Discussion:Énergie nucléaire

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propagande et neutralité de point de vue

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Il manque dans Wiki un article particulier, qui serait écrit du point de vue politologique et/ou sociologique et historique sur la place de l'énergie nucléaire en France, sur le fétichisme nucléaire d'un bonne partie du corps des chercheurs et ingénieurs dans ce pays, probablement unique au monde (avec la défunte Union Soviétique). --Hubertgui 17 octobre 2007 à 08:33 (CEST)Répondre

L'énergie nucléaire est l'énergie la plus propre et la plus économique.

Face aux perspectives de développement des pays du Tiers-Monde, les experts de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA) estiment que le nucléaire devrait devenir l'énergie de référence en Occident durant au moins la moitié de ce siècle, de manière à ce que la pollution atmosphérique des pays industrialisés ne vienne pas s'ajouter à celle, en explosion, des pays en développement. Il est difficile de ne pas les croire lorsqu'ils affirment qu'une telle décision suffirait pratiquement à résoudre le problème posé par l'effet de serre

Il est surtout difficile de croire à leur objectivité totale. D'autre part, on ne fait pas voler des avions ou rouler des voitures avec de l'énergie nucléaire - celui-ci n'est donc qu'une solution partielle, qui ne peut être viable qu'associé à d'autres solutions comme la diminution de la consommation (économies d'énergie) et le développement des renouvables, qui suppose une politique énergétique décentralisée. C'est là que nous Français ne sommes pas des parangons de vertu, et, en ce qui concerne les renouvables, la France, qui investit depuis longtemps presque tout ses moyens consacrés à la recherche sur l'énergie dans le nucléaire, ne sera manifestement pas en pointe dans les décennies à venir. --Hubertgui 17 octobre 2007 à 08:40 (CEST)Répondre


Je ne suis pas celui qui ait modifié une première fois l'article. Mais, il est clair que le ton et la formulation globale de l'article ne fait pas objectif.


Il suffit que d'autres l'améliore (ajoutent leur propre propagande anti-nucléaire) pour lui donner un ton plus objectif. Supprimer n'est pas améliorer
Je n'ai pas supprimé l'article la première fois, et je ne l'aurais sûrement pas fait, je me serait sûrement contenté de tenté d'ouvrir un débat ici... Si j'ai supprimé, c'est en réponse au fait que tu l'ai remis, alors qu'il était en page de discussion pour pouvoir être discuté, sans même que tu ai discuté sur le pourquoi du comment... C'est plus le refus de discution qui m'a fait revenir à l'état mis par Yann. --AGiss 01:35 fév 19, 2003 (CET)

Tu désires un point de vue (Ce n'est pas de la propagande, c est un point de vue, quel est le tien ?) c'est ici qu'il faut en discuter, pas sur la page du contenu encyclopédique.

Certains disent que l'energie nucléaire est la plus propre et la plus économique.

En remplacement Certains par les dites personnes concernés, c'est mieux encore...

Déjà, ca fait plus objectif.

Parfait, pourquoi perd tu ton temps à l'écrire ici...tu pourrais changer l'article directement, non ?
Je ne perds jamais mon temps à échanger mon point de vue... C'est justement parce qu'on a des points de vue différent que je préfère en discuter d'abord... --AGiss 01:35 fév 19, 2003 (CET)

Ensuite, tu places uniquement ce paragraphe sur la page, sans même décrire ce que c'est, quel sont les moyens de productions, les enjeux, etc.

J'ai cru comprendre que Wikipédia était une encyclopédie collaborative, et que les articles ne devaient pas avoir un seul auteur, mais plusieurs. Pourquoi devrais je être le seul auteur de *cet* article ? Les autres peuvent participer également
Je ne te reproche pas d'être l'auteur unique de cet article, mais je mettais juste en évidence le fait que le domaine très limité du contenu de l'article par rapport à son nom ne plédait pour le fait que tu le proclamme comme n'étant pas de la propagande... --AGiss 01:35 fév 19, 2003 (CET)

Tu places uniquement les opinions polémiques (alors qu'il y a sûrement beaucoup d'autres choses a dire dessus), sans ne serait-ce qu'expliquer que c'est polémique, sans donner le point de vue contraire, et sans parler du reste. Tu avoueras que si ce n'est pas de la propagande, ca en a tout de même beaucoups d'attributs.

c'est du multi-authorage que nait la pluralité des points de vue. J'indique le point de vue du lobby nucléaire. D'autres peuvent ajouter le point de vue de GreenPeace ou autres Ecolos.
Pour moi, la pluralité de points de vue vient au contraire d'un effort de présentation des idées pour et des idées contre de la part de toutes les parties. Si un intégriste de A vient et présente le point de vue A et B ententant d'être objectif, et un intégriste de B vient et corrige en présenter le point de vue de A et de B aussi, on peut avoir quelque chose d'interessant à la fin.
Si un intégriste de A soutenir le point de vue de A et un intégriste de B vient corriger et placer le point de vue de B, j'ai peur qu'on arrive à rien de mieux qu'un pourrissage d'ambiance dans le meilleur des cas, et une guerre stérile dans le pire. --AGiss 01:35 fév 19, 2003 (CET)
PS: Peut-être as-tu compris que je me situais plutôt du coté pro-nucléaire qu'anti-nucléaire, et que c'est justement en raison de la neutralité de point de vue que je tente d'avoir un avis objectif sur la question. --AGiss 01:35 fév 19, 2003 (CET)

le nucléaire, une énergie polluante?

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C'était les remarques sur la forme.

Passons au fond, puisque tu désirais un autre point de vue.

Oui, moi aussi, je suis énervé de voir que le nucléaire est relégué au titre d'énergie "polluante" là et est comparé à d'autres énergies dite "moins polluantes" alors que la pollution est souvent indirecte mais bien réelle (désastre écologie dù aux grands barrages géants du continent nord américain, systèmes à énergies naturelles nécéssitant des batteries à durée de vie faible et dont le recyclage se fait très mal).

En revanche, si il est clair que l'énergie nucléaire est économique, et que d'autres énergie qui parraissent plus propre ne le sont pas forcément, il ne me semble pas établie que l'on puisse utiliser ici le superlatif.

Pire, tous les organismes à même de produire un tel diagnostique sont tous complétement subjectif sur le sujet.

Personnelement, je ne ferais confiance ni a GreenPeace, si à la COGEMA pour ce genre d'étude, persuadé d'avance du résultat... (ce ne sont que des exemples...) --AGiss 00:11 fév 19, 2003 (CET)


Merci beaucoup de donner ton point de vue dans cette page de discussion.
Note cependant que d'un point de vue encyclopédique, *ton* point de vue n'a que fort peu de poids face au point de vue des pro-nucléaires. Ce que nous devons reporter dans les articles sont les courants d'opinion, non pas nos avis personnels. Je te remercie d'avoir pris le temps de discuter avec moi. J'espère que tu participeras de façon constructive à cet article. Tim 00:47 fév 19, 2003 (CET)
Je ne sais pas encore si je vais y participer, mais c'est fort possible. --AGiss 01:35 fév 19, 2003 (CET)

Différence entre un point de vue et un fait

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Un article ne doit pas être une collection de points de vue divers, mais un ensemble de faits. Wikipédia n'est pas un forum pour exprimer son point de vue, pour ou contre telle ou telle technologie ou idéologie, mais une encyclopédie. Yann 11:28 fév 19, 2003 (CET)

Absolumment pas d'accord avec toi Yann. Un article doit contenir des faits et des points de vue. Et les points de vue doivent dans la mesure du possible être attribués. En l'occurrence, dans l'article initial, le point de vue pro-nucléaire était clairement attribué l'Agence Internationale de l'Energie Atomique. Tu as fait du beau boulot ceci dit. Je vais donc compléter un peu Tim 13:07 fév 19, 2003 (CET)

Je ne suis pas non plus d'accord avec toi Yann. Ce sont nos points de vue qui n'ont pas à être dans l'encyclopédie. Une encyclopédie qui ne reporterait que des faits (certifiés par qui ?) serait de peu d'intérêt. Les points de vue ont parfaitement leur place dans un article (d'ailleurs, si je ne m'abuse, tu as reporté le point de vue des opposants au nucléaire dans la partie que tu as écrite, donnerais tu plus de poids à certaines opinions qu'à d'autres ?) ant

J'ai l'impression qu'on n'a pas la même définition de point de vue. ;o)
Pour moi, si je dis : L'énergie nucléaire est polluante. C'est un point de vue. Si je dis : La centrale de Tchernobyl a poluée X km2. C'est un fait. Les centrales nucléaires ne produisent pas de gaz à effet de serre. C'est aussi un fait. AMA, le problème n'est donc pas de donner ou non des points de vue, mais de mettre en avant certains faits plutôt que d'autres. Yann 16:48 fév 19, 2003 (CET)

fusion nucléaire et surgénérateurs

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Salut Raph,
Pour la fusion, on en est au point de la recherche fondamentale, pas de la production d'énergie, non ? Yann 12:25 fév 19, 2003 (CET)

Qui a dit que les articles d'encyclopédie se devaient d'être passéistes et non pas avant-gardistes ? ;-) Super Phénix, si je ne m'abuse, fonctionne sur le principe de la fusion, non ?
De toute façon, si je déconne à plein les ballons, il reste toujours possible d'ôter cette précision. Je ne m'en offusquerai point, n'étant pas super légitime pour parler du nucléaire... Raph 14:26 fév 19, 2003 (CET)
La fusion nucleaire est toujours experimentale; un nouveau projet mondial de reacteur a fusion a d'ailleurs ete recemment lance. Le but est de controler et d'entretenir la fusion pendant quelques secondes (peut-etre moins!). Quant a Super Phenix, c'etait un surgenerateur qui utilisait les dechets habituellement produits par les reacteurs nucleaires pour produire de l'energie ET des dechets plus petits, mais encore plus radioactifs... On reste dans le domaine de la fission. La production de SuperPhenix a ete arretee car non rentrable. Valéry
Merci pour ces précisions, Valéry. J'espère que tu vas mettre ces phrases dans l'article lui-même ! Raph
SuperPhenix n'a pas été arrêté car non rentable. C'était un réacteur expérimental il n'a donc pas du tout été conçu dans un objectif de rentabilité. Ça a été un prétexte parfaitement fallacieux lancé par des écolos dogmatiques. Comme tout réacteur expérimental, SuperPhénix a eu des problèmes. La difficulté étant que si on était obligé d'arrêter le réacteur pour 1/2 journée pour changer un boulon, après il fallait plusieurs mois pour obtenir les autorisations administratives pour le redémarrer. Si je me souviens bien de mes cours, le refroidissement était assuré par du sodium liquide qui a tendance à bouffer les tuyauteries et à ne pas aimer l'air. C'était ça qui causait un certain nombre d'arrêts.
En ce qui concerne la fusion nucléaire, on essaie d'imiter le Soleil. Maintenant on récupère presqu'autant d'énergie qu'on en met. Donc c'est pas encore ça. Mais bon, la recherche progresse doucement. C'est pas un problème simple. L'avantage serait d'avoir une source d'énergie quasi infinie et propre. Le seul petit problème dont j'ai entendu parler est l'activation des parois par des neutrons.
Bon, tout ce que je dis est basé sur des souvenirs plus ou moins flous et comme j'ai pas mes cours sous la main ...
Med

visite de superphénix

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Parlons-en. J'ai visité cette centrale, et les guides accompagnant le public sont un modèle d'incompétence et de langue de bois. Ils sont incapables de réponre à la moindre question en dehors de leur discours appris par coeur, que ce soit dans le domaine économique, politique, et a fortiori technique.

