Bus-lès-Artois

commune française du département de la Somme

Bus-lès-Artois est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Bus-lès-Artois
Bus-lès-Artois
Eglise Saint-Pierre
Blason de Bus-lès-Artois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Bernadette Pombourg
2020-2026
Code postal 80560
Code commune 80153
Démographie
Gentilé Buséens
Population
municipale
135 hab. (2021 en évolution de −0,74 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 06′ 15″ nord, 2° 32′ 32″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 153 m
Superficie 6,74 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Bus-lès-Artois
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Bus-lès-Artois
Liens
Site web https://buslesartois.fr

Géographie

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Localisation

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Ce village picard, niché au creux d'un vallon sec, est situé au nord de l'Amiénois, à égale distance d'Amiens et d'Arras, d'Albert et de Doullens. Limitrophe du Pas-de-Calais, il est aisément accessible par les voies de communication moyennes (RD 11 et RD 938).

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

 
Réseau hydrographique de Bus-lès-Artois[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 837 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 12 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Bus-lès-Artois est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79 %), prairies (8,1 %), forêts (6,3 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le lieu est attesté sous les formes Bus en 1147 ; Busrorgum au XIIe siècle ; Bus Borgum en 1168 ; Bus-lez-Artois en 1557 ; Bu en 1638 ; Bus-lès-Artois en 1728 ; Bu-lès-Artois en 1733 ; Budes Artois en 1787[12].

Bus est issu du gallo-roman boscu (terme bas-latin boscus, d'origine germanique, qui a donné le français bois). Cependant, la forme actuelle de Bus peut impliquer une confusion avec un autre terme d'origine germanique busku- de sens proche, « fourré », qui a dû signifier « terrain couvert de fourrés , de buissons »[13].

Dans la Somme, on prononçait « Bou » en patois, pour désigner le bois (« défrétchir èl bordur d'éch bou ») d'où peut-être l'origine du mot « Bus » qu'on prononce aujourd'hui « Bu », en insistant sur le « u ».
Son étymologie est justifiée par la présence d'un bois[14] encore existant, elle a été complétée, afin de souligner sa proximité avec l'Artois, province d'Ancien Régime et ancienne frontière septentrionale du royaume.

Histoire

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  • Des traces d'occupation préhistorique ont été observées en plusieurs endroits du territoire.
  • La seigneurie locale est connue depuis le Xe siècle, le premier seigneur du lieu connu étant Charles de Bus (né vers 975), marié avec Louise d'Heilly vers 998.
  • Un pèlerinage en l'honneur de Saint Jean-Baptiste, instauré depuis le XIIIe siècle, fut très suivi jusqu'à la fin du XIXe siècle.Le premier registre paroissial conservé date de 1596. L'ensemble des registres est consultable en ligne.
  • A la fin du XVIe siècle, la seigneurie appartient à Guillain Lucas, chanoine de la Cathédrale Notre-Dame d'Amiens, dont le tombeau est visible derrière le maître-autel de la cathédrale.
  • Au XVIIe siècle, compte tenu de sa situation sur la limite septentrionale du royaume de France, le village est ravagé par les troupes, notamment lors du siège de Corbie et de la guerre de Trente Ans.
  • Des muches (souterrains-refuges), connues essentiellement par la tradition orale et les éboulements successifs, parcourent le village.
  • Le 27 mai 1797, un important incendie ravage 33 maisons et l'église.
  • En 1814, quatre moulins à vent étaient en activité au sud de la commune (Moulins Levaillant, Placide, Joseph-Pombourg et Tripet).
  • En 1836, le village comptait une activité ouvrière très développée. Aux trois activités principales (textile, agriculture et bâtiment) s'ajoutaient notamment un médecin, un bourrelier, un tailleur et un épicier[14]. Près de 900 habitants peuplaient la localité en ce milieu du XIXe siècle.
  • En 1916, et compte tenu de la situation du village à l'arrière-front, les habitants accueillent régulièrement les soldats alliés au cours de la Première Guerre mondiale.
 
Proximité entre habitants et soldats en 1916.

Politique et administration

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Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement d'Amiens pour intégrer l'arrondissement de Péronne[15].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1977 2001 Gilbert Marquis    
2001 2014 Philippe Rouvillain[16]    
2014[17] En cours
(au 28 mai 2020)
Bernadette Pombourg   Réélue pour le mandat 2020-2026[18]

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 135 habitants[Note 3], en évolution de −0,74 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
630656678735790847833871776
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
775735700678624535524453409
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
394380369296292287268218218
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
214193158135135146144144139
2018 2021 - - - - - - -
133135-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune adhère au S.I.S.C.O. (syndicat intercommunal scolaire) des "Sources de l'Authie", qui regroupe les communes de Authie, Bus-lès-Artois, Coigneux, Louvencourt, Saint-Léger-lès-Authie, Thièvres, Vauchelles-lès-Authie[23].

