Freycenet-la-Cuche

commune française du département de la Haute-Loire

Freycenet-la-Cuche est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Freycenet-la-Cuche
Freycenet-la-Cuche
Mairie de Freycenet-la-Cuche.
Blason de Freycenet-la-Cuche
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal
Maire
Mandat
Hervé Romieu
2020-2026
Code postal 43150
Code commune 43097
Démographie
Population
municipale
105 hab. (2021 en évolution de −1,87 % par rapport à 2015)
Densité 6,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 43″ nord, 4° 05′ 19″ est
Altitude Min. 1 034 m
Max. 1 524 m
Superficie 16,25 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Mézenc
Législatives Première circonscription
Localisation
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Freycenet-la-Cuche
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Freycenet-la-Cuche

Géographie

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Localisation

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Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Freycenet-la-Cuche se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 31 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 42 km du Chambon-sur-Lignon[2], bureau centralisateur du canton du Mézenc dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Présailles (4,8 km), Les Estables (5,4 km), Freycenet-la-Tour (5,4 km), Le Béage (5,6 km), Moudeyres (6,8 km), Issarlès (7,2 km), Alleyrac (8,0 km), Le Lac-d'Issarlès (8,5 km).

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 190 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Estables_sapc », sur la commune des Estables à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 6,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 226,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Freycenet-la-Cuche est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (76,4 %), forêts (22,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 133, alors qu'il était de 133 en 2013 et de 136 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 39,1 % étaient des résidences principales, 45,9 % des résidences secondaires et 15 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 12 % des appartements[I 6].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Freycenet-la-Cuche en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (45,9 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,3 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

Le logement à Freycenet-la-Cuche en 2018.
Typologie Freycenet-la-Cuche[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
Résidences principales (en %) 39,1 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 45,9 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 15 12,4 8,2

Toponymie

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Histoire

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Les grottes de Longetraye furent à partir de 1967 fouillées par des archéologues pendant seize ans. Ils y découvrirent des traces d'occupation du Paléolithique, du Mesolithique et du Néolithique[11],[12].

Les populations de ces périodes s'installent quasi exclusivement dans les zones basses, mais les grottes de Longetraye, établies à plus de 1200 mètres d'altitude, font figure d'exception. La proximité des gués semble particulièrement appréciée. Ces installations légères aménagées dans les abris rocheux constituent de rares et précieux témoignage d'un mode de vie fondé sur la cueillette, la pêche, la chasse aux chevaux, aux rennes mais aussi aux marmottes. Les populations demeurent itinérantes, et leurs implantations varient sur de longues distances, au gré des déplacements de la faune sauvage. L'Homo sapiens couvre des distances incroyables à cette époque.

Certains traits de la géographie humaine commencent alors à se fixer. L'homme sort peu à peu des vallées pour coloniser les plateaux, et l'appropriation du milieu montagnard se fait progressivement plus complète et plus uniforme. Les vallées sont toujours privilégiées, mais, avec l'exploitation agricole, la fertilité des plateaux volcaniques devient un atout, rapidement repéré. et si les hommes vivent encore dans les abris rocheux, ils peuvent aussi s'installer en plein air (surtout l'été), ou dans des cabanes[13].

Antérieurement à ces travaux, on pensait le plateau du Mezenc totalement désolé jusqu'à son défrichage par les moines de la chartreuse de Bonnefoy vers l'an 1200, qui mentionnent le village dans leur cartulaire en 1220.

Sa première église est datée de 1663, rebâtie en 1896. Au XVIIe siècle est aussi construite la maison forte de Freycenet, peut-être sur des bases plus anciennes[14].

La population du village est de 534 habitants en 1793; 889 en 1891; 756 en 1911; 581 en 1936; 367 en 1968; 145 en 1999[15].

Depuis le , la municipalité fait partie de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal.

Héraldique

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  Blason
D’azur à la tour d’argent, ouverte du champ, maçonnée de sable, au lion léopardé de gueules brochant.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Freycenet-la-Cuche est membre de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Julien-Chapteuil. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[16].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Mézenc pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[17].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 mars 2008 Adrien Giraud UDR puis RPR puis UMP  
mars 2008 2020 Angèle Rochette[18] SE Agricultrice
2020 En cours Hervé Romieu[19]    

Adrien Giraud battit tous les records de longévité de la Haute-Loire en restant en poste quarante-trois ans. Il se retira néanmoins en mars 2008 pour goûter à une retraite bien méritée avant de s'éteindre en 2011.