C'était au départ le premier réacteur en production d'une grande série, qui a été reconverti en réacteur expérimental quand les résultats se sont révélés ridicules (pour info: l'année précédant la fermeture, le taux de charge était supérieur à 90%, l'électricité produite était distribuée sur le réseau). Il a un nombre d'incidents inégalés dans l'histoire de l'industrie nucléaire mondiale, autant que le coût de l'engin (+ de 50 milliards de FF).

La centrale contient (contenait) 5 tonnes de plutonium (de quoi faire 1000 bombes),

D'accord, le plutonium n'est pas très sain, mais il ne faut pas confondre le plutonium à usage civil - qui contient plein de Pu 240 - et le plutonium militaire, qui ne doit pas en contenir trop, parce qu'il provoque des explosions prématurées. Il est donc produit avec des temps de séjour en centrale réduits (1 mois ?), ce qui n'est pas très économique. Trassiorf 19 mars 2007 à 11:42 (CET)Répondre

1000 tonnes de sodium liquide. Ce produit s'enflamme spontanément au contact de l'air, et explose au contact de l'eau. Petit détail, on ne sait pas éteindre un feu de plus de quelques centaines de kilos... L'industrie nucléaire prétent tout prévoir, mais le 8 décembre 1990, le toit de la salle des turbines s'est écroulé à cause de... la neige ! Heureusement le réacteur était arrêté ce jour-là. Selon le constructeur, le réacteur aurait dû résister à la chute d'un avion de tourisme... (le réateur oui, pas les zones conventionnelles)

Par ailleurs, le 31 juillet 1977, les CRS débordés par l'ampleur de la manifestation (la plus importante de l'histoire du mouvement antinucléaire français, malgré le mauvais temps) ont utilisés des grenades offensives pour repousser les manifestants, faisant un mort, Vital Michalon et une centaine de blessés, dont plusieurs ont dû être amputés d'une main ou d'un pied. Sans commentaires... Yann 12:38 fév 22, 2003 (CET)

lien sur le site du CEA

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Canicule de l'été 2003

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J'ai refondu le paragraphe sur la canicule de l'été 2003 et supprimé sa matérialisation: c'est un élément bien évidemment capital, mais il ne l'est pas plus que les accidents majeurs, ou d'autres, sections qui n'ont pas de paragraphe matérialisé, il faudrait peut-être restructurer tout.
Plus généralement,il serait aussi peut-être bon qu'il y ait une analyse économique qui fait défaut , me semble-t-il.62.39.210.15 12 aoû 2003 à 05:41 (CEST)

abandon du nucléaire en Italie

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D'ailleurs l'Italie, pays qui a abandonné le nucléaire en 1987, a connu des coupures de courants spectaculaires à l'été 2003. J'ai retiré cette phrase. C'est un problème de distribution, pas de production, ça n'a aucun rapport avec le nucléaire. Yann 15 jun 2004 à 20:48 (CEST)

Les pb de distribution sont la conséquence d'une insuffisance de production, directement liée à l'abandon du nucléaire. A ce compte-là, il faudrait supprimer tout le paragraphe sur les difficultés liées à la canicule qui comme c'est justement dit ne sont pas spécifiques du nucléaire, elles ont touché tous les modes de production thermiques et même l'hydraulique (sècheresse). Nb : je ne suis pas un suppôt du nucléaire mais un amoureux de la vérité. Spedona 15 jun 2004 à 21:41 (CEST)
Non, il n'a pas d'insuffisance de production en Europe. C'est un mythe répandu par le lobby pro-nucléaire. Il y a même dans certains cas (la France) un importante surproduction qui est revendue (bradée) aux pays voisins. Par contre, il y a des problèmes de régulation, mais ce n'est pas la production d'énergie nucléaire qui va résoudre le problème, au contraire. La demande est (très) fluctante suivant le climat et l'heure de la journée. Les centrales nucléaires ne peuvent pas répondre à cette demande car il faut plusieurs jours pour mettre en route une centrale. Yann 15 jun 2004 à 22:04 (CEST)
Alors où était passée cette importante surproduction l'été dernier ? Spedona 15 jun 2004 à 23:07 (CEST)
C'est les antinucléaires qui ont dépensé le surplus en faisant tourner des éoliennes pour faire des courants d'air. (cette phrase est d'humour déplacé, les éoliennes ne consomment pas d'électricité, mais elle en produisent)
La panne en Italie est liée à des problèmes de répartition. La production d'électricité d'origine nucléaire crée justement de tels problèmes en concentrant la production dans quelques grosses centrales. CQFD. Yann 16 jun 2004 à 16:59 (CEST)
Effectivement il aurait fallu faire tourner les éoliennes car il a manqué de vent aussi pendant la canicule. Pour les torts attribués aux centrales nucléaires, j'ai du mal à suivre le raisonnement puisque justement il n'y en a plus en Italie, ce pb de concentration ne devrait pas s'y poser. Le problème de répartition est second; le premier est celui de l'insuffisance de production dans la péninsule, alors en cas de pic de demande on tire sur les lignes transalpines et c'est ainsi qu'une ligne suisse à sauté, puis les autres ont été coupées pour éviter la propagation du phénomène en France. Je ne vois pas où est la responsabilité du nucléaire dans tout ça. Spedona 16 jun 2004 à 21:24 (CEST).
Moi non plus d'ailleurs. C'est pourquoi cette phrase n'a rien à faire dans l'article. Yann 17 jun 2004 à 17:30 (CEST)

Énergie nucléaire ou électricité nucléaire

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Il me semble que le développement de l'article tel qu'il est mériterait un titre du genre « Polémique (ou avantages et inconvénients) sur l'électricité d'origine nucléaire ». On n'y trouve en effet quasiment aucune information de vulgarisation scientifique sur ce qu'est l'énergie nucléaire et sur ses différentes applications civiles et militaires, qui ne se limitent pas à la seule production d'électricité. Pour cette dernière il faudrait, par exemple, expliquer comment on maîtrise la réaction en chaîne. Spedona 17 jul 2004 à 15:20 (CEST)

Sans doute, et également un (renvoi ?) historique. --Turb 17 jul 2004 à 15:48 (CEST)
Tout à fait. On cherche un physicien prêt à se dévouer. ;o) Yann 17 jul 2004 à 15:59 (CEST)

Comment on peu dire autant de bétise à la minute ! je travail dans le nucléaire et suis tombé ici par hasard, mais je suis absolument affligé par l'enchainement de bétises dites par yann ! à chaque intervention c'est n'importe quoi ! je ne vais pas toutes les reprendre une par une, mais quand meme ! concernant la régulation de la production en fonction de la demande, c'est justement un des points fort du nucléaire ! Pour revenir à l'italie c'est clairement du a un manque de production...concernant leur retrait du nucléaire, la encore on il y a polémique ! Persuadé que le débat allait aboutir sur une conclusion du type "le nucléaire c'est pas bien, le gouvernement Italien a fait réaliser une étude par un groupe de chercheurs, d'écolos et d'économistes. Le résultat a été completement l'inverse "c'est bien, propre, et une energie d'avenir". Ensuite ce fut la grande mascarade...un référendum ou les pro nucléaire ont été censurés, tout comme les résultats de la fameuse étude...L'italie est donc sorti du nucléaire avec les conséquences que ca implique...Les grands bénéficiaires de ce retrait ? les groupes pétroliers bien sur dont la majorité sont des amis tres proche de Berlusconi... Stouf

Organisation du débat

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J'ai essayé de séparer clairement le débat du reste de l'article pour :

  • le mettre en valeur
  • l'isoler du reste (technique, etc.)

Je me demande s'il ne serait pas judicieux de créer un article "Controverse autour de l'énergie nucléaire" ou un titre avoisinnant. Turb 22 jul 2004 à 23:27 (CEST)

Ah non ! Marre des controverses. :o) Et l'article n'est pas si long. Yann 23 jul 2004 à 00:44 (CEST)

Cet article "controverses..." me semble non seulement judicieux, mais nécessaire pour traiter objectivement du sujet vu que c'est une réalité, que cette controverse existe depuis longtemps et existera aussi longtemps que l'industrie nucléaire, grâce à la cupidité humaine qui la porte, survivra à ses propres catastrophes. nicole--82.254.157.243 22 déc 2004 à 00:41 (CET)

Bessines sur Gartempe

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N'en déplaise à mon censeur, je suis bien placé pour affirmer que le site possède une mine d'uranium exploitable puisqu'il se trouve que mon père y a travaillé. Sa modification est donc à la fois déplacée et inexacte François-Dominique 3 aoû 2004 à 02:11 (CEST)

Superphénix

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Je trouve bien indulgent qu'on écrive que Superphénix a été démonté pour des raisopns plus politiques que scientifiques.

