Discussion:Logique floue

Dernier commentaire : il y a 3 ans par PIerre.Lescanne dans le sujet Les applications ?
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(Mes excuses : je ne sais pas où classer cette info.) : selon nos collègues mathématiciens de la FEB, Fédération des Equipes Bull "... "Fuzzy sets" ... sous-ensembles flous... A. Kauffmann a écrit 4 tomes sur le sujet (Introduction à la théorie des sous-ensembles flous, Masson) dans les années 70. +++" ; recherche sur "FEB Fédération des Equipes Bull Logique Flou".


Si quelqu'un peut me dire comment faire pour que les croquis soient alignés verticalement, ça m'aiderais grandement !

Je crois que j'ai pas tout à fait découpé les images de la meme manière. Va falloir s'y recoller... Traroth 3 oct 2003 à 12:00 (CEST)
Ben c'est pas ça non plus. C'est bizarre... Quelqu'un pourrait m'aider ? Traroth 3 oct 2003 à 12:14 (CEST)

Bon, j'ai trouvé. Je ne sais pas pourquoi, mais si je place les images en plein milieu de mes paragraphes, ça marche nickel. Va quand meme falloir que je les retaille encore un peu : il y a un peu trop de blanc en dessous des croquis. C'est moche et ça prend de la place. Traroth 3 oct 2003 à 12:28 (CEST)

le principe et l'utilisation de la logique floue dans le domaine de l'électricité

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Premièrement quelle est la définition de la logique floue ? A quoi ça sert l'étude de la logique floue dans ce domaine.

Ne pas confondre une technique et une science

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J'ai modifié quelques formulations et ajouté quelques exemples afin que l'article colle mieux à la réalité des choses. Si je qualifie les procédés d' heuristiques, c'est par diplomatie. Le terme de bricolage serait à mon sens plus honnête, mais essayons de ne froisser personne François-Dominique 24 jul 2004 à 21:51 (CEST)

Relis-toi et enlève le franco-francisme que tu viens de mettre, merci Jyp 24 jul 2004 à 22:21 (CEST)
Que nommes-tu un franco-francisme et de quel passage parles tu ? François-Dominique 24 jul 2004 à 22:50 (CEST)

Distance de Levenshtein

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Bonjour, ayant bossé un peu avec un algo calculant la distance de Levenshtein denièrement et n'ayant pas vraiment trouvé de publications top sur le net, j'ai écris un petit truc à ce sujet. Il me semble que c'est en lien avec la logique floue, mais n'étant pas spécialiste du tout, je ne sais pas trop comment lier cette notion à l'article "fuzzy logic"... Y'a-t-il un spécialiste dans le coin? Bilbo 3 déc 2004 à 20:32 (CET)

Il n'y a aucun lien entre la distance de Levenstein et la logique floue. La distance de Levenstein est une mesure de la distance entre deux mots (c'est une vraie distance mathématique) qui ne présente aucune incertitude de mesure ou un quelconque manque de précision. BisonRavi 30 juin 2005.

Oui et non...

La distance Levenshtein est une mesure précise au même titre que la mesure de l'humidité de l'air peut être considérée comme précise ou imprécise selon le cas. Ou que le prix demandé pour un appartement est parfaitement précis.

Mais celà n'empêche pas que cette distance peut (au même titre que l'humidité ou le prix) faire l'objet d'une fuzzyfication (je ne connais pas de mot français) en vue d'être utilisée dans un raisonnement nuancé. Par exemple, "je cherche un appartement pas trop cher, loin de la ville et près du lac mais pas trop humide à moins qu'il ne soit réellement très bon marché".

Il ne me viendrait pas à l'idée d'introduire le prix dans un article sur la fuzzy. Par contre, la distance de Levenshtein est une mesure qui peut très bien s'intégrer dans un exemple, notamment dans les applications de la fuzzy à la recherche documentaire et la veille technologique (by the way, un de mes dadas).

