Fleurus

ville de Wallonie (Belgique)

Fleurus (prononcer [flœʁys] Écouter ; en wallon : Fleuru) est une ville francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut au nord-est de Charleroi.

Fleurus
Fleurus
Château de la Paix, hôtel de ville.
Blason de Fleurus
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Hainaut Province de Hainaut
Arrondissement Charleroi
Bourgmestre Loïc D'Haeyer (PS)
Majorité PS - DéFI
Sièges
PS
DéFI
AGIR (Belgique)
FLEUR"U"
27
12
2
1
12
Section Code postal
Fleurus
Heppignies
Lambusart
Wangenies
Saint-Amand
Brye
Wagnelée
Wanfercée-Baulet
6220
6220
6220
6220
6221
6222
6223
6224
Code INS 52021
Zone téléphonique 071
Démographie
Gentilé Fleurusien(ne)[1],[2]
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
22 915 ()
48,36 %
51,64 %
385,28 hab./km2
Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +
()
19,99 %
60,02 %
19,99 %
Étrangers 11,46 % ()
Taux de chômage 19,01 % (2022)
Revenu annuel moyen 17 826 €/hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 29′ nord, 4° 33′ est
Superficie
– Terr. non-bâtis
– Terrains bâtis
– Divers
59,48 km2 (2021)
76,02 %
8,15 %
15,83 %
Localisation
Localisation de Fleurus
Situation de la ville au sein de l’arrondissement de Charleroi et de la province de Hainaut
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Fleurus
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Fleurus
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Fleurus
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Fleurus
Liens
Site officiel www.fleurus.be

Elle compte 22 915 habitants[3] au premier janvier 2024, sa superficie est de 5 948 ha et l'altitude moyenne est de 156 m. La densité est de 385,26 habitants/km2. La commune est située dans l'arrondissement de Charleroi. Fleurus est souvent appelée la « cité des Bernardins ».

Outre la ville de Fleurus, la commune est composée de sept villages : Brye, Heppignies, Lambusart, Saint-Amand, Wagnelée, Wanfercée-Baulet et Wangenies.

Toponymie

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La première mention du toponyme date de 868-869 dans le polyptyque de l'abbaye de Lobbes, sous la forme Fledelciolum ou Flederciolum qui est devenu Fleurjoux (petit Fleurus). Au Xe siècle, dans la Chronique de Waulsort, on trouve Flerus et dans le décret de Notger en 980, Flerosium. On rencontre aussi la forme Flerusium en 1033, latinisation de la forme romane de Flerus. Quant à la Charte des libertés communales de 1155, elle mentionne Flerus, et celle de 1247, Fleru[4].

Le toponyme Fleurus viendrait de Fleder ou Fledera augmentée du suffixe celtique aus, qui a donné Flederaus, par contraction Fleeraus, Fleraus, puis plus tard Flerues, Fleruis, Flerus, et finalement Fleurus. En bon latin, le nom de l'entité était Flerosium ou Flerosiensis, mais on trouve aussi notamment Flerucensis, Flerucensium. Ce n'est qu'au XVIIe siècle qu'apparaît le toponyme Fleurus, antérieurement c'était généralement Fleruis, Flerues et Fleru qui étaient utilisés ou l'une de ses nombreuses variantes. Le mot celtique Fledera, formé du radical Fled et du suffixe hydronymique era, affaiblissement de ara, était utilisé pour désigner un cours d'eau. Fledera désignait probablement le ruisseau qui traversait la ville de Fleurus et qui était plus important que de nos jours. Au Moyen Âge, il était appelé li riu, puis li ry, puis le ry et le rieu[5].