Je crains hélas qu'il n'ait été démonté pour des raisons plus électorales que politiques. Cela dit, il est vrai que la bête coûtait cher, et que le fait que les étazuniens avaient abandonné la filière des surgénérateurs ne faisait pas précisément baisser les coûts en question François-Dominique 3 aoû 2004 à 02:30 (CEST)

Demande d'explications fusion vs. fission

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Je tombe sur ceci dans l'article :

cependant la radioactivité induite est négligeable par rapport aux centrales à fission

J'avais appris à l'école que dans la fission on cassait un noyau qui émettait au passage quelques neutrons qui allaient casser d'autres noyaux. J'ai cru comprendre aussi que la fusion deutérium-tritium envisagée pour la fusion (pourquoi du tritium, au fait ?) libérait elle aussi des neutrons. Cela est-il exact ?

Et si oui, pourquoi les neutrons rapides émis, nocifs en tant que sous-produits de la fission, cesseraient-ils de l'être quand ils sont des sous-produits de la fusion ???

(Je suis censé avoir étudié ça jadis, mais c'est un peu loin maintenant...) François-Dominique 3 aoû 2004 à 18:06 (CEST)

Le problème n'est pas tant les neutrons, qui activent la même chose pour les réacteurs à fission que pour ceux à fusion, mais les produits de fission, qui sont des noyaux souvent radioactifs et de longue période;

Et si l'on ajoutait un paragraphe sur la médecine nucléaire?

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la médecine a tout même été la première application à laquelle les découvreurs de l'énergie nucléaire ont pensé. Notamment Marie Curie et l'extraction du Radium pour le traitement des cancers. La découverte et l'utilisation de la radiographie par rayons X. Et puis il y a toutes les scintigraphies, ont suit le déplacement d'un produit marqué dans le corps humain pour savoir si tel ou tel organe se comporte de façon normale ou non.. La résonance magnétique nucléaire que l'on appel IRM maintenant de façon à supprimer le terme nucléaire parce que cela "marquait mal".. Les scanners et la tomodensitométrie. En fait on examiné le patient par "tranche" sous rayons X et le calculateur reconstitue des images virtuelles de très bonne définition en fonction de la densité de chaque point de la section considérée. Bien sûr le nucléaire médical est ce qu'il y a de plus dangereux, et ceci bien avant les centrales nucléaires. - Les réacteurs dans lesquels sont produits les "petits produits" nécessaire à la scintigraphie, c'est à dire des produits de fission ou des produits d'activation, sont en fait des réacteurs "haut flux" contenant une vingtaine de kilog d'uranium hautement enrichi de qualité très militaire ( de quoi faire 4 à 5 bombes H) La production de ces produits est donc réservée aux pays ayant notoirement l'arme atomique. - La distribution de ces produits à durée de vie courte (quelques heures à quelques jours) doit se faire par avion et constitue l'énorme majorité des colis nucléaires devant être surveillés plus spécialement. C'est dans le transport et la manipulation de ces colis que l'on trouve une écrasante majorité du nombre des accidents d'irradiations et de contaminations. - l'utilisation de ces produits conduits à des disséminations de la contamination. les patients sur lesquels ils ont été administrés préférent visiter les WC ordinaires que les urinoires blindés mis à leur disposition. Lorsque l'on fait l'examen de la situation radiologique d'une ville en utilisant une gamma caméra sous un hélicoptère, la première chose que l'on repère ce sont les hopitaux et les égouts qui en sortent. - Les infirmières et techniciens en radiologie/médecine nucléaire sont les premières personnes à être exposées aux rayonnements ionisants. De fait les normes qui leur sont applicables sont nettement plus libérales que celles qui s'appliquent sur les "citoyens ordinaires" y compris ceux de l'industrie. Il y a une trentaine d'années je participais à la préparation de conférences d'information destinées au milieu médical dans le voisinage des centrales en construction. A cette époque pour parler de débit de doses on parlaient en "rem" c'est à dire des "rad equivalent man". La réaction classique des docteurs qui assistaient à ces conférences était de dire : Mais vos rem ne sont pas les mêmes que les nôtres ! Ils étaient habitués à recevoir et administrer des débits de doses tellement considérables qu'ils avaient l'impression que l'on parlait de "rien du tout".. Donc si l'on veut réduire l'impact du nucléaire artificiel sur la situation écologique, il convient de commencer par supprimer le nucléaire médical. On constatera une nette amélioration de la situation. Je laisse à Yann le plaisir de mettre en forme l'article pour l'encyclopédie; de toutes les façons c'est lui qui a le dernier mot. On sort de la discussion sur la polémique du "nuage"Krolik 2 oct 2004 à 00:25 (CEST)

J'oubliais de préciser un petit détail : le nucléaire médical permet de temps en temps de soigner quelques personnes, il faut rester honnête et équlibré pour un article dans une encyclopédie.Krolik 4 oct 2004 à 09:16 (CEST)

je trouve votre "permet de temps en temps" bien ingrat... la médecine nuclaire comme l'imagerie médicale sauvent énormement de vies que ce soit en soignant directement le malade ou en permettant un diagnostic précis et un traitement approprié, croyez moi, je sais de quoi je parle, je suis un futur manipulateur radio. Sans le nucléaire dans la médecine, c'est un bond (et pas un petit) en arrière de l'espérance de vie. Sans compter un ralentissement significatif de la recherche médicale. Raziel 29 décembre 2005 à 22:24 (CET)Répondre
Surtout que ce quelques est très sous-estimé :) (scanners, injection de produits faiblement radioactifs, etc.) Turb 4 oct 2004 à 13:03 (CEST)
Je suis bien d'accord, mais à force de vouloir "chasser le becquerel" et diaboliser l'iode 131 on arrive à des situations où des patients refusent de se soumettre à un examen de contrôle, notamment l'angiographie où l'on utilise le fameux iode131 pour saturer l'opacité des artères.
Le 18 Novembre dernier une quarantaine de mandarins de la médecine nucléaire française se sont payé le luxe de passer une publicité dans "Libé" pour essayer de remettre les choses au point sur le fameux "nuage de Tchernobyl" et expliciter les raisons fondamentales di diagnostic d'un nombre en augmentation de cancerns de la thyroïde.
Le service "médecine nucléaire" d'un hôpital comme la Pitié-Salepêtrière passe environ une curie par jour d'iode 131, ce qui est une quantité énorme.. Mais on n'a jamais détecté un seul cancer de la thyroïde qui aurait pu être causé par des examens médicaux le mettant en oeuvre, du fait que l'on applique ces examens que sur des adultes et jamais sur des enfants.

Peut-être qu'un de ces jours un patient définitivement atteint d'une maladie qui aurait pu être diagnostiqué par un examen à l'iode 131 se retournera pénalement contre les "verts" qui font de la diabolisation de cet isotope. Diffuser de la fause information pouvant mettre en péril la santé des gens relève du pénal, et ce ne sont pas les "verts" qui me contrediront.

Mais une fois pour toute il faut mettre les gens en face de leurs responsabilités : on ne veut pas recevoir de becquerels articificiels alors on ne se fait pas soigner ou alors on accepte d'en recevoir. Le beurre et l'argent du beurre.. --Krolik 30 décembre 2005 à 21:34 (CET)Répondre
Oui mais il faut savoir ce que l'on veut; vivre avec contamination ou sans contamination articifielle ? Le beurre et l'argent du beurre... That's the qestion !Krolik 4 oct 2004 à 14:52 (CEST)
Hum je sens le débat poindre... héhé... La peur de la radioactivité a quelque chose d'irrationnel né d'Hiroshima et de Nagasaki. Estimer que la radioactivité artificielle (c'est quoi ?) est un danger plus que les granites de Bretagne est étrange ; pousser cette frayeur depuis l'armement nucléaire (logique) ou les centrales (de même, à la suite des accidents) au matériel médical est plus qu'étrange... Les manipulateurs de scanners sont protégés et contrôlés et (en principe) personne ne fait plus d'un scanner par an. Dans cette optique, seuls les mots « radioactivité » et « nucléaire » font peur ! Turb 4 oct 2004 à 15:05 (CEST)
la peur du nucléaire a un nom : la nucléarophobie! une fois que l'on a compris cela, alors on peut passer à un débat plus rationel : y-a-t-il par exemple une culture du risque de l'irradiation et de la contamination radioactive au sein du personnel médical? les radiologues sont-ils conscient des doses qu'ils font subir à leurs patients et à leurs employés? je n'ai pas la réponse mais je crois que la question mérite d'être posée --Enr-v 18 janvier 2006 à 15:15 (CET)Répondre

L'exemple des Témoins de Jéovah (TDJ)

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Les Témoins de Jéovah vivent sans transfusion sanguine, ils assument.. Est-ce que les TDJ ont une durée de vie moyenne plus courte que le reste de la population ?? Ce n'est pas évident du tout..