Marc M., Bruxelles (be) 30 jun 2005 à 13:13 (CEST)

Je suggère d'associer à une distance d un indice de similarité 1/(d+1), degré de vérité d'une relation floue idoine...
Bien noter que 'logique floue' se comprend tantôt comme 'logique de l'incertain', tantôt comme 'logique graduée' (point discuté notamment chez Dubois & Prade). Ici, la similarité étant graduée, que peut-on induire de la similarité entre deux mots ? avec quelle certitude ? Lf69100 (d) 6 avril 2013 à 22:26 (CEST)Répondre

insuffisance en tant que théorie

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Je ne suis pas tout à fait d'accord avec cette partie. On parle de mathématique du flou. Zadeh a définit La THEORIE algébrique des fonctions d’appartenance des sous-ensembles flous. Qui plus est, il ne faut pas confondre théorie des probabilités qui repose sur une MESURE (la probabilité) et la théorie des sous-ensembles flous qui concerne les phénomènes incertain qui ne sont pas mesurables. L'article réduit la logique floue à l'utilisation de quelques "recettes de cuisine", par exemple le "ET" n'est pas modéliser que par un min. Or ll existe une infinité d'opérateur ET (T norme), OU (T conorme), NON (complémentation) que l'on peut créer selon les besoins.

BisonRavi 30 juin 2005.

note de X.

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J'adhère totalement à cette remarque.

1) Je ne vois pas en quoi nous refuserions à la logique floue le statut de théorie alors qu'il s'agit d'une extension de la logique mathématique, ni plus, ni moins.

2) La logique floue n'est pas un simple isomorphisme de la théorie des probabilités. La logique floue traite de connaissances imparfaites (expressions linguistiques, mesures peu précises, etc.) qui n'ont rien à voir avec des probabilités qui traitent, quant à elle, des événements aléatoires. Quand je précise qu'une personne est grande (pour nos canons européens, par exemple), cela relève de la logique floue et non d'un quelconque hasard!!!

Il y a ici une confusion entre une théorie mathématique (qui est quelque chose d'abstrait) et son interprétation. Deux théories peuvent être équivalentes sans avoir la même interprétation. 83.176.36.239 27 février 2006 à 02:19 (CET)Répondre

La confusion, et aussi le refus de certains universitaires d'accepter la logique floue, provient de ce que le seul formalisme utilisable pour traiter des domaines de la logique floue avant les travaux de Zadeh était justement la théorie des probabilités. Maintenant nous avons le choix des outils.

Et il suffit de voir les progrès techniques résultant de la logique floue (conduite assistée de véhicules, mises au point automatiques d'appareil photos et de caméra vidéo, contrôle de procédés comme des climatisations, robotique, etc.) pour mesurer l'efficacité d'un tel outil (j'oserais dire de cette théorie). N'oublions pas que la logique floue est beaucoup plus proche de la logique humaine que la logique dite classique.

«le seul formalisme utilisable pour traiter des domaines de la logique floue avant les travaux de Zadeh était justement la théorie des probabilités.» Je ne suis pas tout-à-fait d'accord. Aristote, Leibniz et leurs successeurs ont créé la logique modale pour examiner l'aspect flou du langage naturel. Pierre de Lyon 18 mars 2006 à 03:47 (CET)Répondre

note de MM 30/6/2005, 6/7, 7/7

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effectivement, l'article ne fait pas mention d'autres définitions d'opérateurs

en vue de faire les modifs que je proposerais, j'ai déjà préparer le boulot en montant toute une série d'images commons:Fuzzy_operator

ceci dit, si qq'un a le temps avant moi, qu'il se sente libre d'utiliser mes images (elles ne sont pas sous licence propriétaire...). je vais d'ailleurs en insérer une ou deux en thumb dans l'article, juste pour aiguiser l'appétit (la soif de connaissance).

Plus sérieusement, il faudra un (des) articles sur les opérateurs fuzzy.