Géographie

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Sections de la commune

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# Nom Superf.
(km²)[6]
Habitants
(2020)[6]
Habitants
par km²
Code INS
1 Fleurus 15,16 8.047 531 52021A
2 Wanfercée-Baulet 9,64 7.228 750 52021B
3 Lambusart 4,54 3.082 678 52021C
4 Wangenies 3,69 1.185 321 52021D
5 Heppignies 7,90 1.206 153 52021E
6 Saint-Amand 10,54 1.059 100 52021F
7 Wagnelée 3,50 896 256 52021G
8 Brye 4,51 348 77 52021H

Communes limitrophes

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Morphologie urbaine

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Quartiers et lieux-dits

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  • Le Vieux Campinaire.
  • Martinrou.
  • La Croix.
  • La Marcelle.
  • La Gungette.
  • Bon-Secours.
  • Les Champs-Elysée.
  • Plomeco.
  • Campagne de Chassart.
  • Bon-Dieu de Piété.
  • Le Champ Dandois.
  • Saint-Roch.
  • Berlaimont.
  • La Poudrière.
  • Cité de l'Europe.

Armoiries

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Blason de Fleurus. Il lui avait originellement octroyé le 14 janvier 1902.
Blasonnement : D'or au lion de sable, armé, lampassé et couronné de gueules[7].



Histoire

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La bataille de Fleurus en 1794

Des traces d'agriculture datant du Néolithique ont été retrouvées, notamment dans les lieux-dits de Fleurjoux et de Neuve Baraque. Sous la domination romaine, grâce à la construction d'une chaussée romaine (la chaussée Brunehaut, reliant Bavay à Cologne), nous retrouvons les premières traces d'activités à Fleurus.

En octobre 1155, Henri l'Aveugle, comte de Namur, affranchit la commune qui devient la ville franche de Fleurus. Henri l'Aveugle possédait le château d'Heppignies. C'est de ce moment-là que date le premier étage de l'église Saint-Victor. Sa Charte fut confirmée en 1247 par Baudouin de Constantinople, et son sceau, au XIVe siècle, « écu au lion à une cotice brochant, accompagnée dans le champ de deux crosses adossées » témoigne de ses appartenances au comté de Namur. En effet, le lion (de sable) à une cotice (de gueules, sur fond d'or) était le blason des comtes de Namur, les crosses rappelant la juridiction et les droits seigneuriaux qu'y possédait le chapitre de Saint-Lambert de Liège, après l'abbaye de Lobbes.

Les batailles de 1622, 1690 et 1794

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Du fait de son emplacement stratégique, la ville fut le théâtre de nombreuses batailles (on en connaît plus de 140, et 31 dévastèrent la ville). Les plus connues eurent lieu :

La dernière bataille (de l'époque française) dite de Fleurus a lieu en 1815 à Ligny. C'est en effet de Fleurus que Napoléon Ier emporte sa dernière victoire avant la défaite de Waterloo. La chambre où l'empereur a passé la nuit précédant cette bataille a été reconstituée au Château de la Paix, aujourd'hui siège de l'administration communale fleurusienne.

Les batailles de Fleurus les plus connues sont les plus récentes, il n'en est généralement cité que trois. Encore pendant les deux guerres mondiales, Fleurus fut le théâtre d'affrontements, mais pas de bataille à proprement parler sauf au Vieux Campinaire où eut lieu une bataille de chars en septembre 1944.