Euuhh je ne m'avancerais pas à dire "pas évident du tout", cela demande une étude et je crois pouvoir dire que leur moyenne de vie serait belle est bien plus courte que la normal : rien que dans les accidents de la route, sans transfusion... C'est la mort au tournant (sic). Cependant, je pense que beaucoups d'entre eux (témoins de Jehova) font entorse (volontairement ou non) au réglement en situation d'urgence mais c'est mon avis et je ne veux surtout pas l'imposer. Raziel 29 décembre 2005 à 22:16 (CET)Répondre
Oui mais vous oubliez que vivre sans alcool et dans tabac, ça vous met 15 ans de plus dans votre espérance de vie. Les accidents de voiture n'intervienennt que pour 3 ans d'espérance de vie. L'affaire est simple.--Krolik 30 décembre 2005 à 21:34 (CET)Répondre
Quel rapport ? on ne compare pas l'incomparable !, si on veut calculer la différence d'espérance de vie entre deux populations, on limite les variables. On prend donc les témoins de Jehova, et les populations lambda non-fumeuses et ne consommant pas d'alcool. La je pense pouvoir dire que l'espérance de vie des témoins de Jehova serait belle et bien plus courte. Mais cela demanderait une étude réelle et mes hypothèses n'ont aucunes valeurs de terrains, je tiens à être clair ! Raziel 30 décembre 2005 à 22:08 (CET)Répondre

Je suis bien d'accord avec vous, on compare deux populations : - les TDJ - Les autres , qu'ils soient blancs, jaunes, noirs, croyants, non croyants, ce que vous voulez. Les TDJ ont par rapport aux autres une spécificité (que l'on retrouvrera diluée dans d'autres religions) pas de tabac, pas d'alcool, pas de transfusion sanguine. Et bien entre ces deux populations, à conditions de vie socio-économiues égales, statistiquement, en espérance de vie moyenne, ce sont les TDJ qui gagnent car la non transfusion est tout de même mineure en comparaison des effets du tabac et de l'alcoolisme.--Krolik 31 décembre 2005 à 01:06 (CET)Répondre

Peur du nucléaire

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Maintenant dire que la peur du nucléaire vient d'Hiroshima et Nagasaki, je ne crois pas. A l'époque d'Eisenhower comme président des USA, il a été fait des études pour creuser un nouveau canal de Panama en passant par la Colombie et en utilisant l'explosif nucléaire.. 630 tirs de prévus dont certains à 10MT..une paille.., déplacement de 4 millions de personnes.. et personne ne pipait mot dans le monde.. Les essais militaires atmosphériques personne ne disait rien à l'époque.. D'ailleurs la contamination rémanente due à ces essais.. c'est le silence assourdissant..et pourtant environ 2 fois supérieure en France à celle du fameux nuage de Tchernobyl.. Les mots radioactivité et nucléaire font peur uniquement uniquement parce qu'une équipe a trouvé cet axe pour faire parler d'eux.. et les médias suivent.. la peur se vend très bien.. et il faut vendre..On ne vend pas les trains qui arrivent à l'heure.. banalité..Krolik 4 oct 2004 à 18:27 (CEST)

Pendant les années 30, avant la seconde guerre mondiale, la radioactivité était perçue comme bénéfique pour la santé. L'industrie pharmaceutique a créer des produits radioactifs et des stations thermales vantèrent la radioactivité de leur eau (cf [1]). On a aussi vanté les bienfaits du tabac il n'y a pas si longtemps. Pour éviter d'alimenter la nucléarophobie, il faut éviter les discours extremes : la radioactivité n'est ni une panacée ni un fléau. Mais la peur du nucléaire civil est surtout liée aux accidents de type tchernobyl et aux problèmes des déchets pour les générations futures. Et les médias ne donnent pas beaucoup d'arguments objectifs, il suffit de suivre le débat public sur l'EPR pour s'en convaincre --Enr-v 2 janvier 2006 à 19:25 (CET)Répondre

La fusion froide et la fusion par "mise en condition froide"

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La fusion froide est basée sur le principe de l'électrolyse décrit par Fleishmann et Pons. Ces expériences ont été maintes fois contestées par la nomenkaltura scientifique, d'ailleurs aucune revue à comité de lecture ne publie plus rien sur le sujet depuis longtemps. En 1995 est sorti un rapport l'US NAvy (China Lake , Californie, Naval Surface Warfare Center, Weapon Division)sous la signature du Dr Melvin Miles démontrant que le phénomène de production d'énergie et de fusion existe dans ces conditions, mais que sa reproduction est aléatoire du fait d'un certain nombre de paramètres non identifiés et donc non maitrisés.

La transmutation par mise en condition froide.

Une équipe de scientifiques russes (labo REKOM) de l'Institut Kourtchatov a mis en évidence qu'en faisant des décharges électriques à transformer en plasma de fines feuilles métalliques placées dans de l'eau on obtenait des transmutations systématiques en grand nombre. Les produits de ces transmutations sont des éléments stables non radioactifs. Une équipe de scientifiques français de la Fondation Louis de Broglie a montré en utilisant la mécanique quantique que dans de telles conditions :

- il se formait des agrégats d'électrons pouvant aller jusqu'à 10^11 électrons dans le volume d'un atome d'hydrogène (qui lui ne comporte qu'un électron). Ces agrégats d'électrons pouvant avoir une durée de vie jusqu'à 10^-3 seconde ce qui est l'éternité à l'échelle quantique!

- Qu'à l'intérieur de ces clusters d'électrons les noyaux pouvaient agir l'un sur l'autre pour former des transmutations donc de nouveaux noyaux. Le milieu des agrégats d'électrons est très particulier et il se produit des "résonnances de Poincaré" suivant le modèle défini par Ilya Prigogine (Prix Nobel belge). Ces résonnances sont le seul moyen de vaincre la "barrière de Coulomb" qui empêche les transmutations à bas niveau d'énergie et qui oblige dans les Tokamaks à monter à des valeurs très hautes en température et confinement.

- En même temps que les transmutations réalisées se forment des "monopôles magnétiques" qui sont très énergétiques et dont le champ magnétique créé dans leur voisinage est de l'ordre de 100 000 teslas, ce qui est une valeur absolument énorme en comparant à 10 teslas le champ magnétique des entrefers des anneaux de stockage du CERN.

- Ces monopôles magnétiques dit monopôles de Lochak suivant le nom de l'élève de Louis de Broglie qui les a modélisés ont donc des actions très particulières sur les atomes environnants. C'est une nouvelle physique qui est en train de naître. Il est attendu de cette physique de pouvoir transmuter les déchets nucléaires vers des produits stables comme le fer, le nickel, le silicium, l'aluminium. Curieusement d'ailleurs ces transmutations convergent systématiquement vers Ni-Fe et Si-Al qui sont les composants de notre planète Terre.. qui à priori est donc d'une composition très stable.

Les différences entre ces deux types de fusion froide sont :

- dans le deuxième cas, on sort des problèmes de la qualité des électrodes notamment assujettis à l'usage du palladium ou du nickel et de leur granulométrie.

- on passe de réactions de la surface des électrodes à des réactions en volume.

- On montre qu'une fusion froide, même si elle démarre ne pourra produire asymptotiquement quelque soit la dimension du système qu'une énergie de l'ordre de quelques centaines de milliwatts, ce qui n'est qu'une curiosité scientifique qui à priori n'a pas d'application industrielle envisageable.Krolik 20 oct 2004 à 12:32 (CEST)

Apres avoir lu le pargraphe précédent, je tiens a rapeller au lecteur non spécialiste que la fusion froide, les monopoles magnetiques, le complot de la nomenkaltura, la nouvelle science qui va sauver l'humanité mais que personne ne veut croire y a que moi qui le sait, bref tout le précédent paragraphe avec son jargon mal maitrisé n a non seulement aucune crédibilité scientifique, mais n'a pas sa place sur cette page.Dangauthier 13 mars 2007 à 17:45 (CET)Répondre
En relisant mon texte ci dessus, je trouve aussi que le ton est assez méprisant, et ne répond pas vraiment à l'esprit wikilove. Je vous prie de m en excuser. De plus je sur-interprète votre opinion en vous catégorisant comme pseudo scientifique. Permettez moi juste qq remarques: Sur la forme : votre texte n est pas bien placé, il irait certainement mieux sur la page de discussion de la fusion froide. Sur la forme encore : je trouve tout de même votre rédaction trop sensationnaliste, en tout cas c est style similaire a celui des promoteurs de pseudo sciences. Mais ce n est peut être qu apparences. Voici un site pseudo humoristique où vous pourrez voir les critères qui m ont amené à penser cela. [2] .Sur le fond je ne suis pas spécialiste en fusion, encore moins froide, alors, oui, je peux avoir tort et j'espère que les recherches dans cette direction porteront leur fruit le plus vite possible. De nombreux labs bossent sur ce pb et c est tant mieux. Cela dit, il me semblait que le consensus actuel (comme je le perçois par la vulgarisation) était : non, ça ne marche pas. Mais en me renseignant, c est beaucoup moins clair que cela, en particulier [3] et [4] Pour les monopoles: leur existence n a pas encore été prouve et remettrai effectivement pas mal physique en question (en particulier les équations de Maxwell qui affirme que la divergence du champ magnétique est nulle) Si les équipes dont vous parlez ont monté que l electromagnetisme comme nous le connaissons est contraire a l expérience alors c est le prix Noblel assuré. Encore une fois je ne suis pas au fait des dernières avancées, mais il faut etre prudent, pour l instant ils n’ont pas été observés à ma connaissance.Dangauthier 13 mars 2007 à 17:45 (CET)Répondre

Fusion nucléaire et con-fusion

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Beaucoup d'âneries apparemment dans cet article. Je n'ai pas le temps de tout relever, mais un scoop pour commencer:

FUSION : "Ce type de réaction est actuellement à l'étude à Marcoule (Gard, 30) dans la centrale expérimentale de Phénix."

Ah bon, il y a un Tokamak caché à Marcoule et on ne nous a rien dit ? Quand à Phénix ça n'a rien à voir; c'est un surgénérateur, c'est à dire un réacteur à fission comme les REP classiques mais qui produit (et "brûle") plus de plutonium que les REP classiques à uranium enrichi (bien que certains brûlent du MOX mais difficilement). C'est principalement obtenu par une "couverture" du combustible par de la matière fertile, de l'uranium appauvri, non fissile, qui sous l'effet des neutrons rapides (principale différence avec les réacteurs à U235 où il faut ralentir les neutrons pour qu'ils provoquent la fission des noyaux plutôt que rebondir dessus) transmute en plutonium:

U238 + n => Np239 - β => Pu239 (p.mém. dans les noyaux lourds, les isotopes pairs ne sont pas fissiles, les impaires le sont).

Les anglosaxons appellent "couveuse" les surgénérateurs pour cette raison. Mais ça, c'est de la théorie. La première pile atomique RAPSODIE (pour rapide-sodium) de ce type a été construite à Cadarache par le CEA en 1967. Ça marchait "plutôt pas mal" (du point de vue de ses ingénieurs-couveurs du moins) mais sa puissance n'était que de 40 MW thermiques (elle n'était pas prévue pour produire de l'électricité). D'où la construction de Phénix de taille industrielle qui de ce fait marchait déjà moins bien (feux de sodium notamment).

