Générargues

commune française du département du Gard

Générargues est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Générargues
Générargues
Bambouseraie - Village laotien.
Blason de Générargues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Thierry Jacot
2020-2026
Code postal 30140
Code commune 30129
Démographie
Gentilé Générargais
Population
municipale
696 hab. (2021 en évolution de −1,83 % par rapport à 2015)
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 04′ 58″ nord, 3° 59′ 03″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 420 m
Superficie 10,24 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Alès
(banlieue)
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Alès-1
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Générargues
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Générargues
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Générargues
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Générargues

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le Gardon de Saint-Jean, l'Amous et par deux autres cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée du Gardon de Mialet » et les « falaises d'Anduze ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Générargues est une commune rurale qui compte 696 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération d'Alès et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Générargais ou Générargaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la bambouseraie de Prafrance, inscrite en 2008.

Géographie

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Localisation

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Générargues est localisée dans les Cévennes, à 4 km au nord-ouest d'Anduze. Le village est situé dans la vallée de l'Amous, en amont de sa confluence avec le Gardon d'Anduze, à quelque 200 m d'altitude.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Vu du viaduc de Mialet,
le Gardon d'Anduze à sa jonction avec
le Gardon de Mialet et le Gardon de Saint-Jean.

Le système hydrographique de Générargues se compose pour l'essentiel de la rivière du Gardon et de deux ruisseaux principaux :

  • ruisseau des Gypières, long de 5,7 km[1] et qui traverse également les communes de Anduze, Bagard, Boisset-et-Gaujac, Saint-Jean-du-Pin et Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille.
  • ruisseau des Granaux, affluent du Gardon et long de 5 km[2]. Il traverse également les communes de Anduze, Bagard, Boisset-et-Gaujac, et Tornac.

Géologie et relief

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 158 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 3,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 239,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records GENERARGUES (30) - alt : 139m, lat : 44°04'23"N, lon : 3°58'39"E
Records établis sur la période du 01-09-1949 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,8 0,7 3,5 6,4 10 13,7 15,9 15,6 12,1 9,3 4,7 1,5 7,8
Température moyenne (°C) 6 6,7 10,1 12,9 16,9 21 23,6 23,3 19 14,8 9,8 6,5 14,2
Température maximale moyenne (°C) 11,2 12,8 16,7 19,5 23,7 28,2 31,4 31,1 25,8 20,2 14,9 11,5 20,6
Record de froid (°C)
date du record
−14
11.01.1985
−17
04.02.1963
−10,4
02.03.05
−4
08.04.1956
−1
06.05.1979
3
10.06.1956
7
01.07.1991
7
30.08.1986
1
21.09.1977
−3
31.10.1997
−9,5
30.11.1978
−13
27.12.1962
−17
1963
Record de chaleur (°C)
date du record
21,6
30.01.13
24,5
24.02.20
28,3
31.03.12
30,5
14.04.15
37
26.05.1953
43,3
28.06.19
41
06.07.1982
43,1
23.08.23
37,2
04.09.16
32,9
04.10.11
26
03.11.1970
21,8
30.12.21
43,3
2019
Précipitations (mm) 99 70,4 91,8 99,8 101,5 49,1 41 56,1 171,7 178,2 162,3 118,8 1 239,7
Source : « Fiche 30129001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports

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Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 1]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[11].

La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[12],[13].

Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[15] :

  • les « falaises d'Anduze », d'une superficie de 535 ha, un site d'escarpements calcaires, situé au pied des Cévennes en majorité siliceuse avec une riche flore rupestre dont une endémique (Centaurea maculosa subsp. albida) et des milieux rocheux d'éboulis[16] ;
  • la « vallée du Gardon de Mialet », d'une superficie de 23 371 ha, abritant des populations de poissons d'intérêt communautaire, notamment le Barbeau méridional (Barbus meridionalis), mais aussi le Castor et l'Écrevisse à pattes blanches[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[18] : la « corniche de Peyremale et écaille du Mas Pestel » (787 ha), couvrant 4 communes du département[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[18] : les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[20].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Générargues est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès[Note 5], une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,8 %), zones urbanisées (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), prairies (4,7 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

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En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 454.