Patrimoine

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  • Église Saint-Victor de Fleurus. D'origine romane mais maintes fois remaniée, voire reconstruite principalement au XVIIIe et XIXe siècles[9],[10]. L'église est de style classique (intérieur et extérieur) et gothique pour le chœur.
  • Corps d'entrée de l'ancienne abbaye de Soleimont. Construit en briques et en moellons de grès datés des XVIe siècle[11].
  • L'ancien hôtel de ville. Son érection fut décidée en séance du conseil communal, le . Les plans furent confiés à l'architecte Simon de Trazegnies et terminé en 1905[12]. Après la fusion des communes l'administration a déménagé dans le château de la Paix.
  • Bâtiment dit « Au Coq d'Or », place Albert 1er. Daté de 1834 élevé pour les besoins de l'administration communale, appelé Régence et que celle-ci conserva jusqu'en 1871[13].
  • Institut supérieur catholique (Institut Notre-Dame). Aménagé depuis 1912 au départ d'un édifice nommé château Zualart et qui appartenait à la famille de Crawhez[14].
  • Ancien moulin Naveau. Remontant à la fin du XVIIIe siècle[15]. Du haut du moulin que Napoléon regarda et dirigea ses troupes lors de la bataille de Ligny, le [16].
  • École communale (actuellement la maison des jeunes « L'Alternative »). Bâtie en 1879 dans un style baroque flamand[17].
  • Ancienne ferme de Martinrou. Remontant au XVIIe siècle[17].
  • Chapelle Notre-Dame de Martinrou. À l'emplacement d'une chapelle du XVIe siècle dédiée à Saint-Pierre, petit oratoire moderne de 1938 restaurée en 1946[17].
  • Église Saint-Joseph (Le Vieux Campinaire). Construite en 1911 d'inspiration néo-romane[18]. L'abbé C. Bivort réussit à faire démembrer la paroisse Saint-Victor pour constituer la paroisse Saint-Joseph du Campinaire. Celle-ci fut délimitée par acte du par l'évêché de Tournai. L'autorité communale reconnut cette paroisse et l'arrêté royal du parut dans le Moniteur du 30 du même mois[19].
  • Nouvelle abbaye de Soleimont. Construite sur les plans de l'architecte Franz Laurent en 1971-1972[20].
  • Ancienne ferme de la Tourette, ayant appartenu à la famille de Montaigle ainsi que l'atteste la pierre armoriée placée au-dessus de la porte d'entrée du logis[17].
  • Chapelle Sainte-Anne. Oratoire construit en briques et moellons calcaires construit au début du XVIIe siècle et remanié après la Révolution française tout au long du XIXe siècle et en 1937[21].
  •  
    Monument "Aux victoires françaises".
    Château de la Paix. De style classique de la fin du XVIIIe siècle[22]. L'empereur Napoléon 1er y passa la nuit du 16 au 17 juin après la bataille de Ligny[23]. Aujourd'hui le château est devenu l'hôtel de ville de Fleurus.
  • Ferme de la Paix, dite aussi Grande Cense (XVIIe siècle)[24].
  • Chapelle Saint-Roch et Saint-Quirin. Construite en 1634 en l'honneur de Saint-Roch et Quirin a cause des épidémies de peste qui sévirent dans la région en 1625 et 1628 et restaurée en 1895 et 1918[24],[25].

Monuments

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  • Monument « Aux victoires françaises de Fleurus ». Inauguré en 1936[16]. Il se situe au pied du Moulin Naveau.
  • Monument « À nos héros 1914-1918 et 1940-1945 ». situé entre la sacristie et le chœur de l'église depuis 1937[26].

Économie

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Institut national des radioéléments

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L'Institut national des radioéléments (IRE) se trouve à Fleurus. Créée en 1971, cette institution d'utilité publique produit des radio-isotopes à usages médicaux.

Le , un travailleur qui intervenait dans une installation de stérilisation par rayonnements ionisants chez Sterigenics à Fleurus, a été irradié par une source de cobalt 60. Cet accident a été classé au niveau 4 de l'Échelle internationale des événements nucléaires.

Le , une fuite d'iode-131 radioactif s'est produite dans les installations de l'IRE, qui a été critiqué pour sa réaction tardive, le manque d'information au public et une série d'erreurs commises pendant et après cette fuite. Cette fuite a été classée au niveau 3 sur une échelle de gravité qui va jusque 7[27]. Depuis ce jour, des mesures de sécurité supplémentaires sont prises pour éviter tout autre fuite.

Charbonnages

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Fleurus devait en grande partie sa richesse aux mines de charbon installées sur sont territoire depuis le XVIIIe siècle et exploitées dans le hameau du Vieux-Campinaire[28].