La filière surgénérarteurs à neutrons rapides a créé un véritable mythe. Tantôt comme productrice de plus de plutonium qu'elle n'en "brûlerait", voie vers "une source d'énergie inépuisable" (défiant la loi fondamentale de conservation de l'énergie !). Tantôt, quand le plutonium est passé, traités de désarmement nucléaire aidant, du statut de matière précieuse à celui de déchet hautement toxique; comme incinérateur des déchets produits par les réacteurs classiques (REP). Ce qui est la fonction (et fiction !) exactement inverse de la précédente.

D'où la création de Super Phénix, encore plus puissant et problématique à tel point qu'il a dû être mis à l'arrêt définitivement (mais on ne sait pas le démanteler, contrairement à ce qui est dit ailleurs dans l'article). Cette filière surgénératrice a été abandonnée partout dans le monde, avant même l'échec de Superphénix. Mais la France, à travers ce mythe de l'éneregie inépuisable continue à promettre une IVeme génération dans un futur incertain qui sortirait de la recherche qui se poursuit avec Phénix.

Avenir tellement incertain, que la France est cadidate pour accueillir ITER à Cadarache, projet encore plus fou que la surgénération, consistant à reproduire sur Terre la fusion thermonucléaire se produisant au coeur du Soleil, dans des conditions de pression , de température, de masse sans commune mesure avec ce qui se passe sur Terre. Et en plus de la contrôler: c'est cela qui est impossible. Car la fusion non contrôlée, on l'a déjà réalisée: c'est la bombe H (fusion déclenchée par un détonateur à fission).

Cette con-fusion dans l'article entre ITER et Phénix viendrait-elle de la folie commune entre les deux projets ? Il y a bien un précédent à ITER, ce n'est pas Phénix mais le JET en Angleterre. Celui-ci a été une réussite en matière d'emplois et de dépense publique, mais il n'a maintenu l'ignition que durant quelques millièmes de secondes, a dépensé énormément d'énergie mais n'en a produit aucune.

--82.254.157.243 22 déc 2004 à 00:11 (CET)

Suggestions pour l'article

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Ayant edité l'article en anglais, je vois quelques problèmes avec l'article comee écrit.

  • Il y a plus que ces deux types de réaction nucleaires! Meme si on s'interesse seulement en ceux qui sont utilisés pour produire l'électricité, il faut qu'on inclue le decai radioactif - Cassini-Huygens entre autres utilise une géneratrice radio-thermale (il y a meme des phares nucleaires construit par les Soviets).
  • La fusion nucleaire n'est pas une technologie nette, comme dit l'article, mais les details sont un peu different. En fait, la probleme avec la radioactivite dans le cas du fission nucleaire n'est pas la radioactivité induite; cela ne produit que du "low-level waste". La grande probleme c'est les isotopes trans-uraniques, qui ont des demi-vies (?) de millions d'années, et cela n'existe pas avec la fusion. Avec la fusion on a besoin de la tritium en grande quantité, ce qui est radioactive, qui peut etre incorporé dans l'organisme, et qui est tres difficile à contenir - il passe a travers le caoutchouc et l'acier (lentement).
  • La position du Canada, étant nation parlant français, sur l'énergie nucleaire serait interessant de mentionner. Le Canada possede beaucoup d'uranium, et alors utilise significamment l'énergie nucleaire. En particulier, on a crée le reacteur CANDU. Cette technologie et ces reacteurs ont ete vendu a plusieurs nations incluant l'Inde. C'est avec un reacteur canadien (mais pas un CANDU) que l'Inde a produit le plutonium pour leur test d'arme nucleaire "Operation Smiling Buddha" en 1974. (Il y a plus à en:Canada and weapons of mass destruction)
  • La propulsion nucleaire a ete recherche par NASA dans le projet NERVA (voir en:Nuclear thermal rocket). Ces systemes etaient capable de produire des très grandes forces mais pour des periodes courtes. Certes, il y a aussi des systèmes de propulsion électriques ayant une plus grande efficacité; tous les composantes ont été déjà utilisées; la generatrice en Cassini-Huygens et la moteur (utilisant l'énergie solaire) sur Deep Space One.

Je connais que la réponse sera plutot "alors, changez-le!" mais comme vous voyez, mon français n'est pas de bonne qualité. --132.206.150.168 17 jan 2005 à 20:52 (CET) (en:User:Aarchiba)

A intégrer peut-être dans l'article

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Récupére ce centrale nucléaire

Concernant la politique de gestion globale de l'énergie, et la place des centrales nucléaires dans celle-ci, voir l'article énergie nucléaire.

Avantages

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  • Le coût de production total de l'énergie électrique d'origine nucléaire est modéré (estimé à 0,0284 €/kWh[1] par le ministère français de l'industrie).
  • Contrairement aux centrales thermiques classiques qui utilisent la combustion d'énergies fossiles, le fonctionnement d'une centrale nucléaire permet d'éviter la production des polluants atmosphériques suivants, pour la plupart gaz à effet de serre :
    • dioxyde de souffre
    • oxydes d'azote
    • dioxyde ou monoxyde de carbone
    • composés organiques volatils
    • particules diverses
  • la fission d'un kilogramme d'uranium 235 dégage une énergie de près de 83,8 TJ [2], soit l'équivalent de la combustion d'environ 2400 tonnes de charbon.

Inconvénients

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  • Le rendement d'une centrale nucléaire, de l'ordre de 33 %, est plus faible que dans d'autres centrales thermiques, principalement en raison de la moindre température de la source chaude (cycle de Carnot), encore abaissée en raison de l'échange thermique entre circuits primaire et secondaire (ces circuits étant séparés afin de constituer une barrière de confinement pour les produits radioactifs, vis-à-vis du milieu extérieur).

Ainsi, 67 % de la puissance thermique d'une centrale nucléaire est rejetée dans l'environnement ; en fonction de l'implantation de la centrale et du mode de refroidissement choisi, cela conduit soit :

    • à une élévation sensible de température de l'eau de mer, à proximité du littoral, ou de l'eau d'un fleuve, qui peut être importante en période d'étiage ;
    • au rejet de grandes quantités de vapeur d'eau dans des tours aéroréfrigérantes, et donc dans l'atmosphère, qui peut produire un micro-climat aux alentours immédiats de ces tours ; la photo de la centrale de Golfech montre de telles tours aéroréfrigérantes, qui dominent tous les autres bâtiments.
Toutefois, certaines centrales sont conçues pour utiliser une partie de la puissance thermique évacuée pour le chauffage de bâtiments ou de serres agricoles.
  • une centrale nucléaire regroupe souvent sur un même site une très importante puissance de production d'électricité ; elle doit donc s'insérer dans un réseau de lignes haute tension capable d'acheminer sa production vers les lieux de consommation, souvent éloignés ; ces lignes dégradent l'environnement, et la concentration de la production électrique entraîne l'augmentation des pertes en ligne ;
  • Le fonctionnement et la maintenance de ces réacteurs produisent des déchets radioactifs (dont un faible volume de déchets de haute activité) qu'il faut gérer ;
    • les technologies actuelles ne permettent pas de récupérer économiquement l'énergie thermique produite par les éléments radioactifs contenus dans les déchets.
    • les déchets radioactifs sont stockés dans des structures de stockage temporaires ou définitives ; dans ce dernier cas, les structures doivent être adaptées à la durée de stockage prévue, qui peut être fort longue pour les déchets contenant des éléments radioactifs dont la période de décroissance radioactive s'exprime en milliers d'années.
  • Un accident nucléaire, bien qu'improbable, reste possible[3]. L'accident le plus important concernant une centrale nucléaire fût celui de la catastrophe[4] de Tchernobyl, en Ukraine.


Peut-on préciser que les deux premiers points de la partie "indepence energetique" sont incohérent ? Et visiblement copiés de la partie Avantage.

Absolument, c'est totalement incohérent d'autant plus qu'il a été montré que la technologie des surgénérateurs ne fournirait pas l'indépendance énergétique, cf. superphénix

Débat sur le nucléaire

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Le choix du nucléaire est un choix de société étant donné ses implications et les immenses investissements publics et privés qu'il monopolise de fait. Je persiste à penser que ce débat doit faire l'objet d'un article particulier. J'avais déjà suggéré il y a quelques mois de regrouper les débats de l'article centrale nucléaire et énergie nucléaire. On s'est contenté de les sortir de l'article centrale nucléaire. Voir Discuter:Centrale nucléaire.

Il faudrait même un portail des débats de société dans lequel ce débat serait intégré. L'objet de ces articles sur ces débats serait de refléter tous les arguments qui s'affrontent et de présenter cela de façon intelligible.

On pourrait renvoyer à ces débats depuis les articles nucléaires ou des autres énergies concurentes, comme depuis des articles politiques, économiques et sociaux, en résumant dans chaque article la part de débats qui concerne directement l'article. Cela permettrait de garder dans les articles nucléaires les aspects techniques, évidememnt présentés selon des exigeances techniques et non pas selon la propagande gouvernementale ou des entreprises concernées, et cela permettrait de montrer les liens qui existent entre tous ces aspects du développement de nos sociétés mondialisées. Bref la révolution de l'énergie qui s'annonce dans les décennies avenir doit pouvoir être compréhensible sur Wikipédia.--Mutima 2 septembre 2005 à 20:14 (CEST)Répondre

Le chapeau sur l'énergie nucléaire

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J'avais cru améliorer la "définition" précédente, mais "Cdang" a dû estimer que non sous le motif : intégration d'une info enlevée par "chapo". Le chapo est donc revenu à son état d'origine. J'imagine qu'il faut donc argumenter dans le "forum" avant de modifier un article ?! Mais quelle est donc cette info que j'ai enlevée ?!

Il était écrit : "../.. Cette caractéristique est exploitée principalement pour faire « chauffer de l'eau » (le mode d'exploitation de cette chaleur n'est fondamentalement pas différent de celui d'une centrale thermique classique), ainsi que pour détruire (bombe)."

Que j'avais modifié par : "../.. Cette caractéristique est exploitée principalement pour créer de l'électricité (centrales nuléaires) ou pour fabriquer des armes (bombes atomiques)."

