Équirre

commune française du département du Pas-de-Calais

Équirre est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Équirrois.

Équirre
Équirre
L'église.
Blason de Équirre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Marcel Prin
2020-2026
Code postal 62134
Code commune 62301
Démographie
Gentilé Équirrois
Population
municipale
82 hab. (2021 en évolution de +22,39 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 24″ nord, 2° 14′ 15″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 155 m
Superficie 4,19 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Équirre
Géolocalisation sur la carte : France
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Équirre
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Équirre
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Équirre

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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La commune se situe à 15 km au nord-ouest de la commune de Saint-Pol-sur-Ternoise.

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes d’Équirre
Lisbourg Prédefin
Crépy   Heuchin
Teneur Bergueneuse

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 4,19 km2 ; son altitude varie de 79 à 155 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par le fossé d'Équirre, cours d'eau naturel non navigable de 4,09 km, qui prend sa source à Crépy et se jette dans le Faux au niveau de la commune de Bergueneuse[3]. Le fossé d'Équirre a trois petits affluents, portant le même nom, qui drainent le territoire de la commune :

  • l'Équirre, d'une longueur de 1,75 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le fossé d'Équirre au niveau de la commune[4] ;
  • l'Équirre, d'une longueur de 1,4 km, qui prend sa source dans la commune de Lisbourg et se jette dans le fossé d'Équirre au niveau de la commune[5] ;
  • l'Équirre, d'une longueur de 1,06 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le fossé d'Équirre au niveau de la commune[6].
 
Réseau hydrographique d'Équirre[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 821 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Paysages

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La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[13].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 à 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[14].

Milieux naturels et biodiversité

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Espèces faunistiques et floristiques

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Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 234 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 7 protégées et 2 taxons (espèces et sous-espèces) menacées et quasi-menacées[15].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Équirre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,4 %), forêts (14,6 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par la route départementale D 71[21].

Transport ferroviaire

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La commune se trouve à 15 km, au nord-ouest, de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise, située sur les lignes de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples et d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise, desservie par des trains TER Hauts-de-France[22].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Scire en 1051 ; Escuræ en 1126 ; Scures au XIIe siècle ; Scires en 1224 ; Schires en 1226 ; Eschires en 1227 ; Eschieres en 1227 ; Eskieres en 1252 ; Skieres en 1252 ; Eskires en 1257 ; Esquire-lès-Heuchin en 1418 ; Esquires en 1515 ; Escoüires en 1720 ; Esquire-lez-Berguine Heuse en 1739[23], Equire en 1793 ; Equire et Équirre depuis 1801[1].

Du germanique skirjon « la claire », dérivé de skiru- « clair , blancheâtre », ayant dû désigner d'abord le ruisselet qui prend sa source à Equirre[24].

Histoire

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Équirre était avant la Révolution française le siège d'une seigneurie[25].

Le , est rendu une sentence de noblesse pour Jean de Verloing, licencié-es-lois, seigneur d'Esquires (Équirre) et de Pressy, originaire de Saint-Pol, demeurant à Arras. Il a pour armes « De sinople à la bande d'argent »[25]. Il est probablement le fils de Jean de Verloing, seigneur d'Équirre, mort le 21 juillet 1589 et dont une plaque commémorative, classée monument historique, située dans l'église d'Équirre conserve la mémoire[26].

Par lettres d'octobre 1712, les terres d'Esquire, Crépy et la Rachie sont érigées en marquisat en faveur de Joseph de Partz de Pressy, député[27].

Pendant la Première Guerre mondiale, la commune située en arrière du front de l'Artois a parfois accueilli des troupes françaises retirées du front pour leur permettre de récupérer, comme par exemple en octobre 1915[28].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1926, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[1].

Commune et intercommunalités

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La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [29] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[30]. À l'initiative des intercommunalités concernées[31], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[32] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [33],[34].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [35].

Circonscriptions administratives

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La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 ? Jules Lenoir    
1995 2020 Philippe Lenoir DVD Réélu pour le mandat 2014-2020[36],[37],[38]
26 mai 2020 En cours
(au 16 février 2022)
Marcel Prin   Ancien agriculteur exploitant[39],[40]

Équipements et services publics

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Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[41].

Population et société

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Démographie

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Les habitants sont appelés les Équirrois[42].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[44].

En 2021, la commune comptait 82 habitants[Note 3], en évolution de +22,39 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
170168141155125165184206221
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
227211179196189192190197187
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
177178144160145128126148136
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
146124100817771595563
2018 2021 - - - - - - -
8082-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 45,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 45 hommes pour 35 femmes, soit un taux de 56,25 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,2 
90 ou +
0,0 
11,1 
75-89 ans
11,4 
31,1 
60-74 ans
34,3 
13,3 
45-59 ans
17,1 
13,3 
30-44 ans
14,3 
11,1 
15-29 ans
8,6 
17,8 
0-14 ans
14,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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La commune dans les arts

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  • 1950 : Journal d'un curé de campagne, film de Robert Bresson. Des scènes sont tournées à l'église du village, à l'école (devenue le presbytère) ainsi qu'au château (figurant la demeure du comte et faisant fonction par ailleurs de studio improvisé)[50].

Héraldique

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  Blason
D'argent au léopard de sinople, armé et lampassé de gueules sur une terrasse de sinople[51].
Détails
Armes de la famille De Partz de Pressy

Adopté par la municipalité en 1994.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé d'Équirre (E5400630) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Équirre (E5401370) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Équirre (E5401380) » (consulté le )
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Équirre (E5401340) » (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Équirre et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. « Distance entre la commune et la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  23. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 730.
  25. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 20, lire en ligne.
  26. « Plaque commémorative », sur Ministère de la culture- Monuments historiques Notice Palissy.
  27. Amédée Le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, Imprimerie Louis Dechristé, , 458 p. (lire en ligne), p. 386.
  28. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  29. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  30. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  31. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  32. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  33. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  34. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  35. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  36. Aline Chartrel, « Une mairie flambant neuve à Équirre, et après ? « On s’adapte en fonction des recettes » : Élu conseiller municipal en 1989, Philippe Lenoir a vite fait, dès le mandat suivant, d’enfiler l’écharpe de maire. Après trois mandats et un exercice concentré sur l’aménagement d’une nouvelle mairie, le premier magistrat annonce la couleur pour mars 2014 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  38. Charles Demey, « Équirre : « Un kilomètre de voiries à refaire après les inondations » : Équirre n’a pas été épargnée par les inondations qui ont touché de nombreuses communes du Ternois. Philippe Lenoir, maire de la commune de 63 habitants, a prévu des travaux pour réparer les dommages », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  40. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  41. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  42. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Équirre (62301) », (consulté le ).
  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  48. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  49. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du Ministère de la culture (consulté le ).
  50. « Films tournés à Équirre », sur L2TC.com - Lieux de Tournage Cinématographique (consulté le ).
  51. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).