Parmi ces logements, 72,5 % étaient des résidences principales, 22,2 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 64,4 %[I 6].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Générargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel, et à un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant 37 communes autour d'Alès, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[24], retenu au regard des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Parmi les dernières crues significatives qui ont touché le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25],[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1995, 2002, 2008, 2011, 2014 et 2020[27],[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Générargues.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 348 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 338 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

Risques technologiques

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La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[31].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Générargues est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].

Toponymie

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Occitan Generargues, du bas latin Genayranicæ, Gereyranicæ, Generanicæ[33].

Ses habitants sont appelés les Générargais.

Histoire

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Moyen Âge

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L'Église est mentionnée en 1276, Ecclesia de Generanicis dans le cartulaire du chapitre de Notre-Dame de Bonheur et la paroisse en 1345 dans le cartulaire de la seigneurie d'Alais[34].

Époque moderne

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Révolution française et Empire

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Époque contemporaine

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Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 1989 Maurice Bastide PS  
1989 2001 André Boisset    
2001 2014 Michel Benazet DVG  
2014 En cours Thierry Jacot DVD Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Conseil municipal

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Jumelages

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 696 habitants[Note 8], en évolution de −1,83 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
648599642650689712738642845
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
684658617603606572550565503
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
507705547442448404414370344
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
380377406491546639684697707
2018 2021 - - - - - - -
694696-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 315 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 677 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 520 [I 7] (20 020  dans le département[I 8]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 9,3 % 13,6 % 12,4 %
Département[I 10] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 418 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d'actifs (62 % ayant un emploi et 12,4 % de chômeurs) et 25,6 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 97 emplois en 2018, contre 139 en 2013 et 125 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 263, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,9 %[I 13].

Sur ces 263 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 43 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 3,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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55 établissements[Note 11] sont implantés à Générargues au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 55
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
5 9,1 % (7,9 %)
Construction 9 16,4 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
14 25,5 % (30 %)
Activités financières et d'assurance 2 3,6 % (3 %)
Activités immobilières 2 3,6 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
10 18,2 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
4 7,3 % (13,5 %)
Autres activités de services 9 16,4 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,5 % du nombre total d'établissements de la commune (14 sur les 55 entreprises implantées à Générargues), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces

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Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[39] :

  • Bambouseraie De Prafrance, gestion des jardins botaniques et zoologiques et des réserves naturelles (3 015 k€)
  • Pepinieres De La Bambouseraie, reproduction de plantes (2 963 k€)
  • Bambou Production, commerce de gros (commerce interentreprises) de meubles, de tapis et d'appareils d'éclairage (496 k€)
  • A.picolo, restauration traditionnelle (93 k€)

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 22 12 5 3
SAU[Note 13] (ha) 108 87 40 17

La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (22 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 17 ha[42],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

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Édifices civils

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Domaine de la Bambouseraie de Prafrance

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Village laotien de la Bambouseraie.

La Bambouseraie de Prafrance se situe dans le hameau de Prafrance, à 1 km du centre de Générargues. Elle est inscrite Monument historique depuis le [43].

Moulin à farine, filature et moulinerie de soie Savin, puis Garnier

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Le moulin se situe sur la route d'Anduze, au lieu-dit La Roque, sur la berge de la rivière Amous. C'était un moulin à farine au début du XIXe siècle. En 1853, son propriétaire Paul Savin construisit une petite filature par-dessus. À partir de 1860, sa surface fut agrandie ; une moulinerie s'y établit en 1864. Celle-ci cessera toute activité vers 1880. Le moulin est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[44].