Le mot "principalement" permet de ne pas faire ici un inventaire de toutes les applications de l'énergie nucléaire (bien qu'en médecine, ce soit assez usité)

Justifions donc la suite : c'est le "chauffer de l'eau" qui me semble étrange. Si ça fait référence aux centrales nuléaires, c'est bien la production d'éléctricité qui en est la finalité, non le chauffage de l'eau. L'eau n'est que le caloporteur. On peut noter au passage qu'il en existe d'autres dans d'autres centrales qui utilisent l'énergie nucléaire de fission (la sodium, ou le gaz). Quand au mode d'exploitation, je ne vois pas le rapport avec l'énergie nucléaire, ce serait sans doute un parallèle intéressant dans l'article "centrale nucléaire", mais ici on parle d'énergie non... ?

Ensuite la notion de "détruire" n'est pas la finalité de la 2e grande utilisation de l'énergie nucléaire. Ou alors la notion de "dissuasion" qui est le fondement de la stratégie militaire nucléaire française (de tous les pays possédant la bombe) est simplement niée, ce qui n'est pas très objectif. On n'a plus jamais utilisé ces bombes pour tuer depuis 1945, et pourtant on en fabrique toujours depuis... la finalité ne semble donc encore une fois pas la bonne.

Globalement j'avais cru améliorer la nature de ce court paragraphe en remplaçant les nuances (volontairement) péjoratives qui se trouveraient mieux à leur place dans la partie "débat". Ais-je tout faux ? Etes-vous d'accord ?

Contenu évasif / Manque de références

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Cette difficulté fait qu'en 2005, on n'a pas encore réusi à effectuer une fusion dans des conditions permettant son exploitation dans le domaine civil. Qui a essayé ? Pourquoi en 2005 ? on avait jamais essayé avant ? Un peu plus de détails sont les bienvenus. Plyd /!\ 5 décembre 2005 à 00:39 (CET)Répondre

derrière la Lituanie qui avec 90 % tient la tête (malheureusement leurs réacteurs, de conception soviétique , reconnu comme non sécurisés, devrait être arrêttés). Je veux bien le croire... mais qui le dit ? en quoi ils ne sont pas sécurisés ? depuis quand ? s'ils continuent, c'est que tout le monde ne pense pas qu'ils devraient être arrêtés... (je joue l'avocat du diable, mais il manque des références pour obtenir un contenu plus neutre.) Plyd /!\ 5 décembre 2005 à 00:39 (CET)Répondre

L'étude de réacteurs de 4e génération, plus économiques et écologiques <-- en quoi ils sont mieux ? qui le dit ? Plyd /!\ 5 décembre 2005 à 00:47 (CET)~Répondre

Parce que justement ils sont de 4ème génération (cf. la GForce IV elle est beaucoup mieux que la GForce III! - Ben pourquoi? - Parce qu'elle est beaucoup plus chère!) ;-) LordAvalon 5 décembre 2005 à 15:30 (CET)Répondre
Il y a, par exemple, des détails de conception des réacteurs qui font que les réactions nucléaires peuvent être favorisées ou entravées par une augmentation de température. Comme il est intuitif, un réacteur dont la réaction ralentit lorsque la température augmente a un effet auto-régulant intégré dans le combustible lui-même (étant bien entendu que vous aurez aussi l'habituel bastringue des barres de contrôle, barres de sécurité, vidange d'urgence de la cuve et que sais-je); l'inverse, où lélévation de la température favorise l'embalement de la réaction, est le cas du réacteur de Tchernobyl de fameuse mémoire (il devient de plus en plus difficile de ramener le réacteur à la criticité).
En revanche, le détail calculatoire de cette petite finesse est relativement fastidieux, et je doute qu'il intéresse grand monde. RamaR 7 décembre 2005 à 09:50 (CET)Répondre

Chutes d'avions

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J'ai retiré la mention "Les centrales nucléaires actuelles pas plus que les usines ceveso ne sont conçues pour résister à la chute d'un avion de ligne."

Les centrales nucléaire sont en fait effectivement conçues pour résister à la chute d'un avion de chasse, qui serait pour l'enceinte en béton du réacteur un cas plus grave que celle d'un 747 (l'avion de chasse a plus de pouvoir de pénétration, le 747 ferait juste "splotch") [5].

Par ailleurs, puisqu'on parle d'avions de chasse, il va sans dire qu'un avion non identifié se dirigeant vers une installation nucléaire aurait une espérance de vie très courte.

Si l'idée reçue du danger de chute d'avion est répendue, il serait peut-être bon de démystifier explicitement cette question dans l'article. RamaR 7 décembre 2005 à 10:06 (CET)Répondre

Je n'ai pas de référence, mais il me semble bien que les centrales françaises actuelles sont dimensionnées pour résister à la chute d'un avion de l'aviation générale. Cela exclut l'aviation commerciale, p.ex. les lignes régulières et les cargos, et l'aviation militaire; en gros, elles peuvent résister à l'impact d'un Learjet ou d'un Dassault Falcon. David.Monniaux 7 décembre 2005 à 12:11 (CET)Répondre
Lire discussion EPR Natmaka 7 décembre 2005 à 23:22 (CET)Répondre

Bandeaux d'avertissement

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Ces bandeaux sont-ils pertinents ? Ils pourraient être apposés sur tous les articles de l'encyclopédie, alors pourquoi ici ? Turb 9 janvier 2006 à 12:01 (CET)Répondre

Lien externe mort

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Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 1 février 2006 à 03:07 (CET)Répondre

Lien externe mort

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Bonjour,

Pendant plusieurs vérifications automatiques, et dans le cadre du projet correction des liens externes un lien était indisponible.

Merci de vérifier si il est bien indisponible et de le remplacer par une version archivée par Internet Archive si c'est le cas. Vous pouvez avoir plus d'informations sur la manière de faire ceci ici. Si le lien est disponible, merci de l'indiquer sur cette page, pour permettre l'amélioration du robot. Les erreurs rapportées sont :

Eskimbot 1 février 2006 à 03:08 (CET)Répondre

Introduction

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Il y a un problème avec l'introduction. La suppression de la distinction microscopique/macroscopique ne simplifie pas la lecture : la définition de l'énergie nucléaire "artificielle" en tant que force de cohésion des nucléons créée par l'homme ne veut rien dire. Je reprend l'intro précédente. - ReDwolf 29 septembre 2006 à 14:03 (CEST)Répondre


La propulsion spatiale

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La section sur la propulsion spatiale est ébouriffante. Je ne sais pas d'où ça sort, mais un petit calcul sur le rendement maximal attendu pour des réactions nucléaires, avec E/mc² de l'ordre de 10-3 fait diminuer la masse de la fusée de façon inacceptable. Trassiorf 20 janvier 2007 à 18:40 (CET)Répondre


En outre, je ne vois pas ce que viennent faire ces calculs de relativité de coin de table dans un article sur l'énergie nucléaire. À effacer.
Autre chose: la dernière phrase sur soi-disant "beaucoup de scientifiques...", que je subodore fausse, nécessite des références. Autres allégations: Non seulement les avantages de la propulsion nucléaire sont au contraire bien évidents, mais d'autre part, la pollution radioactive engendrée par un accident, loin d'être "désastreuse", serait largement négligeable. À effacer.
Je ne sais pas comment débloquer l'article et n'ai pas vraiment le temps de chercher en ce moment, et c'est bien dommage quand on voit que c'est un des articles les plus consultés.

petite question

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moi j'avoue que je ne comprend pas d'où vient l'energie d'une fission si l'energie de liaison par particule est moindre dans un noyaux lourds que dans les produits de la fission... Ce serait le contraire je comprendrais qu'il y ait libération d'énergie (car on passe d'une grande énergie à une plus faible) mais que les produits de la fission possède plus d'énergie que l'atome lourd de départ, ça laisserait plutot penser qu'il y a absorption d'energie. En tout cas dans l'article c'est expliqué comme ça... quelqu'un pourrait t-il m'éclairer? Merci , Wallblast.

Creusement Par l'Union Sovietique

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"En Union Soviétique, des explosifs atomiques ont été utilisés pour le percement de canaux"

La phrase precedente indiquait que la creusement avec des explosives atomiques on seulment ete envisioner et non essaiyer. Je n'ai pas pu trouver une citation pour cette phrase mai j'en ai trouver pour la precedent (qui contredit celui ci). Donc je l'ai effacer, il peut etre remis si un citation raisonable est trouver. 6 juin 2007 à 07:09 (CEST)

Il suffit de regarder le fichier de GoogleEarth Community sur les explosions nucléaires qui sont localisées, datées très exactement. L'explosif nucléaire a largement été utilisé pour le creusement des canaux (assèchement de la Mer d'Aral par exemple, et c'est pourquoi on ne peut plus revenir en arrière maintenant..). Il y a eu des tirs en salve : 5 tirs à 10 mn d'intervalle chacun. Tout cela est bien connu et publié. Le patron de l'entreprise de l'eau "Vodstroij" Mr Sverdlov (le fils du grand révolutionnaire) voulait détourner l'Ob et l'Iénisseï pour les ramener sur la Caspienne au lieu d'aller se perdre dans l'arctique, mais il y avait beaucoup trop d'explosions de prévues, et le projet a été annulé ! L'explosif nucléaire a été aussi utilisé pour faire des fractures dans les puits de pétrole et de gaz pour accroître la production.Cette technique a aussi été utilisée dans quelques tirs aux USA, notamment le tir "Dune Buggy", dans un puits de gaz, il a fallu fermer le pits pendant 20 ans, car il y avait eu trop de ritium de formé et cela aurait pu être "ennuyeux" pour les ménagères enceintes utilisant une gazinière...--Krolik 6 juin 2007 à 11:22 (CEST)Répondre

la puissance des réactions nucléaires non cronttôlées

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Le gamme donnée du kilotonne à la mégatonne doit être élargie :

- A priori les Nord-Coréens ont fait en 2007 un essai sousterrain plutôt foireux mais nucléaire à 500 tonnes.

- la puissance maximale ayant été réalisée par le Tsar Bomba Soviétique en septembre 1961 avec une puissance estimée de 56 mégatonnes. L'onde de choc a fait trois fois le tour de la Terre !--Krolik 18 juin 2007 à 17:19 (CEST)Répondre

Interaction faible

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Le passage dans l'intro sur l'interaction faible est simpliste (il faut au moins ajouter les leptons --en particulier les électrons-- et les bosons W et Z). D'autre part on parle plutôt d'interactions forte et faible. Parler de forces *nucléaires* forte et faible n'est pas faux mais, d'après mon expérience, aide à la confusion et donne l'impression qu'il y a un rapport entre les deux. D'ailleurs, l'interaction faible est responsable de la radioactivité bêta, ce qui n'a finalement pas grand-chose à voir avec le reste de l'article. La page est protégée, je ne peux donc pas éditer moi-même.