Marc M., Bruxelles (be) 30 jun 2005 à 12:59 (CEST)

--Marc M., Bruxelles (be) 6 jul 2005 à 10:41 (CEST)

Si la discussion (bienvenue) le justifiait, on pourrait

  • développer des pages plus approfondies sur les opérateurs
  • parler de la fuzzyfication
  • mettre la controverse dans une page séparée

Je sens un petit mépris dans l'expression [la fuzzy] peut rendre quelques services techniques (c'est moi qui souligne) que je ne vire néanmoins pas pour l'instant et, en tout cas, sans qu'il n'y ait eu discussion avec l'auteur de l'expression. Je ne suis pas convaincu que WikiPedia doive servir de lieu à des allusions intra-universitaires et/ou à des querelles de mots entre ingénieurs et statisticiens purs...

--Marc M., Bruxelles (be) 7 juillet 2005 à 10:00 (CEST)Répondre
  • ajouter des liens
  • liens vers Bayes
  • page controverse science/théorie/techno
  • page utilisations
    • honnêtes (médecine, etc)
    • data mining anti-vie-privée par les marchands de données perso

orchidée

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Bletilla striata

je suggère de *ne pas* retirer la photo de l'orchidée que j'ai placée en marge de ma dernière contribution (du moins, sans en discuter ici d'abord).

je sais bien que l'image n'a, en principe, rien à voir mais... agrémenter un peu une matière assez ardue n'est pas nécessairement mauvais. elle permet aussi au lecteur de se souvenir, dans le genre ah, oui, pour piger va donc voir la métaphore de l'orchidée sur WikiPédia...

--Marc M., Bruxelles (be) 6 jul 2005 à 10:42 (CEST)

Vitesse « moyenne » ?

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Concerne la section « Principe » de l'article : On dirait que, sur les routes nationales françaises, on confond « vitesse maximale » et « vitesse moyenne ». (Alors que je croyais qu'on confondait « vitesse maximale » et « vitesse minimale »…) 83.176.36.239 27 février 2006 à 01:59 (CET)Répondre

Sources?

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Il est dommage de ne pas avoir à la fin de cet article une ou deux sections tissant des liens vers des sites plus informés, voire vers des livres d'introduction pour qui souhaite avoir une connaissance plus formelle de la logique floue et de référence pour celui qui souhaitera aller encore plus loin...


Théorème de Gödel

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Le théorème de Gödel ne parle pas d'incertitude, mais d'incomplétude. Le principe d'incertitude parle d'indétermination. J'ai donc supprimé ces deux références. Pierre de Lyon 1 mai 2007 à 19:53 (CEST)Répondre

Mouais, mais sous forme de "voir aussi" cela apporte quelque chose qui s'écarte aussi de la logique binaire comme le fait la logique floue, non ? Il pourrait être intéressant de garder ces deux liens précisément en indiquant les différences. --Pgreenfinch 2 mai 2007 à 00:10 (CEST)Répondre

Le mal serait pire que le bien, car on conduirait le lecteur à confondre « incomplétude » et « incertitude » d'une part et « indétermination » et « incertitude » d'autre part. Au fait qu'est-ce que la logique binaire? Pierre de Lyon 2 mai 2007 à 22:52 (CEST)Répondre
D'abord cela éviterait au contraire de confondre, c'est une chose que j'ai déjà utilisé dans certains articles et où il y avait précisément des risques de confusions. Ensuite la logique binaire, c'est celle qui ne donne que deux possibilités, qui est non multivalente, voyez, rien de bien mystérieux. --Pgreenfinch 3 mai 2007 à 08:37 (CEST)Répondre
Je la connaissais sous le nom de « logique booléenne ». Quant à « incertitude », « incomplétude » et « indétermination », il faut être très prudent et très clair. Pierre de Lyon 3 mai 2007 à 18:31 (CEST)Répondre

Incertitude sur l'incertitude

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Dans le § Insuffisances en tant que théorie, il me semble qu'il faut lire "certitude" et non "incertitude", à propos de l'exemple : "on peut retrouver à la fois une imprécision (sur la valeur de l'âge) et une incertitude (sur le fait que cet âge soit autour de 30 ans)." Mais alors la dernière phrase du § doit-elle aussi être modifiée ? Bihoreau 19 août 2007 à 07:59 (CEST)Répondre

Les applications ?

