Bondues

commune française du département du Nord

Bondues est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Bondues
Bondues
Le château de la Vigne (ou Château Aronio).
Blason de Bondues
Blason
Bondues
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Patrick Delebarre
2020-2026
Code postal 59910
Code commune 59090
Démographie
Gentilé Bonduois
Population
municipale
9 713 hab. (2021 en évolution de −2,86 % par rapport à 2015)
Densité 744 hab./km2
Population
agglomération
1 058 474 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 42′ 08″ nord, 3° 05′ 38″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 53 m
Superficie 13,05 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lille-2
Législatives 9e circonscription du Nord
Localisation
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Bondues
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Bondues
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Bondues
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Bondues
Liens
Site web http://www.ville-bondues.fr/

Géographie

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Description

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Bondues est située à 8 km au nord de la ville de Lille, en Flandre romane.

L'altitude de la commune de Bondues est comprise entre 18 et 53 m, sa mairie se situant à 35 m d'altitude environ[1].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Becque de Waziers, la Becque de marcq[2], la Becque de prés bévin[3] et un autre petit cours d'eau[4],[Carte 1].

 
Réseau hydrographique de Bondues[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille[5].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Bondues est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant 60 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[13],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (58,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,6 %), terres arables (37,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (14,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %)[16]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 4 063, alors qu'il était de 3 790 en 2014 et de 3 665 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 95,8 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 3,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,4 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bondues en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,8 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Bondues en 2019.
Typologie Bondues[I 2] Nord[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 95,8 90,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,6 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 3,6 7,8 8,2

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par la Liane 91, les lignes 33, 86, 89, 902, 903, 904 et 978, et par la ligne de transport à la demande 24R du réseau Ilévia[17].

Toponymie

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Noms anciens : Bundues, 1130, cartulaire de Notre-Dame de Bourbourg. Fondues, charte du Tournoi d'Anchin, 1096 (Miraeus). Bondiues, cartulaire de l'abbaye de Loos, 1163. Bonduy, Bondue, documents divers.

Bonduwe en flamand[18].

Histoire

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Antiquité

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Les vestiges de poteries domestiques et de tuiles romaines retrouvées à Bondues attestent de ses origines gallo-romaines[réf. nécessaire].

Moyen Âge

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Au Ve siècle, pour repousser les attaques des peuples francs, on élève à Bondues un fort avec une tour solide et élevée, appelé Fort du Pot-de-Fer. Il se maintient pendant sept cents ans. Un cabaret du Pot-de-Fer, érigé sur ses ruines, est aujourd'hui disparu[19]. Au XIIe et au XIIIe siècle, Bondues nous est connu par ses fabriques de draps et d'estamets.

La région est éprouvée lors de la guerre de Flandre, notamment lors des campagnes de Philippe IV le Bel qui campe à plusieurs reprises dans la région et livre bataille aux Flamands sur la châtellenie de Lille. Les opérations militaires touchent directement la région et en 1315, le roi de France Louis X campe avec son armée à proximité de la ville. Menacée par la famine et bloquée par la Lys en crue, son armée bat finalement en retraite. La ville est par la suite durement touchée par la politique de rétention de grains envers les marchés flamands, exercée par Louis X afin d'étouffer économiquement la région insoumise.

Quelques épisodes ont marqué la vie de Bondues et l'un des plus célèbres concerne celui de « l'Ost boueux », qui voit en cette nuit du 11 septembre 1315, le roi de France Louis X, dit le Hutin, se décider à quitter son campement qu'il occupe sur le mont de Bondues, du côté des Ravennes, et de fuir ces Flamands qui le harcèlent depuis 15 jours.

Dès cette période de l'histoire, Bondues est le siège d'une seigneurie symbolisée par un château.

Quatre maisons de noble origine ont possédé le château de Bondues :

1° La famille dite de Bondues, attestée en 1096 jusqu'en 1415 ;
2° La famille de Hames, depuis 1415 jusqu'à la seconde partie du XVIe siècle (Robert de Hames trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[20]) ;
3° La famille Bournonville, depuis cette dernière époque jusqu'en 1719 ;
4° La famille Dubosquiel, depuis 1719 jusqu'à nos jours.