Parmi ces puits, il y avait :

  • Puits du Marquis,
  • Puits Sainte-Henriette,
  • et la société du Nord de Gilly.

Transports

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Ligne Terminus Jours de service
A2 Fleurus Gare Sncb - Quai A-Charleroi Airport Lu, Ma, Me, Je, Sa, Di[29].
17 Châtelineau Place Destrée Châtelet Saint-Roch Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa[30].
67 Jumet (Madeleine) - Fleurus (Champs Elysées) Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa, Di[31].
163 Fleurus - Ransart - Gosselies Lu, Ma, Me, Je, Ve[32].
710 Fleurus - Charleroi Lu, Ma, Me, Je, Ve, Sa, Di[33].
 
La gare.
Ligne Terminus Jours de service
S61 Fleurus - Charleroi-Central Sa, Di[34].
IC Fleurus - Louvain Lu, Ma, Me, Je, Ve[35].
IC Ottignies - Fleurus Lu, Ma, Me, Je, Ve[36].

Politique et administration

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Conseil et collège communal 2024-2030

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Liste des bourgmestres

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  • Loïc D'Haeyer, de 2019 à (PS).

Jumelages

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Villes jumelées avec Fleurus 
Villes jumelées avec Fleurus 
VillePaysPériode
Couëron[37] Francedepuis
 Lugo[38] Italiedepuis le
 Wexford[39],[40] Irlandedepuis le

Fleurus, Couëron et Wexford constituent un cas de jumelage tripartite[41].

Démographie

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Démographie : Avant la fusion des communes

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  • Source: DGS recensements population

Démographie : Commune fusionnée

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En tenant compte des anciennes communes entraînées dans la fusion de communes de 1977, on peut dresser l'évolution suivante :

Les chiffres des années 1831 à 1970 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

  • Source: DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier[3]

Galerie

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Infrastructures

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Complexe sportif.

La Ville de Fleurus dispose de plusieurs centres sportifs gérés par une ASBL communale, FleuruSports, dont le président est l'Échevin des Sports. Le principal, la "Plaine des Sports", comporte, outre différents terrains et salles dédiés notamment au football, tennis, athlétisme, arts martiaux ou pétanque, une piscine. Elle accueille par ailleurs un club proposant différents sports pour personnes handicapées : tennis de table, natation, psychomotricité, haltérophilie et water-polo[42],[43].

Evènements sportifs

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Course cycliste : Traditionnellement, le GP Albert Fauville est organisé sur la commune de Fleurus au mois de juillet.

Folklore

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Bernardins

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Les bernardins, biscuits typiques de Fleurus, semblables à des macarons aux amandes, s'appellent les « sans pareils »[44]. Ils existent depuis plus d'un siècle et sont toujours vendus dans quelques pâtisseries de la rue des Bourgeois.

Cavalcade de Fleurus

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La cavalcade de Fleurus est un festival folklorique international qui se tient annuellement à Pâques. Organisée par quatre sociétés de Gilles, une vingtaine de groupes de danse et de musique paradent dans les rues du bourg[45].

Henri Pétrez

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Henri Pétrez (wa), un des plus grands auteurs wallons du XXe siècle, né et mort à Fleurus, est connu pour ses cinq recueils de fables, les « Fauves du Baron d' Fleûru », écrites sous un pseudonyme (Baron d' Fleûru) qui était le sobriquet de sa maman, Cicîle du Baron. Il a également publié ses souvenirs dans un ouvrage intitulé « Fleûru dins m' vikérîye ».

Son tombeau, dans le cimetière de Fleurus, porte la maxime suivante : « Passant, eûchîz ène pinséye an walon » (Passant, ayez une pensée en wallon).

Personnalités

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  • Jos Grégoire (1900-1976), artiste peintre.

