Afrobeats
L'afrobeats, également connu sous les noms d'afro-pop et d'afro-fusion[1],[2] est un terme générique décrivant la musique pop contemporaine faite en Afrique de l'Ouest et par sa diaspora[3],[4],[5],[6] qui s'est initialement développée au Nigeria, au Ghana et au Royaume-Uni dans les années 2000 et 2010[7],[8]. L'afrobeats est plus un terme décrivant la fusion des sons provenant du Ghana et du Nigeria qu'un style en soi. Des genres tels que la hiplife, le jùjú, la highlife et le naija beats, entre autres, sont souvent regroupés sous le terme parapluie « afrobeats »[9],[10].
Origines stylistiques | Pop, musique africaine, musique populaire africaine, afrobeat, highlife, hiplife, hip-hop, dancehall, jùjú, Kpanlogo (en), house, Ndombolo, palm-wine, soca, R'n'B, Amapiano, Kuduro |
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Origines culturelles | Années 2000 et 2010 ; Nigeria, Ghana, Royaume-Uni |
Voir aussi | Highlife, jùjú, Hiplife |
Sous-genres
Azonto, banku, pon pon
Genres dérivés
Afroswing, bakosó, afro trap, afro-soca, alté (en)
Genres associés
Gqom, bongo flava, hip-hop africain, hip-hop ghanéen, UK funky, zouk
L'afrobeats est principalement produit à Lagos, à Accra et à Londres[11].
Notes et références
modifier- (en-GB) D. J. Edu, « How Nigeria's Afrobeats are redefining the sound of Africa », The Guardian, (ISSN 0261-3077, lire en ligne [archive du ], consulté le )
- (en-GB) Michael Hann, « Lagos calling: Tony Allen opens up Nigeria's music scene », The Guardian, (ISSN 0261-3077, lire en ligne [archive du ], consulté le )
- (en) Khan et writer, « A Conversation with the Queen of Afrobeats: Tiwa Savage », HuffPost, (consulté le )
- (en) « Pop Music's Nigerian Future » [archive du ], The FADER (consulté le )
- (en) Adu-Gilmore, « Studio Improv as Compositional Process Through Case Studies of Ghanaian Hiplife and Afrobeats », Critical Studies in Improvisation / Études critiques en improvisation, vol. 10, no 2, (ISSN 1712-0624, DOI 10.21083/csieci.v10i2.3555)
- (en) « Afropop Worldwide | Jesse Shipley, Part 1: Pan Africanism and Hiplife » [archive du ], Afropop Worldwide (consulté le )
- (en) Scher et ContributorWriter, « Afrobeat(s): The Difference a Letter Makes » [archive du ], HuffPost, (consulté le )
- (en) Phillips, « WizKid Affiliate Mr Eazi's Journey From Tech Startup to Afrobeats Stardom » [archive du ], DJBooth (consulté le )
- (en) « The Evolution of Afropop » [archive du ], Red Bull (consulté le )
- « Sound Culture Fest's Afro-Caribbean Rhythm Mission: 'This Goes Deep Into Roots' » [archive du ], www.villagevoice.com (consulté le )
- (en-GB) Dan Hancox, « The rise of Afrobeats », The Guardian, (ISSN 0261-3077, lire en ligne [archive du ], consulté le )