À côté du fief principal, la seigneurie de Bondues, il existait d'autres fiefs faisant l'objet d'autres seigneuries, par exemple la seigneurie du Vert-Bois, à l'origine du château du Vert-Bois

Temps modernes

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Comme partout ailleurs, dans la partie nord de la châtellenie de Lille, 1566 est l'année de la révolte des Gueux et de la furie iconoclaste. Un prêche se tient à la cense du vert-bois le 25 mai. Le curé est l'objet de railleries et quolibets. Le 2 juillet, l'église est mise à sac par les Huguenots[21]

François-Joseph-Clément Dubosquiel, écuyer, est seigneur de Bondues vers 1770. Il a épousé Albertine-Henriette Diedeman. Ils ont eu au moins un fils Henri-Joseph Dubosquiel (1742-1824), baptisé à Lille le . Henri-Joseph est écuyer, seigneur d'Elfaut, bourgeois de Lille le , et meurt le , à 82 ans. Il a épousé à Lille le , Anna-Félicité Goudeman (1750-1779), fille de Pierre-Romain-Joseph Goudeman, seigneur d'Estevel, bourgeois de Lille, greffier criminel de la gouvernance de Lille, anobli par l'achat d'une charge de conseiller secrétaire du roi, échevin de Lille et de Thérèse-Françoise Le Mesre. Anna-Félicité est baptisée à Lille le , est dame de Forestelle et meurt paroisse Saint-Eustache de Paris le , à 29 ans[22].

Jean-André de Fourmestraux des Wazières (1612-1677), écuyer, est seigneur du Vert-Bois à Bondues et des Wazières (sur Wambrechies). Il est le fils d'André II de Fourmestraux des Wazières, marchand, seigneur de Beaupré (sur Haubourdin), des Wazières, bourgeois de Lille, échevin, rewart (responsable de la police), mayeur de Lille, anobli en 1623, et de Jeanne Deliot. Jean-André est baptisé à Lille le , accède à la bourgeoisie de Lille le , est créé chevalier le [23] par le roi d'Espagne Philippe IV notamment du fait d'avoir participé à deux campagnes militaires avec trois chevaux à ses frais derrière le cardinal infant Ferdinand d'Autriche (1609-1641) frère de Philippe IV[24]. Il obtient le la permission de s'appeler des Wazières, nom qui devient ensuite de Wazières. Il meurt à Lille le . Il épouse à Lille le Marie de Kessel, fille de Philippe, chevalier, seigneur de Milleville, et de Madeleine d'Appeltern. Marie de Kessel meurt le . Le couple est inhumé dans la chapelle des Frères mineurs de Lille[25]. Jean André a fait construire un premier château du Vert-Bois sur Bondues.

Louis-Léonard de Beugny, autre seigneur de Bondues, bénéficie le d'une sentence reconnaissant son appartenance à la noblesse. Il avait obtenu le des lettres données à Versailles le nommant garde des sceaux honoraire du Conseil d'Artois[26].

Philippe-Benoit- Dominique de Wazières (1677-1724), seigneur de le Rive (sans doute sur Marquette-lez-lille), succède à son grand-père Jean-André de Fourmestraux des Wazières dans la seigneurie de Vertbois. Fils de Jean-André-François de Wazières, chevalier, seigneur de Beaupré, capitaine de cavalerie espagnole, bourgeois de Lille, échevin, mayeur, rewart de Lille et de Marie-Jeanne-Henriette de Vicq, il est baptisé à Lille le , devient capitaine de dragons au régiment de Poitiers, bourgeois de Lille le , député ordinaire de la noblesse des États de Lille, il meurt à Lille le . Il épouse à Lille le Marie-Françoise-Élisabeth de la Fonteyne (1688-1721), fille de Pierre François Gaspard, écuyer, et de Marie Agnès Miroul. Elle est baptisée à Lille le et meurt à Lille le [27].

Parmi les autres fiefs situés sur Bondues, existe celui de la Deseure, détenu au début du XVIIe siècle par Jacques Flameng, seigneur de la Boutillerie, et de la Deseure, de la Phalecque sur Linselles, marié à Marguerite Fremault; leur fille Marguerite, épouse Hippolyte Petitpas II, seigneur sur Lesquin, Verlinghem, etc.[28].

Époque contemporaine

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Terres à blé, les plaines alentour sont morcelées en fiefs qui possèdent leurs censes, leurs manoirs. Certains manoirs seront appelés châteaux, et plus récemment « folies ».

Le fort de Bondues (appelé brièvement fort Lobau) est l'un des douze forts constituant la place fortifiée de Lille (système Séré de Rivières) construit entre 1878 et 1882 près du point de confluence de la Marque et de la Deûle, sur le bord de la route nationale 17 qui relie Lille à Menin et constituait principale voie de communication du secteur vers la Belgique. Paradoxalement, c'est aux troupes allemandes que le fort de Bondues sert pendant les deux guerres mondiales

En 1907, la dernière diligence lilloise fait encore le trajet Lille-Bondues-Linselles[29].