Dans le cadre de l'élection présidentielle de 1995, Adrien Giraud parraina la candidature d'Édouard Balladur.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 105 habitants[Note 3], en évolution de −1,87 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
534424531579621808851715793
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
732770798766808864881889806
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
787785756727645539581548459
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
431367285216176145149149114
2017 2021 - - - - - - -
106105-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 44,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 54 hommes pour 52 femmes, soit un taux de 50,94 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 10]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,8 
11,1 
75-89 ans
17,3 
33,3 
60-74 ans
23,1 
24,1 
45-59 ans
17,3 
11,1 
30-44 ans
13,5 
7,4 
15-29 ans
11,5 
13,0 
0-14 ans
13,5 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

Activités et loisirs

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Sur le territoire de la commune se trouve un mini-golf de 18 trous. On peut également y voir : une maison forte datant du XIIIe siècle pour ses parties les plus anciennes et construite en totalité en matériaux issus du volcanisme local (classée à l'ISMH en 1992) ; une chambre d'hôte : l'atelier de la forge vendant des boutis ; un bar-restaurant communal, l’Auberge de La Cistre située dans le bourg. Un autre restaurant est également présent au lieu-dit Largentière : Ladouceur. Dans le cadre d'activités économiques et sociales on peut voir dans le village un centre de vacances EDF (CCAS). Les gîtes sont nombreux sur le territoire de la commune. À noter que Freycenet-la-Cuche est dans le territoire de l'AOP fin-gras pour l'élevage bovin et qu'un exploitant agricole a été primé au Salon de l'Agriculture de 2014.

Économie

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Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 12] 2,3 % 4,8 % 5,5 %
Département[I 13] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 14] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 55 personnes, parmi lesquelles on compte 78,2 % d'actifs (72,7 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs) et 21,8 % d'inactifs[Note 4],[I 12]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 15]. Elle compte 31 emplois en 2018, contre 30 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 16].

Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 61 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 62,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 25,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Hameau de Roche Haute inscrit à l'inventaire des sites protégés par arrêté ministériel du .
  • Maison forte[23], inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [24].
  • L'église paroissiale actuelle, sous le patronage de saint Jean-Baptiste et de style néo-roman, date de la fin du XIXe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Voir aussi

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Freycenet-la-Cuche ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Freycenet-la-Cuche » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Freycenet-la-Cuche - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Freycenet-la-Cuche - Section LOG T7 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Freycenet-la-Cuche (43097) », (consulté le ).
  11. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  12. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Freycenet-la-Cuche » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  16. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Freycenet-la-Cuche » (consulté le ).
  17. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  18. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Freycenet-la-Cuche et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Freycenet-la-Cuche et Le Chambon-sur-Lignon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Freycenet-la-Cuche », sur villorama.com (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Freycenet-la-Cuche et Les Estables », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Les Estables_sapc », sur la commune des Estables - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Les Estables_sapc », sur la commune des Estables - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. Livre "Le monde souterrain de Haute-Loire", de Jean-Paul Béal, année 2018, page 137.
  12. André Crémillieux, « Millénaires et bulldozers : le site de Longetraye », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,‎
  13. Laurent Wauquier et Yannick Faure, La Haute-Loire, de ses origines à nos jours, Le Puy-en-Velay (Haute-Loire), éditions Jeanne-d'Arc, , 262 p. (ISBN 978-2-362-62008-9), p. 24
  14. « Maison-forte de Freycenet », sur pop.culture.gouv.fr/, (consulté le ).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  17. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  18. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
  19. « Liste des maires » [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Roger-Vincent Bathie, « Le Château de Freycenet-la-Cuche », Les Cahiers du Mézenc, Privas, t. cahier n° 8,‎
  24. Notice no PA00092960, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. Joseph Gibert, est né le à Freycenet-la-Cuche, au sein du foyer que forment François Régis Gibert, né en 1808 aux Estables, et Marie Magdeleine Jouffre, née en 1820 à Présailles. Joseph, alors âgé de 17 ans, décide de poursuivre ses études. Très jeune, il s’est en effet découvert une véritable passion pour la lecture. Il souhaite devenir prêtre et part étudier à la Chartreuse à Brives-Charensac. Le jeune homme se tourne finalement vers l’enseignement. Sur sa fiche militaire de la classe 1872, sous le matricule 2003, on apprend qu’il est enseignant des écoles chrétiennes au Puy-en-Velay et, à ce titre, il est exempté. En 1885, Joseph Gibert est nommé professeur de lettres classiques au collège Saint-Michel à Saint-Étienne. En 1886, il décide de « monter » à Paris où il ouvre, face à Notre-Dame, sur le parapet du quai Saint-Michel, quatre baraques de bouquiniste. Le succès est au rendez-vous et deux ans plus tard, il inaugure sa première librairie au 23 quai Saint-Michel, une enseigne spécialisée dans le négoce du livre scolaire d’occasion. Grâce à Jules Ferry, qui rend l’école obligatoire, l’entreprise connaît un beau développement. Joseph Gibert devient alors un acteur connu et reconnu du livre sur la place parisienne. in : « De la Haute-Loire à Paris, une page de l’héritage Gibert se tourne », L'Éveil de la Haute-Loire,‎ (lire en ligne).

Liens externes

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