Références

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  1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne).
  2. Le blason populaire Bernardin(e) désigne également les habitants de Fleurus. (ibid.)
  3. a b et c https://view.officeapps.live.com/op/view.aspx?src=https%3A%2F%2Fstatbel.fgov.be%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2Ffiles%2Fdocuments%2Fbevolking%2F5.1%2520Structuur%2520van%2520de%2520bevolking%2FPopulation_par_commune.xlsx&wdOrigin=BROWSELINK
  4. José Cosse Michel Royaux, p. 3.
  5. Histoire de la Ville de Fleurus, par le Chanoine A. Theys, Couillet, 1938
  6. a et b https://statbel.fgov.be/fr/open-data/population-par-secteur-statistique-10
  7. Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 341
  8. La rue de Fleurus à Paris commémore cette bataille depuis 1795
  9. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 246.
  10. Cosse Royaux, p. 14.
  11. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 247.
  12. Cosse Royaux, p. 28.
  13. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 248.
  14. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 251.
  15. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 253.
  16. a et b Cosse Royaux, p. 39.
  17. a b c et d Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 254.
  18. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 265.
  19. Cosse Royaux, p. 6.
  20. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 264.
  21. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 256.
  22. Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 257.
  23. Mathieu 1973, p. 6.
  24. a et b Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20, p. 259.
  25. Cosse Royaux, p. 12.
  26. Mathieu 1973, p. 7.
  27. « Août 2008 : rejet anormal d’iode radioactif à l'Institut des radioéléments (Fleurus) », sur afcn.fgov.be, Agence fédérale de contrôle nucléaire (consulté le ).
  28. Cosse Royaux, p. 4.
  29. « a2 Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Fleurus Gare Sncb - Quai A→Charleroi Airport (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  30. « 17 Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Chatelineau Place Destrée→Chatelet Saint-Roch (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  31. « 67 Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Jumet Madeleine→Fleurus Champs Elysées (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  32. « 163 Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Gosselies Athénée→Fleurus Champs Elysées (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  33. « 710 Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Gilly Métro→Charleroi Palais (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  34. « s61 Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Fleurus→Charleroi-Central (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  35. « ic Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Fleurus→Louvain (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  36. « ic Itinéraire: Horaires, Arrêts & Plan - Ottignies→Fleurus (mis à jour) », sur moovitapp.com (consulté le )
  37. « http://www.fleurus.be/documents/Cavalcade2015.pdf » (consulté le )
  38. « Fleurus: un nouveau jumelage avec la ville italienne de Lugo est sur le point d'être conclu » (consulté le )
  39. « http://www.fleurus.be/documents/Fleurus_8_communes.pdf » (consulté le )
  40. « Vers une charte de jumelage en triangle », (consulté le )
  41. P.R., « Vers une charte de jumelage en triangle »  , sur lavenir.net, L'Avenir, (consulté le )
  42. « Sports adaptés », sur Administration communale de Fleurus (consulté le )
  43. « Nos sections », sur S.P.H. Fleurus (consulté le )
  44. « Historique de la société "Les sans pareils" » (consulté le )
  45. Cavalcade de Fleurus, site de Wallonie Belgique tourisme.

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0, lire en ligne)
  • André Lépine, Les charbonnages du Pays noir en cartes postales anciennes, Cahier du Musée de Cerfontaine n° 503, 100 vues, 1996. — Au début du XXe siècle, le bassin houiller de Charleroi était partagé en 31 concessions.
  • Jean-Loup Robaux, Un "occasionnel" sur la bataille de Fleurus (1622) (Libelle de Jean de Robaulx, seigneur de Daussois, gouverneur de la ville de Beaumont, sur cette bataille contre Mansfeld), cahier du Musée de Cerfontaine n° 424, 31 pages, 1998.
  • José Cosse et Michel Royaux, Fleurus, 100 ans Dji m'souvé bé, La Confrérie de la Cité des Bernardins de Fleurus, 96 p.
  • Charles Mathieu, Fleurus en cartes postales anciennes, Zaltbommel, Bibliothèque Européenne, , 38 p.

Liens externes

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