D'autres événements furent tragiques, comme celui des 68 résistants fusillés dans une cour du Fort de Bondues et sommairement ensevelis.

Un mémorial depuis 1965, la Cour sacrée et une statue de Dodeigne en 1986 perpétuent leur mémoire, tandis que le musée de la Résistance, inauguré en 1997, témoigne de l'action des résistants.

 
Voie 216 du Domaine de la Vigne

À partir de 1960, le village de Bondues a attiré une nouvelle population qui, fortunée ou à l'aise, quittait les villes de Tourcoing, Roubaix ou Lille pour chercher la verte campagne. Albert Prouvost, grand industriel français y construisit le célèbre « Bois d'Achelles » et le très coté « Domaine de la vigne », prisé par les professions libérales et les grandes familles du Nord ; d'autres quartiers se sont aussi formés par la suite. Des grands patrons français résident dans ces quartiers, en toute discrétion.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Lille du département du Nord.

Elle faisait partie de 1801 à 1964 du canton de Tourcoing-Sud, année où elle intègre le canton de Marcq-en-Barœul [30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Lille-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la neuvième circonscription du Nord.

Intercommunalité

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Bondues est membre de la Métropole européenne de Lille, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1967 sous le statut de communauté urbaine et transformée en métropole en 2015, et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats

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La ville de Bondues présente une spécificité sur le plan politique : celle d'être la ville la plus à droite du département du Nord. Ainsi, lors du second tour des élections présidentielles de 2012, Nicolas Sarkozy a obtenu 81,21 % des suffrages dans la commune, alors que le département du Nord a voté majoritairement en faveur de François Hollande[31].

Lors des élections municipales de 2014, la liste UMP menée par le maire sortant Patrick Delebarre est la seule candidate[32] et obtient la totalité des suffrages exprimés, avec 3 362 voix. Elle est donc élue en totalité.
Lors de ce scrutin, 56,27 % des électeurs se sont abstenus et 12,38 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[33]

Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste divers droite (DVD) menée par le maire sortant Patrick Delebarre[34] obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 045 voix (67,85 %, 28 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement celles menées respectivement par[35] :
- Dominique Frete (DVC, 556 voix, 18,44 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- André Hibon (DVD, 413 voix, 13,70 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 63,66 % des électeurs se sont abstenus.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[36],[37]
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 1945 mai 1945 Charles Muliez   Secrétaire de mairie
mai 1945 juillet 1958 Achille Lefebvre   Négociant en corderie
juillet 1958 octobre 1988 Paul Roussel[Note 5],[42],[43]
(1914-2002, gendre de
Léon Desbonnets)
SE Agriculteur, syndicaliste agricole
Ancien président de la Chambre d'agriculture du Nord
Démissionnaire
octobre 1988 octobre 2006 Paul Astier DVD Directeur de l'ISEN Lille, docteur en électronique
Conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais (1992 → 1998 et 2002 → 2004)
Vice-président de Lille Métropole Communauté urbaine
Démissionnaire
octobre 2006 En cours
(au 20 octobre 2022)
Patrick Delebarre UMP-LR[44] Cadre retraité
Conseiller communautaire délégué de la MEL (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[45]

Jumelages

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Au 29 septembre 2023, Bondues est jumelée avec[46] :

Équipements et services publics

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Enseignement

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Bondues relève de l'académie de Lille.

La commune possède plusieurs établissements scolaires[Quand ?] :

  • École Maxence-Van-Der-Meersch (maternelle et primaire publiques)
  • L'école des Obaux (maternelle et primaire publiques)[47]
  • L'Institution de La Croix Blanche (maternelle, primaire, collège et lycée privés)[48]
  • Écoles Sainte-Marie Saint-Joseph (maternelle et primaire privées)[49]

La ville de Bondues dispose d'une maison de retraite EHPAD, la résidence Albert-du-Bosquiel.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[51].

En 2021, la commune comptait 9 713 habitants[Note 6], en évolution de −2,86 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3132 2542 3832 5732 8412 8512 9253 0273 028
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1273 3753 3803 2943 2893 2063 2463 4473 146
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 1473 1133 3112 7462 8762 9793 1883 1613 310
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 5743 9616 7068 84010 28110 68010 1519 81610 046
2021 - - - - - - - -
9 713--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 756 hommes pour 5 205 femmes, soit un taux de 52,25 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[53]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
8,4 
75-89 ans
11,0 
17,3 
60-74 ans
18,1 
22,4 
45-59 ans
20,1 
15,8 
30-44 ans
16,6 
16,0 
15-29 ans
14,6 
19,6 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[54]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Sports et loisirs