Franco centrage

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Bonjour. J'ai retiré ces liens peu académiques, très franco-centrés et très partisans. Si vous voulez les utiliser comme source, pas de problème à condition de publier un contenu neutre sur leur sujet, probablement sur un autre article. Merci de votre compréhension. --Bruno des acacias 11 mars 2009 à 18:49 (CET)Répondre


Emploi "actuel" de l'énergie nucléaire

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(à Ludo29) :

  • La production d'énergie n'est que depuis quelques décénies l'objet principal de l'industrie nucléaire. Avant guerre, c'était la production de radium (radiothérapie), et après guerre c'était la production de matières fissiles pour faire des bombes.
  • J'ai essayé de mettre le message sur ta page de discussion, mais quatre fois de suite ça a "planté" mon navigateur : il doit y avoir un problème quelque part...

Cordialement, Biem (d) 23 mars 2010 à 16:38 (CET)Répondre

GW ou TW ?

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France: 63.236 GW dans le tableau et 63 GW dans le résumé. Ne s'agirait il pas de 63 TW par hasard ? (question anonyme)

réponse : Non, cela vient de la différence entre le . et la , dans l'écriture des nombres. 63,236 GW, donc.Pickwick (d)

Part énergie primaire

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La note qui indiquait que l'électricité nucléaire représente 2% de l'énergie primaire totale (en gros 12 GTep) est fondée sur le rapport de l'IPCC " Summary for Policy Makers " (rapport approuvé par les gouvernements les 5 et 6 mai 2011]). Ce rapport porte essentiellement sur le développement des énergies renouvelables et le contenu CO2 des énergies. En ce qui concerne l'électricité nucléaire ce sont les gCO2/kWh qui y sont le centre d'intérêt plutôt que gCO2/énergie primaire nucléaire). Il peut s'y glisser une erreur, qui a une certaine importance (vu l'emploi qui est fait de ces 2% dans la presse actuellement).

Il eût été étonnant que la valeur de 6% citée depuis des années se transformât brutalement en 2%.

De simples règles de trois (1 MWh nucléaire électrique ---> 0,2606 Tep énergie primaire) montrent qu'en 2009 l'énergie nucléaire correspondait à 5,5% de l'énergie primaire totale.

J'avoue n'avoir pas su modifier le texte sans retirer la citation en cause, qui est erronée sur ce point. Pickwick (d) 28 mai 2011 à 08:17 (CEST)Répondre

Théorie des collisions nucléaire, politique et militaire

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Les projets de centrales ne produisant pas d'éléments susceptibles d'être utiles à une fin militaire n'ont jamais été approuvés par les budgets des états jusqu'à très récemment: pour des raisons d'indépendance énergétique, des recherche sont en cours pour le développement de centrale au thorium.

Pourtant, le mécanisme de ces centrales est connu depuis au moins les années 70, mais on savait déjà qu'il ne nésséssite pas d'enrichir des matériaux fissiles au point ou il pourrait devenir structurellement utile à une politique générale des états nations héritée de la guerre froide basée sur la dissuasion nucléaire.

Parallelement à l'usage civil s'est donc développé quasi ostensiblement "la prolifération nucléaire", qui n'est autre que le résultat de la contrebande organisée de ces produits dits civils. Organisée en majorité par des états qui prétendent aujourd'hui lutter contre la prolifération tout en continuant d'utiliser et de produire ces matériaux qui échappent (volontairement ou non) à leur contrôle.

En choisissant d'utiliser du plutonium ou de l'uranium, les états concernés contribuent volontairement à cette prolifération. Il me semble logique de conclure que cette peur est tout à fait rationnelle et que visiblement depuis le début, l'usage de ces matériaux pour le civil est une vaste couverture pour un usage militaire.

Plutôt que d'effacer ma contribution gratuitement, pourriez-vous me fournir des éléments justifiant votre volonté? Pourriez plutôt me dire à quel endroit me tromperai-je? Mes sources sont connues de tous et facilement identifiables: l'histoire du monde contemporain depuis la seconde guerre mondiale et l'actualité economique et politique, si vous désirez plus de liens, merci de le préciser.

Bonjour. Je cite un extrait du texte ci-dessus Parallèlement à l'usage civil s'est donc développé quasi ostensiblement "la prolifération nucléaire", qui n'est autre que le résultat de la contrebande organisée de ces produits dits civils ou En choisissant d'utiliser du plutonium ou de l'uranium, les états concernés contribuent volontairement à cette prolifération. Il me semble logique de conclure que cette peur est tout à fait rationnelle et que visiblement depuis le début, l'usage de ces matériaux pour le civil est une vaste couverture pour un usage militaire. En l'état, parce qu'il avance la théorie de la contrebande organisée sans citer les documents qui ont déjà publié cette théorie, ce texte apparait comme un commentaire personnel sur l'usage du plutonium et de l'uranium et ne peut pas être inséré dans l'article. Cette théorie n'a pas non plus à être discutée en page de discussion puisqu'ici, on ne discute pas des théories mais uniquement de la possibilité d'en parler dans l'article. Donc, à la question Pourriez plutôt me dire à quel endroit me tromperai-je?, la réponse est « Pour ajouter cette théorie de la contrebande organisée à l'article, il faut citer les références des documents qui l'ont déjà publiée. » et « Nul ne doit donner ici son opinion sur cette contrebande organisée. » Reste donc à chacun à trouver les documents et à modifier l'article sur la base de ce que ces derniers publient. Merci de votre attention. Cordialement. --Utilisateur:Brunodesacacias 19 septembre 2011 à 08:14 (CEST)Répondre

Cout electricite nucleaire selon Cour des Comptes

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Je cite: "...et à 75 euros le mégawattheure en ajoutant les coûts de démantèlement et ceux des assurances en cas de catastrophe, selon des rapports du Sénat et de la Cour des comptes."

Si on suit le lien donne pour soutenir ce cout de 75 euros: "Le rapport, comme celui de la Cour des comptes publié au printemps, relève aussi des "incertitudes" supplémentaires notamment sur le démantèlement, plus les coûts d'assurances pour un accident ou des frais de recherche. Des coûts qui porteraient le total à 75 euros le mégawattheure, même si la Commission s'est refusée à effectuer officiellement cette addition "parce qu'on n'a pas voulu rajouter des incertitudes aux incertitudes", selon M. Dessessard."

Ayant lu le rapport de la Cour des Comptes, je peux affirmer qu'un tel cout y est introuvable. Et ce senateur dit que ce cout n'a pas ete calcule non plus par la commission senatoriale citee. Il convient donc de modifier la phrase, et je propose:

On notera cependant qu’en France le coût du nucléaire, fixé par le gouvernement (loi NOME), est largement sous-évalué. De 42 euros le mégawattheure (prix actuel cf Arenh au 1er janvier 2012), on monte à 54,2 euros en incluant les travaux de sécurisation post-Fukushima, selon des rapports du Sénat et de la Cour des comptes. Des sources officieuses donnent un coût 75 euros le mégawattheure en ajoutant les coûts de démantèlement et ceux des assurances en cas de catastrophe.

En attente d'un feedback.

--Monstroglandul (d) 27 février 2013 à 19:25 (CET)Répondre

J'ai modifié le texte et ajouté une référence --Thepat (d) 28 février 2013 à 06:34 (CET)Répondre
Cet article des Échos ne dit pas la même chose : «  Pour la Cour des comptes, le coût de production réel du mégawattheure s'élève à 49,5 euros et devrait atteindre 54,2 euros avec les mesures post-Fukushima. Dans le pire des scénarios envisagés, le prix du mégawattheure pourrait monter à 75 euros, une hypothèse que la commission du Sénat a refusé de confirmer ». [7] Donc, il ne s'agit à mon sens pas d'une source officieuse, Monstroglandul mélange deux choses, le rapport de la Cour des comptes et le rapport d'une commission du Sénat. Et Le Monde donnait la même chose. Donc soit les journalistes se sont plantés soit c'est Monstroglandul. Est-ce que quelqu'un aurait le lien vers le rapport de la Cour des Comptes, qu'on puisse juger sur pièces ? Cordialement. --JoleK (d) 28 février 2013 à 11:45 (CET)Répondre
Dans l'article, j'ai rajoutté des liens vers le rapport de la cour ( http://www.ccomptes.fr/content/download/1794/17981/version/6/file/Rapport_thematique_filiere_electronucleaire.pdf ) et vers une présentation officielle du rapport du sénat en conférence de presse (http://www.senat.fr/rap/r11-667-1/r11-667-1-syn.pdf) sauf erreur de ma part les chiffres de 42 et de 54,2 euros/MWH sont cités et je n'y ai pas trouvé le coût de 75euros/MWH, par contre il y est fait mention d'incertitudes sur les coûts futurs...
Je viens de repasser en revu le PDF complet du rapport de la Cour des Comptes: utilisation de la fonction recherche de Preview sous Mac OSX, avec comme objectif "75". Le 75 apparait toute les pages minimum (code postal de la Cour des Comptes...), mais en regardant ou il apparait, a aucun moment il n'est donne un cout de 75 euros le MWh. J'ai tentez l'experience avec "54,2" (cout post-Fukushima): reponse unique correspondant bien au cout de 54,2 euros. Je confirme donc: ni la Cour des Comptes, ni la commission du Senat n'evoque un cout de 75 euros le MWh.--Monstroglandul (d) 1 mars 2013 à 19:25 (CET)Répondre
Effectivement le rapport de la Cour des Comptes ne contient pas cette affirmation, et celui du Sénat ne semble pas la contenir non plus. Cela dit, dans le rapport de la Cour des Comptes, il y a une réponse du patron du CEA qui affirme que si l'on devait remplacer toutes les réacteurs actuels par des EPR on serait à 75. Mais l'article du Monde, en source de cet article, est lui très clair, des sénateurs ont affirmé qu'il n'était pas non plus impossible qu'on arrive à 75 euros en prenant en compte toutes les données. Et d'ailleurs, pour avoir parcouru un peu le rapport des sénateurs, on a l'air, du côté de pouvoir public, à commencer à peine à revoir les estimations qui ont été faites jusque là et on ne sait pas vraiment conduire cette estimation. Quoi qu'il en soit ce passage dans l'article me semble correct. Cordialement. JoleK (d) 11 mars 2013 à 18:50 (CET)Répondre

High beta fusion reactor, un réacteur à fusion au deuterium.