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il me semble que l'article manque singulièrement d'une description des applications de la logique floue. pour ma part, j'en connais 2 :

- le freinage des métros automatiques

- la commande de batterie d'ascenseurs dans les gratte-ciels.

je crois qu'il faudrait lister les applications dans l'article, et peut-être en détailler quelques unes, pour montrer comment on passe de la théorie à la pratique. Vous êtes d'accord ? Vous en connaissez ? --Serge boisse (d) 13 janvier 2009 à 16:37 (CET)Répondre

Si vous avez des références qui attestent l'emploi des logiques floues dans ces domaines, mettez-les. Je demande à être convaincu que le freinage des métros soit à base de logique floue, car les normes du ferroviaires sont très exigeantes et je doute que la logiques floue soit homologuées. --Pierre de Lyon (d) 18 janvier 2012 à 13:59 (CET)Répondre
Il s'agissait au départ d'un métro japonais dont on augmentait les cadences en ménageant de plus le matériel. Les emplois sont nombreux en automatique -- des circuits intégrés assumant le rôle de moteurs d'inférence.Lf69100 (d) 6 avril 2013 à 22:26 (CEST)Répondre
Les mises au point d'appareil photos, au moins jusqu'en 2010, fonctionnent en fuzzy logic. 85.168.113.56 (discuter) 28 janvier 2021 à 10:31 (CET)Répondre
Ça manque de référence. --Pierre de Lyon (discuter) 28 janvier 2021 à 13:17 (CET)Répondre

Bibliographie

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Il faut absolument élaguer la bibliographie qui suit avant de la remettre dans l'article. --Pierre de Lyon (d) 18 janvier 2012 à 13:55 (CET)Répondre