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  • Clubs de football : Football Club Bondues (FCB) : le FC Bondues est né de la fusion entre le CJ Bondues et l'US Bondues en 2008. Le FC Bondues est le club de football de la ville de Bondues.
  • Le golf de Bondues (36 trous + practice) situé dans le domaine de la vigne
  • Autre club de tennis : le « Tub » (Tennis unis Bondues)
  • Parachutisme : École française de parachutisme Lille Bondues
  • Club de judo : USB (Union sportive bonduoise)
  • Club de pencak silat: Nord Perguruan Pencak Silat.
  • Club de basket-ball : Avenir Bondues Basket Club (ABBC) salle Alain-Poher
  • Deux clubs hippiques : le club hippique du Forest et le Cercle Hippique du Bois d'Achelles (CHBA)
  • Académie d'Escrime de Bondues
  • Une école de tir a l'arc
  • Église catholique Saint-Vaast
  • Église évangélique Betsaleel[55], sise au sein du parc d'activités « Ravennes-Les Francs ».

Économie

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Le siège social et l'usine de Lamy Lutti sont à Bondues.

La commune abrite l'usine de bonbons Lamy Lutti avec 600 salariés et un parc d'activités « Ravennes-Les Francs ».

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Vaast
  • L'église Saint-Vaast, de style néo-roman, construite en 1893 par l'architecte roubaisien Paul Destombes, qui succédait à une première église dont l'autel, avec le personnat, est donné, en l'année 1171, aux grands vicaires de la cathédrale de Tournai (Jacques Legroux). Elle est détruite en 1579 par les Gueux, et brûlée en 1580 par la garnison de Menin, composée d'Écossais et de Français à la solde des rebelles des Pays-Bas ; reconstruite quelques années après, démolie en 1797, il n'en reste que la chapelle Saint-Vaast, chœur de l'église actuelle).
    L'église dispose d'un orgue romantique construit en 2004 par Yves Fossaert de 3 claviers de 60 notes et un pédalier de 32 notes et 25 jeux qui commandent environ 2000 tuyaux[réf. nécessaire]. Le buffet réalisé au XIXe siècle par Hedin est dans le style Cavaillé-Coll. Le titulaire est Jérôme Faucheur[Quand ?].
Composition de l'orgue[réf. nécessaire]
I. Grand-Orgue II. Positif III. Récit expressif IV. Pédale
Bourdon 16'

Montre 8'

Flûte harmonique 8'

Prestant 4'

Quinte 2 2/3'

Doublette 2'

Plein-jeu VIrgs

Bourdon 8'

Salicional 8'

Flûte 4'

Cornet 5r.

Trompette harmonique 8'

Clairon harmonique 4'

Flûte traversière 8'

Viole 8'

Voix céleste 8'

Flûte traversière 4'

Octavin 2'

Basson 16'

Trompette 8'

Basson-Hautbois 8'

Trémolo

Flûte 16'

Quinte 10 2/3'

Flûte 8'

Bombarde 16'

 
Le musée de la Résistance au fort de Bondues.
  • Le fort de Bondues, également appelé Fort Lobau, est construit par le général Séré de Rivières entre 1877-1880. Aujourd'hui, il abrite le musée de la résistance à Bondues.
  • Le château du Vert-Bois, inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1962[56] ainsi que le parc qui l'entoure[57], construit en 1666 par le chevalier Jean-André de Fourmestraux de Wazières, seigneur du Vertbois, La Rive et Hacquebart, qui avait épousé en 1639 Madeleine de Kessel, fille de Philippe de Kessel constructeur du château de Wattignies en 1640.
    Propriété de la famille Prouvost, il conserve une importante collection de faïences et de mobilier napoléoniens ainsi qu'une collection de minéraux.
    La fondation Anne et Albert Prouvost est installée dans d'anciens corps de ferme du château.
  • La ferme du Brabant.
  • Le château de la Vigne et son parc.
  • Ancienne Poste: 16 rue de la poste.
  • Calvaire et Chapelles
    • Calvaire du chemin du Christ - situé à l'angle du Chemin du Christ et de la rue René d'Hespel.
    • Chapelle Notre Dame - Située avenue du Général de Gaulle au niveau du Rond-Point du Fort. Elle contient une statue de Notre-Dame de Lourdes.
    • Chapelle Notre-Dame de Bondues - À l'origine consacrée à Notre-Dame des Affligés par la famille Glorieux qui la fait ériger au début du XIXe siècle. Elle est restaurée en 1939 par la famille Prouvost qui la rebaptise "Notre-Dame de Bondues". Elle est située au rond-point de la chapelle au lait battu, son nom populaire car c'est en vendant du lait battu que les Glorieux avaient récolté les fonds pour sa construction.
    • Chapelle Notre-Dame de la Miséricorde. dite "Chapelle du petit bonnier" car située à proximité de l'allée du Petit Bonnier et de la rue Henri Dunant.
    • Chapelle Notre-Dame des Ravennes - Inaugurée en l'an 2000, elle est située le long du chemin de la Croix Bouillette, au niveau de la rue Jean-Baptiste Lebas.
    • Chapelle Notre-Dame de la Treille - dite « chapelle du vœu ». Elle est érigée à l'initiative de Marie Renée d'Hespel en 1915. Elle est située rue René d'Hespel au niveau de la rue de la drève de la ferme de l'Hôtel.
    • Chapelle Saint-Andrew - Située à l'entrée du Golf de Bondues. Saint Andrew étant le saint patron des Golfeurs.
    • Chapelle Saint-Roch - Située Avenue du Général de Gaulle et encastrée dans une maison, au niveau de la drève du château.
  • L'Aérodrome de Lille - Marcq-en-Barœul, un aérodrome de loisirs.