Moulin à blé, moulin à foulon, puis filature de déchets de soie du Roucan

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Le moulin se situe au lieu-dit Le Roucan, au bord de la rivière Gardon de Mialet, affluent du Gardon d'Anduze. En 1559 c'était un moulin à blé et drapier, qui changera plusieurs fois de propriétaires. Au milieu du XIXe siècle, il est transformé en papèterie. En 1872, il subit des transformations et devient atelier de filature de soie et atelier pour le traitement de frisons de cocons. En 1886, il est la peignerie de déchets de soie Martin et Larguier, et en 1892, la carderie de soie Martin Léon. Cette dernière ferma peu après. Le « moulin à blé, moulin à foulon puis filature » est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[45].

Filature de soie Bonifas

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La filature qui porte le nom de son propriétaire Auguste Bonifas, a été créée en 1837. Elle se trouve au lieu-dit Coudoulous sur la route d'Anduze, au bord du Gardon d'Anduze. Elle est agrandie en 1837 et cesse de fonctionner en 1860. La filature est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[46].

Ferme et filature de soie Boisset

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C'est une ancienne bergerie qui se situe « Mas de Bel Air », au lieu-dit Montsauve. César Boisset, son propriétaire, la transforme en filature entre 1846 et 1849. Elle cesse toute activité en 1860. Elle sera ensuite utilisée en grange. Le bâtiment est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[47].

Filature de soie Thérond

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La filature se trouve au lieu-dit Montsauve. Elle a été installée par S. Thérond entre 1811 et 1821. Elle cesse de fonctionner vers 1840. Elle est devenue une remise depuis. La filature est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[48].

Filature de soie Eugène Campredon

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L'atelier de filature se trouve au lieu-dit La Coste. Il appartenait à Eugène Campredon en 1821. Agrandi en 1837, l'atelier est abandonné vers 1890. C'est depuis un hangar. Le bâtiment est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[49].

Édifices religieux

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Patrimoine culturel

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Patrimoine environnemental

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Espaces protégés et gérés

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Corniche de Peyremale et écaille du Mas Pestel
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La zone, située à l'est du département du Gard, englobe trois massifs calcaires de part et d'autre du Gardon. Elle a une superficie de base de 787 ha. Elle recèle quatre espèces déterminantes (trois rapaces : Bubo bubo (Linnaeus, 1758), Circaetus gallicus (Gmelin, 1788) et Falco peregrinus (Tunstall, 1771), ainsi qu'une plante : Picris pauciflora (Willdenow, 1803)[54].

Hautes vallées des Gardons
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La zone a une superficie de base de 73 898 ha. Son intérêt concerne les 66 espèces déterminantes qui y ont été relevées[55].

Personnalités liées à la commune

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  • Joseph Zobel, romancier et poète martiniquais, s'est installé à Générargues dans les années 1950 et y a vécu sa retraite à partir de 1974.
  • Raymond Castans, journaliste, ancien directeur de Paris Match et ancien directeur des programmes de la station de radio française RTL, y vécut sa retraite depuis le début des années 1980 jusqu'aux derniers jours de sa vie, en .
  • Eugène Mazel, botaniste à l'origine de la bambouseraie de Prafrance.
  • Dominique André, sportif de haut niveau, athlétisme handisport, médaillé aux jeux Paralympiques de Sydney 2000 et Athènes 2004.
  • Florent ARNAUD artiste peintre, écrivain. Spécialiste de Nostradamus, il écrivit "Il est passé par Générargues" faisant allusion au prophète Nostradamus qui serait passé par le village de Générargues.

Héraldique

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  Blason
D'azur, à une fasce d'argent chargée de trois lions de sable[34].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  6. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine d'Alès, il y a une ville-centre et 21 communes de banlieue.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  2. « Unité urbaine 2020 d'Alès », sur insee.fr (consulté le ).
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  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Générargues » (consulté le ).
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  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Générargues » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
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  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Générargues » (consulté le ).
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Autres sources

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  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Gypières (V7140520) » (consulté le ).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Granaux (V7140560) » (consulté le ).
  3. « Plan séisme consulté le 28 août 2016 ».
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  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France commune de Saint-Gilles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France commune de Générargues) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  10. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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  33. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 45, t. 2
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  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  50. a et b « Histoire et patrimoine – Générargues » (consulté le ).
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