  • (en) Constantin Von Altrock, Fuzzy logic and NeuroFuzzy applications explained, Upper Saddle River, NJ, Prentice Hall PTR, (ISBN 0-13-368465-2)
  • (en) Arabacioglu, B. C., « Using fuzzy inference system for architectural space analysis », Applied Soft Computing, vol. 10, no 3,‎ , p. 926–937 (lire en ligne)
  • (en) L. Biacino, « Fuzzy logic, continuity and effectiveness », Archive for Mathematical Logic, vol. 41, no 7,‎ , p. 643–667 (ISSN 0933-5846, DOI 10.1007/s001530100128)
  • (en) Earl Cox, The fuzzy systems handbook: a practitioner's guide to building, using, maintaining fuzzy systems, Boston, AP Professional, (ISBN 0-12-194270-8)
  • (en) Giangiacomo Gerla, « Effectiveness and Multivalued Logics », Journal of Symbolic Logic, vol. 71, no 1,‎ , p. 137–162 (ISSN 0022-4812, DOI 10.2178/jsl/1140641166)
  • (en) Petr Hájek, Metamathematics of fuzzy logic, Dordrecht, Kluwer, (ISBN 0792352386)
  • (en) Petr Hájek, « Fuzzy logic and arithmetical hierarchy », Fuzzy Sets and Systems, vol. 3, no 8,‎ , p. 359–363 (ISSN 0165-0114, DOI 10.1016/0165-0114(94)00299-M)
  • (en) Joseph Y. Halpern, Reasoning about uncertainty, Cambridge, Mass, MIT Press, (ISBN 0-262-08320-5)
  • (en) Frank Höppner, Klawonn, F.; Kruse, R.; Runkler, T., Fuzzy cluster analysis: methods for classification, data analysis and image recognition, New York, John Wiley, (ISBN 0-471-98864-2)
  • (en) Ahmad M. Ibrahim, Introduction to Applied Fuzzy Electronics, Englewood Cliffs, N.J, Prentice Hall, (ISBN 0-13-206400-6)
  • (en) George J. Klir, Folger, Tina A., Fuzzy sets, uncertainty, and information, Englewood Cliffs, N.J, Prentice Hall, (ISBN 0-13-345984-5)
  • (en) George J. Klir, St Clair, Ute H.; Yuan, Bo, Fuzzy set theory: foundations and applications, Englewood Cliffs, NJ, Prentice Hall, (ISBN 0133410587)
  • (en) George J. Klir, Yuan, Bo, Fuzzy sets and fuzzy logic: theory and applications, Upper Saddle River, NJ, Prentice Hall PTR, (ISBN 0-13-101171-5)
  • (en) Bart Kosko, Fuzzy thinking: the new science of fuzzy logic, New York, Hyperion, (ISBN 0-7868-8021-X)
  • (en) Bart Kosko et Satoru Isaka, « Fuzzy Logic », Scientific American, vol. 269, no 1,‎ , p. 76–81 (DOI 10.1038/scientificamerican0793-76)
  • (en) F. Montagna, « Three complexity problems in quantified fuzzy logic », Studia Logica, vol. 68, no 1,‎ , p. 143–152 (ISSN 0039-3215, DOI 10.1023/A:1011958407631)
  • (en) Daniele Mundici, Cignoli, Roberto; D'Ottaviano, Itala M. L., Algebraic foundations of many-valued reasoning, Dodrecht, Kluwer Academic, (ISBN 0-7923-6009-5)
  • (en) Vilém Novák, Fuzzy Sets and Their Applications, Bristol, Adam Hilger, (ISBN 0-85274-583-4)
  • (en) Vilém Novák, « On fuzzy type theory », Fuzzy Sets and Systems, vol. 149, no 2,‎ , p. 235–273 (DOI 10.1016/j.fss.2004.03.027)
  • (en) Vilém Novák, Perfilieva, Irina; Močkoř, Jiří, Mathematical principles of fuzzy logic, Dordrecht, Kluwer Academic, (ISBN 0-7923-8595-0)
  • (en) Richard Onses, Second Order Experton: A new Tool for Changing Paradigms in Country Risk Calculation, (ISBN 8477195587)
  • Onses, Richard: Détermination de l´incertitude inhérente aux investissements en Amérique Latine sur la base de la théorie des sous ensembles flous, 1994, isbn=8447508811, Barcelona
  • (en) Kevin M. Passino, Yurkovich, Stephen, Fuzzy control, Boston, Addison-Wesley, (ISBN 020118074X)
  • (en) Witold Pedrycz, Gomide, Fernando, Fuzzy systems engineering: Toward Human-Centerd Computing, Hoboken, Wiley-Interscience, (ISBN 978047178857-7)
  • (en) Pao Ming Pu et Ying Ming Liu, « Fuzzy topology. I. Neighborhood structure of a fuzzy point and Moore-Smith convergence », Journal of Mathematical Analysis and Applications, vol. 76, no 2,‎ , p. 571–599 (ISSN 0022-247X, DOI 10.1016/0022-247X(80)90048-7)
  • (en) Eugene S. Santos, « Fuzzy Algorithms », Information and Control, vol. 17, no 4,‎ , p. 326–339 (DOI 10.1016/S0019-9958(70)80032-8)
  • (en) Bruno Scarpellini, « Die Nichaxiomatisierbarkeit des unendlichwertigen Prädikatenkalküls von Łukasiewicz », Journal of Symbolic Logic, Association for Symbolic Logic, vol. 27, no 2,‎ , p. 159–170 (ISSN 0022-4812, DOI 10.2307/2964111, JSTOR 2964111)
  • (en) Willi-Hans Steeb, The Nonlinear Workbook: Chaos, Fractals, Cellular Automata, Neural Networks, Genetic Algorithms, Gene Expression Programming, Support Vector Machine, Wavelets, Hidden Markov Models, Fuzzy Logic with C++, Java and SymbolicC++ Programs: 4edition, World Scientific, (ISBN 981-281-852-9)
  • (en) J. Wiedermann, « Characterizing the super-Turing computing power and efficiency of classical fuzzy Turing machines », Theor. Comput. Sci., vol. 317, nos 1-3,‎ , p. 61–69 (DOI 10.1016/j.tcs.2003.12.004)
  • (en) Ronald R. Yager, Filev, Dimitar P., Essentials of fuzzy modeling and control, New York, Wiley, (ISBN 0-471-01761-2)
  • (en) Miles Van Pelt, Fuzzy Logic Applied to Daily Life, Seattle, WA, No No No No Press, (ISBN 0-252-16341-9)
  • (en) R.H. Wilkinson, « A method of generating functions of several variables using analog diode logic », IEEE Transactions on Electronic Computers, vol. 12, no 2,‎ , p. 112–129 (DOI 10.1109/PGEC.1963.263419)
  • (en) L.A. Zadeh, « Fuzzy algorithms », Information and Control, vol. 12, no 2,‎ , p. 94–102 (ISSN 0019-9958, DOI 10.1016/S0019-9958(68)90211-8)
  • (en) L.A. Zadeh, « Fuzzy sets », Information and Control, vol. 8, no 3,‎ , p. 338–353 (ISSN 0019-9958, DOI 10.1016/S0019-9958(65)90241-X)
  • (en) Zemankova-Leech, M., Fuzzy Relational Data Bases, Florida State University,
  • (en) H. Zimmermann, Fuzzy set theory and its applications, Boston, Kluwer Academic Publishers, (ISBN 0-7923-7435-5)
Je viens de la supprimer à nouveau, car GillesAuriault vient de la remettre sans avoir pris la peine de justifier son rajout dans la page de discussion. --Pierre de Lyon (d) 17 février 2012 à 16:09 (CET)Répondre
Désolé, comme le 18 janvier il était demande d'élaguer, j'ai élagué de 36 à 22 livres, et j'ai completement remanié la biblio en 3 parties et 7 sous-tritres, pour grouper les livres par sujet. Maintenant je comprends que c'est la langue des ouvrages cités (anglais, allemand et trop peu de francais) qui pose probleme, et le nombre encore excessif, autant pour moi! Bon, merci pour votre vigilance sur les règles d'écriture, c'est vrai que je manque d'expérience. Je laisse le soin a 1 expert de faire cette biblio francaise, je prefere ne plus trop m'en mêler (Le conseill complet que Pierre m'a envoye est "Dans notre encyclopédie française nous n'avons l'habitude de mettre des bibliographies comme cela qui n'ont aucune utilité pour le lecteur qui vient se renseigner. En général un seul bon livre suffit". Sinon, félicitations pour cette page que je trouve plus complete et accessible que sa version anglaise par ailleurs. Wikipediennement vôtre, Gilles 18 février 2012 à 18:35 (CET)