Économie

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Le village compte notamment cinq agriculteurs, un café-tabac (a fermé), un garage (a fermé), une entreprise de travaux agricoles et un paysagiste[14].

Culture locale et patrimoine

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Monuments

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  • Église Saint-Pierre : restaurée en 1804 (éléments en brique, ensemble des charpentes et de la décoration) à la suite d'un incendie survenu en 1797, l'église paroissiale a connu auparavant diverses époques de reconstruction et d'agrandissement (probablement XVIIe siècle pour le clocher et la nef, XVIIIe siècle pour le chœur). Placée en avant-corps de la nef, la tour massive bâtie en pierre calcaire révèle les armes des familles Brunel et Durieux, portées au-dessus du portail entre 1691 et 1723. Elle incorpore dans sa structure une fenêtre de nature ogivale antérieure ( ca. XVe siècle), vraisemblablement baie occidentale de l'ancienne façade, occultée par un placard donnant sur une tribune du XIXe siècle. L'arche surbaissée qui communique avec la nef, constitue probablement la partie la plus ancienne de l'édifice (origine médiévale). La sonnerie actuelle est composée de trois cloches accordées sur sol3, la3 et si3, et nommées Marie, Virginie et Éléonore. Elles ont été refondues par Gorlier à Frévent (62) et dotent le beffroi depuis 1851[24]
    • Selon la tradition, depuis le XIIIe siècle, l'église a été le lieu d'un pèlerinage très suivi en l'honneur de saint Jean-Baptiste, à la suite du don d'une relique du saint (os du pouce) fait par Wallon de Sarton, chanoine de Picquigny en 1206, probablement frère d'armes d'Alexandre (ca. 1145-1215), sire de Bus et chevalier croisé en 1187.
  • Château et chapelle castrale reconstruits en 1838 (ou 1848), situés sur un contrefort naturel au nord de l'église, et succédant à plusieurs constructions dont une fortifiée d'époque médiévale, en lisière du Bois de Bus. Son jardin à l'anglaise a fait l'objet d'un inventaire[25],[26].
  • Place publique comprenant un terrain de ballon au poing bordé d'arbres, située dans le prolongement du parc du château.

Lieux de mémoire de la Première Guerre mondiale

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Autres lieux

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  • Lieux-dits du terroir : Le Bois de Bus, les Heuyes, le Bois du Faÿ, la Ruelle du curé, la Ruelle du moulin, la Voie de Pierre, le Moulin Danicourt, les Haies Bodo, la Cornée d'Ambroise, les Chaudières, la Marette, la Pierre-Bise, le Fossé Ferry-Blondel, le Moulin brulé, Notre-Dame du Chêne, etc.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er de gueules à deux clés d'or passées en sautoir, au 2e d'argent au chêne au naturel, au 3e d'azur à la fleur de lys d'or[27].
Détails
Le chêne symbolise un ancien bois, qui aurait donné le nom de « Bus ». La fleur de lys est extraite du blason de la famille Pelet et peut également faire référence aux blasons de la Somme et de la Picardie. Les deux clés sont celles de saint Pierre, patron de la paroisse.

Création de Jean-François Binon utilisée par la commune.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Cardevaque (de), Adolphe, Le Canton d'Acheux, 1883.
  • Ledieu, Dominique, Petite histoire de Bus, 1903.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Bus-lès-Artois » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Bus-lès-Artois et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bus-lès-Artois ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 183 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 731.
  14. a b c et d « Bus-les-Artois »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la Communauté de communes du Pays du Coquelicot (consulté le ).
  15. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  16. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  18. « Bernadette Pombourg conserve son écharpe de maire à Bus-les-Artois », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « Comersis, liste des EPCI au 1er janvier 2019 » (consulté le ).
  24. « Fiche de Bus-lès-Artois », sur le site de Patrimoine de France (consulté le ).
  25. « Inventaire général du patrimoine culturel (documentation préalable) », sur Base Mérimée (consulté le ).
  26. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 176 (ASIN B000WR15W8).
  27. « 80153 Bus-lès-Artois (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).