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Je signale un projet de petit réacteur au deuterium nommé en:High beta fusion reactor lancé par Lockheed Martin en 2013 qui semble interessant. Quelqu'un peut il en faire une traduction ? L'amateur d'aéroplanes (discuter) 15 juillet 2014 à 19:37 (CEST)Répondre

Propulseurs nucléaires

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Apparemment, les propulseurs nucléaires existent est on déjà été utilisés selon cette source : "http://fr.rbth.com/tech/2013/02/13/mission_nucleaire_vers_lespace_21959.html" (page 2) Je cite : "La Russie a en son temps envoyé dans l'espace 32 appareils à propulseur nucléaire, les Américains deux seulement". Il faudrait donc changer la phrase : "En revanche, la propulsion nucléaire, au cas où elle serait possible, n’est encore qu’envisagée". D'autant plus que l'article référencé juste au-dessus : Propulsion nucléaire (astronautique) a comme article connexe NERVA qui indique un projet américain à la fois envisagé et même testé. Je cite à nouveau : "Malgré les innombrables difficultés techniques inhérentes à un concept aussi nouveau, le projet avança rapidement et aboutit en 1969 au test au sol d'un moteur quasiment qualifié pour le vol.", Merci.

Graph des LCOE

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Bonjour Jpjanuel, merci d'avoir complété la légende du graph de Our World in Data sur  LCOE , qui me laisse perplexe : vous soulignez le fait qu'il n'est pas complet en ce qui concerne l'intermittence des ENR, mais la représentation du nucléaire soulève également des questions.

  1. La hausse de 96 à 155 $/MWh entre 2010 et 2019 est-elle réaliste, si l'on considère notamment le rythme de constructions en Chine ? Pourrait-elle être due à l'envolée des coûts des matières premières (comme pour ITER, en partie) ?
  2. Ce créneau de 2010-2019 n'est-il pas trompeur, dans la mesure où la "learning curve" du nucléaire a commencé bien avant 2010 ? Ce graph ajouté par PJ Geest et du même site donne bien l'évolution du prix des modules PV depuis 1976.

La source du graph (section "Why did nuclear power get more expensive?") s'appuie sur cet article, dont la figure 3 confirmerait une augmentation du prix du nucléaire au kW construit depuis les années 70, en France comme aux E-U. Ce rapport de Lazard, qui a donné le graph de en:Cost of electricity by source, va dans le même sens. Où sont donc passées les économies d'échelle ?

Merci pour vos lumières et @Ydecreux, qui est également intervenu sur ce sujet. -- Vega (discuter) 13 août 2021 à 13:07 (CEST)Répondre

Bonjour Ydecreux, il serait plus facile de répondre si « Our World in Data » donnait les références complètes de ses sources ; ils indiquent seulement « IRENA pour les renouvelables et Lazard pour le nucléaire et le charbon » IRENA est une source de bonne qualité, mais très favorable aux renouvelables ; on peut donc craindre un biais ; Lazard est a priori neutre, mais sur quel échantillon ses prix du nucléaire sont-ils calculés ? s'ils n'ont pris en compte que les centrales construites dans l'OCDE par exemple, ce choix est très défavorable au nucléaire. Ceci dit, les commentaires de l'article de « Our World in Data » permettent de répondre en grande partie à vos interrogations : dans la partie intitulée « Why did nuclear power get more expensive? What can reverse that trend? », ils expliquent : « une raison de l'augmentation des prix est la réglementation croissante pour le nucléaire [...]. Une seconde raison est que le monde n'a pas construit beaucoup de centrales nucléaires au cours des dernières années, si bien que les chaines d'approvisionnement sont petites, peu compétitives, et ne bénéficient pas d'économies d'échelle ». Ils précisent ensuite que les tendances des prix diffèrent selon les pays : « les prix et les durées de construction se sont accrus de façon significative aux US et au UK, alors que la France et la Corée du sud ont été au moins capables de maintenir prix et durées de construction constants ». Ce dernier commentaire laisse à penser que leurs sources se limitent à l'OCDE ; par ailleurs, il est curieux d'affirmer que la France aurait maintenu constants ses prix et durées de construction quand on se réfère aux déboires du chantier de Flamanville 3 !!! Ils expliquent ces différences par la capacité des pays à standardiser la construction des centrales. Ils ajoutent plus loin : « mais le nucléaire pourrait encore devenir plus important dans le futur parce qu'il peut complémenter les renouvelables là où ces sources d'énergie ont leurs faiblesses : 1) leur intermittence qui reste un défi et implique qu'un mix énergétique viable dans le futur monde post-carbone inclura probablement toutes les sources bas-carbone, renouvelables comme nucléaire. 2) la consommation de terrain très élevée des renouvelables alors qu'un grand bénéfice environnemental du nucléaire est qu'il utilise très peu de terrain ».--Jpjanuel (discuter) 13 août 2021 à 16:27 (CEST)Répondre
Le rapport de Lazard qui semble avoir été utilisé comme source du graphique ne donne pas ses sources, mais indique dans sa partie méthodologique que ses LCOE sont calculés par un modèle qui reflèterait un projet lancé à l'époque actuelle. Le contexte suggère que toutes les hypothèses sont tirées de projets américains. Pour le nucléaire, il s'agirait donc des AP1000 de Westinghouse, qui ont connu un historique au moins aussi calamiteux que les EPR, sinon pire. Cela peut à la rigueur être une référence acceptable pour les États-Unis, mais certainement pas pour le reste du monde.--Jpjanuel (discuter) 13 août 2021 à 17:05 (CEST)Répondre
Jpjanuel, je profite du passage sur cette page pour vous remercier de votre avis ci-dessus. Les deux seuls points donnant la "tendance" du nucléaire cacheraient donc bien des questions de méthodologie et des disparités. Au rythme où vont les choses, d'autres études compléteront sans doute ce manque, comme on en voit déjà apparaître dans en:Cost_of_electricity_by_source#Global_studies. J'ai ajouté un mot aux légendes des articles concernés (LCOE et ici), en rustine. — Vega (discuter) 27 mars 2022 à 23:59 (CEST)Répondre

Rédaction vs citation

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Bonjour Thepat et Jpjanuel, voici quelques éclaircicements pour compléter mon dernier commentaire de diff. Premièrement, il s'agit de ne pas substituer des citations, même dûment attribuées, à la rédaction. Nous en avons discuté il y a peu avec Jpjanuel : les citations de phrases entières amènent lentement à un effet patchwork, car il manque entre elles de la continuité de sens et de contexte, laissant finalement le lecteur faire le lien et deviner. D'autre part, la formulation initiale était plus WP:PRECISe : elle expliquait l'étape de fusion du coeur, la dissémination d'éléments et parlait d'"accident" de Tchernobyl, alors que la citation de l'AIEA parlait d'"incident" (curieusement) et de "conséquences" vagues.

J'ai donc complété la formulation initiale avec les éléments de la citation, à savoir la distinction (je crois) entre explosion de munition et fusion du coeur, respectivement « en cas d'attaques ou de perte d'alimentation électrique », et l'attribution du propos à l'AIEA. Salutations — Vega (discuter) 27 mars 2022 à 23:21 (CEST)Répondre

  • Bonsoir Vega et Jpjanuel, j’ai remis, dans la continuité du texte, la citation complète de l’AIEA précédemment attribuée aux Echos, j’ai corrigé l’aspect stratégique précédemment ré-attribué à l’AIEA (sauf erreur de ma part cette attribution stratégique à l’AIEA n’est pas mentionnée dans la source citée). La formulation me semble ok et maintenant conforme aux sources. Nb : j’ai aussi supprimé la ref aux Echos qui est payante (donc moins facilement consultable). Cdlt.--Thepat (discuter) 28 mars 2022 à 01:00 (CEST)Répondre
    • Re bonsoir Vega, j’ai re-modifié le texte pour le mettre plus en phase avec la source de l’AIEA (la source des Échos est inaccessible gratuitement). J’espère que cela conviendra , car je n’ai eu aucun retour de mon commentaire précédent en PDD!… Cdlt. --Thepat (discuter) 28 mars 2022 à 02:49 (CEST)Répondre
Bonjour Thepat, merci d'avoir corrigé l'attribution de citation et reformulé, le paragraphe me semble clair et sensé à présent. — Vega (discuter) 30 mars 2022 à 16:56 (CEST)Répondre

Ajouts rapides

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Bonjour A1AA1A,

Vos derniers ajouts posent plusieurs problèmes, sur lesquels j'ai alerté par des bandeaux.

  • Mise en forme des références : une URL brute est insuffisante pour sourcer. Elle ne dit rien sur la fiabilité de la source, sur sa date (elle peut être obsolète, notamment concernant l'actualité), elle ne permet pas de retrouver l'info quand le lien sera mort.
  • Précision des références : de même, dans un long document ou film, il faut préciser la page ou le moment, sinon l'info est difficilement trouvable et la réf est trompeuse.
  • Neutralité : un dépôt de plainte met la puce à l'oreille, mais ce n'est qu'une version des faits, on ne saurait en tirer une conclusion concernant toute la filière.
  • Précision : en quoi la lourdeur d'une industrie est négative ? Le chauffage centralisé est-il "négatif" parce qu'il n'est pas adaptable aux villages ? Et quel rapport avec la « différence franco-allemande » que vous donnez en commentaire ?

Bref, sur un sujet aussi polémique, il faut redoubler d'attention. À vrai dire, puisque cette section est censée être un résumé de l'article détaillé Débat sur l'énergie nucléaire, le mieux me semble encore d'étoffer là-bas et d'en retirer uniquement les résumés et références. — Vega (discuter) 1 avril 2022 à 17:10 (CEST)Répondre

Bonjour Vega  
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