La Logique Floue comme domaine des logiques floues

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Zadeh a eu l'intuition initiale, et Goguen a montré que n'importe quel ensemble de vérité ayant une structure de treillis pouvait être la base d'une logique floue.

De mémoire,Didier Dubois, Henri Prade. Théorie des Possibilités. Applications à la Représentation des Connaissances en Informatique, Collection Méthode + Programmes, Masson, Paris, 2, 1985. donne(nt) les équations fonctionnelles que doivent respecter les opérateurs d'une logique floue selon les axiomes logiques que l'on compte conserver dans le système d'inférence correspondant. Il existe d'ailleurs au moins une famille paramétrée d'opérateurs flous permettant de définir une continuité entre logiques dures ou attrape-tout, les besoins n'étant pas les mêmes en mécanique classique et en archéologie... et d'animer des bases de connaissances de nombreux domaines avec un même moteur d'inférence.

On peut dans un tel cadre situer selon les domaines de connaissances la validité de préceptes comme un faisceau de preuves faibles vaut une preuve forte.

Sans négliger l'intérêt des exemples, je suggère que l'article fasse l'objet d'une refondation. Lf69100 (d) 6 avril 2013 à 18:40 (CEST)Répondre

Validité des inférences

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Un moteur d'inférence en chaînage avant suppose au moins la validité du principe de détachement : A, (A->B) => B,

ce qui suppose ici ET( IMPL(A, B)) ≤ B, B pouvant avoir d'autres causes. Cette contrainte permet de décider si un jeu d'opérateurs engendre ou non une logique floue valide , mais récuse en pratique de nombreux jeux classiques, et fait encourir le risque de bruit (conséquences indues) et de silences (conséquences inatteignables).

Un choix empirique comme MAX pour OU, * pour ET ne satisfait pas les règles de De Morgan, et pose la question de la négation qui pourrait le rendre valide... Lf69100 (d) 8 avril 2013 à 20:24 (CEST)Répondre

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