Toponymie d'origine chrétienne

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Au fil du temps, le christianisme a laissé son empreinte dans la toponymie de Bondues

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'or au franc-canton de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Louis Dervaux, Bondues : histoire de cette commune depuis son origine jusqu'à nos jours, Lille, L. Lefort, 1854 [lire en ligne sur NordNum]

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Lille (partie française) comprend une ville-centre et 59 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. L'école de musique de la ville porte le nom de ce maire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Bondues » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bondues ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bondues » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bondues - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Bondues - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Nord » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. « PLAN BONDUES - Plan, carte et relief de Bondues 59910 », sur cartesfrance.fr (consulté le ).
  2. Sandre, « la Becque de marcq »
  3. Sandre, « la Becque de prés bévin »
  4. « Fiche communale de Bondues », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  5. « SAGE Marque Deûle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  8. « Orthodromie entre Bondues et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  10. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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  18. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
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  20. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
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  22. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.315-316 (lire en ligne).
  23. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 258, lire en ligne.
  24. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.299 (lire en ligne).
  25. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.287-288 (lire en ligne).
  26. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 109, lire en ligne.
  27. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.289 (lire en ligne).
  28. Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 562-564.
  29. Cent ans de vie dans la région, tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 51.
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  34. « Bondues : derrière Patrick Delebarre, une liste fortement renouvelée et la volonté de passer le témoin », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Résultats par commune - Nord (59) - Bondues », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  36. « Les maires de Bondues », sur francegenweb.org (consulté le ).
  37. Louis Dervaux, Bondues. Histoire de cette commune depuis son origine jusqu'à nos jours, L. Lefort, 1854, 224 p. [1]
  38. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  39. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ).
  40. Fiche généalogique Albert Joseph du BOSQUIEL, sur Geneanet
  41. Claude Pennetier, « MULIEZ Charles », Le Maitron en ligne, .
  42. « Sur les traces des anciens maires : Paul Roussel à Bondues : Dans quelques semaines, nous allons voter pour élire de nouveaux maires qui pensent peut-être déjà à la trace qu'ils laisseront dans leur commune. En attendant, pourquoi ne pas regarder dans le rétroviseur et voir celle que leurs prédécesseurs ont laissée. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. André Caudron, « ROUSSEL Paul, Léon, Victor : Né le 8 février 1914 à Merville (Nord), mort le 27 avril 2002 à Estaimpuis (Hainaut belge) ; agriculteur ; animateur de la JAC (Jeunesse agricole catholique), président diocésain du MFR (Mouvement familial rural), président de la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles (1959) et de la Chambre d'agriculture du Nord (1970), membre du Comité économique et social régional (1974), maire de Bondues (Nord, 1958-1988). », Le Maitron en ligne, 21 mars 2015 mis à jour le 26 septembre 2016 (consulté le ).
  44. « Le maire de Bondues Patrick Delebarre soutenu par En Marche… sans le savoir : La commission d'investiture du parti présidentiel a divulgué ce mardi une liste de candidats qu'elle soutenait officiellement pour les prochaines municipales. À la tête d'une liste « apolitique », le maire de Bondues Patrick Delebarre1/10/2019 en fait partie. Mais il n'était pas au courant », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. « Répertoire national des maires » [csv], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
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  47. Site de l'école Les Obeaux
  48. Site de l'Institution de La Croix Blanche
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  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bondues (59090) », (consulté le ).
  54. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  55. Site de l'église Betsaleel
  56. Notice no PA00107380, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. Notice no IA59001645, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.