), Boisgasson (Eure-et-Loir) et le nom du poète Wace (autrement Gace, etc.), nom de famille normand Vasse. Dans la partie septentrionale de la Normandie, le [w] est passé à [v] vers le XIIe siècle, sans aboutir à [g] comme dans la partie méridionale (cf. Ligne Joret). 3/ Vassy (Calvados, Vadceium en 1107 (DRS), Vaceium en 1187, Vaacey 1303) est mentionnée sous la forme Waacie vers 1066. Cependant, ses autres formes anciennes n'impliquent pas véritablement un apparentement avec Gacé[16]. De même, Wassy (Haute-Marne, Finis Vuaseacinsis, 662, Vuasciacus, 1066-80, Waseium, 1171, Waissi) peut difficilement contenir le même anthroponyme.
Histoire
modifierAntiquité
modifier- Voie romaine Rouen - Le Mans.
Moyen Âge
modifier- Hugues le Grand y a séjourné.
- Vers 1041, Raoul de Gacé, connétable de Normandie, est seigneur de Gacé.
- En 1119, les paysans de Gacé sont épargnés par Richard de Laigle.
- Au milieu du XIIIe siècle, les du Merle deviennent seigneurs de Gacé par mariage de Guillaume V du Merle[17] avec Marie de Nollent de Tancarville, dame de Gacé, jusqu'au mariage vers 1380 d'Agnès du Merle, dame de Gacé, de la Ferté-Fresnel et du Merlerault avec Jean de La Champagne, seigneur d’Avrilly.
- À la suite du mariage de Jeanne de La Champagne, fille de Jean, avec Nicolas (ou Nicol) Paynel, la famille Paynel possède Gacé jusqu'en 1414, quand Jeanne Paisnel, unique héritière de Nicolas, se marie avec Louis d'Estouteville[18]. Au début du XVe siècle, Foulque IV Paynel, baron de Hambye et de Bricquebec, seigneur de Chanteloup, de Moyon, de Créances, d'Apilly (Saint-Senier-sous-Avranches), du Merlerault et de Gacé, est un puissant seigneur de Normandie, chevalier banneret qui regroupe sous ses armes, quatre bacheliers et de dix à quatorze écuyers. Son frère Nicole Paynel lui succédera[19].
- Occupation de la cité par les Anglais durant la guerre de Cent Ans. En 1417, les Anglais fortifièrent Gacé. La ville revient à la France en 1449 sur l'intervention du sire D'Orval.
Révolution française et Empire
modifierLe château est pris par les chouans en 1800[réf. nécessaire].
Époque contemporaine
modifier- Affaire criminelle Albert Leclercq en 1924[20].
- Destruction du centre de Gacé en , qui est la première ville sinistrée de l'Orne.
- Voie ferrée Sainte-Gauburge (Orne) au Mesnil-Mauger (Calvados) (désaffectée).
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune se trouve dans l'arrondissement d'Argentan du département de l'Orne.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Gacé[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Vimoutiers
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Orne
Intercommunalité
modifierGacé était le siège de la petite communauté de communes de la Région de Gacé, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Vallées d'Auge et du Merlerault, dont est désormais membre la commune.
Administration municipale
modifierCompte tenu de la population de la commune, son conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et ses adjoints[22].
Liste des maires
modifierJumelages
modifierGacé est jumelée avec :
Démographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2021, la commune comptait 1 786 habitants[Note 1], en évolution de −5,8 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifier- Distillerie, cidrerie, laiterie industrielle[32]
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Pierre, de style néo-gothique, construite vers 1880 sur les plans de l'architecte Ruprich-Robert, élève de Viollet-le-Duc.
- Château des XIIe (?), XIVe, XVe, XVIe et XVIIe siècles, en pierre et brique rouge, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1968[33],[34],[35],[36], occupé par la mairie et le musée de La Dame aux camélias[37],[38].
- Monument aux morts[39] : conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - AFN-Algérie (1954-1962).
Personnalités liées à la commune
modifier- Louis Charles Grégoire Maignet (Gacé 1768-1848), général d'Empire[40], officier de la Légion d'honneur (1815).
- Charles Auguste Goyon de Matignon (1647-1739), comte de Gacé, maréchal de France.
- Pierre Joseph Antoine Beauperrey (1745-1794), né à Gacé (La Chapelle-Montgenouil), député aux États généraux de 1789 puis à l'Assemblée constituante.
- Le peintre Edgar Degas et la comtesse de Ségur marquèrent aussi la ville par leur passage.
- Marie Duplessis, née Alphonsine Plessis, qui inspira à Alexandre Dumas fils son roman La Dame aux camélias, y travailla chez un marchand de parapluies[41].
Héraldique
modifierBlason | De gueules à deux tours d'argent closes et maçonnées de sable, rangées en fasce[42]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifier- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Gacé, p. 500
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- « Dossier complet : Commune de Gacé (61181) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 14/11//2023 (consulté le ).
- « Gacé » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Gacé ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Gacé » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Gacé - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Gacé - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Orne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Gacé et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Deauville » (commune du Le Merlerault) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Deauville » (commune du Le Merlerault) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 308.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : 2. Formations non-romanes, vol. 2, Librairie Droz, , p.758.
- Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes de l'ancienne Gaule, I, p. 211a.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2). p. 131.
- Nègre 1991, vol. I, p. 593.
- Guillaume V du Merle baron du Merlerault, Messei et Goron était né vers 1210.
- Jersey : ses antiquités, ses institutions, son histoire.
- Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 80.
- Jean-François Miniac (préf. Alain Lambert), Les Grandes Affaires criminelles de l'Orne, Paris, Éditions de Borée, coll. « Les Grandes Affaires criminelles », , 336 p. (ISBN 978-2-84494-814-4).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur légifrance.
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets » , sur Gallica, (consulté le ).
- Ouest-France du 29 mars 1971, « M. Émile Lelandais élu maire de Gacé ».
- « Derniers voeux d'Albert Debotté, maire de Gacé, avant son retrait », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Ancien maire de Gacé, Albert Debotté est décédé à l'âge de 82 ans : Albert Debotté était une figure incontournable de la vie locale de Gacé (Orne). Ses amis et collègues réagissent à son décès », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélection 2014-2020 : « Gacé. François Dreux facilement réélu », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « Maire depuis 2008, François Dreux, professeur retraité de 64 ans, est facilement réélu à Gacé ».
- Véronique Couvret, « Municipales. Jean Grimbert élu maire de Gacé : Mercredi 27 mai 2020, Jean Grimbert a été élu pour la première fois maire de Gacé (Orne). », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Distillerie, cidrerie, laiterie industrielle
- « Château de Gacé », notice no PA00110811, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Tour, côté nord-est
- Ensemble
- Châtelet d'entrée, côté ouest
- Façade donnant sur le parvis : Tour d'angle avec horloge et entrée de la mairie
- Vue d'ensemble : Tourelle et escaliers menant au parvis
- Monument aux morts
- F. Babier et J. G. St-Sauveur, Archives de l'honneur, ou Notices sur la vie militaire, t. 4 passage= 155-156, Paris, Laurens aîné, (lire en ligne).
- Musée de la dame aux camélias
- http://www.gace.fr/?page_id=816