« Point de compression » : différence entre les versions

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[[Fichier:Arterial pressure points.png|vignette|Emplacement des points de compression artériels.]]
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Les '''points de compression''' sont des techniques d'[[Hémorragie#Traitement des h.C3.A9morragies|arrêt]] des [[hémorragie]]s (saignements abondants) à distance. Ils consistent à comprimer l'[[artère]] amenant le [[sang]] à la blessure ou la zone atteinte, contre un [[os]], arrêtant ainsi le flux sanguin et donc (théoriquement) le saignement. L'utilisation de ces techniques n'est plus enseignée<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |prénom=Croix-Rouge |nom=francaise |titre=Le saignement |url=https://www.croix-rouge.fr/Je-me-forme/Particuliers/Les-6-gestes-de-base/Le-saignement |site=Croix-Rouge française |consulté le=2022-05-12}}.</ref> : en effet, la compression d'une artère principale prend le risque de priver d'apport sanguin toute la partie en aval de la zone comprimée, et pas seulement le vaisseau qui saigne, pouvant créer une paralysie du membre (par écrasement du nerf<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Info |nom=santé |titre=Compression nerveuse et troubles liés à la compression · Info santé |url=https://www.infosante.be/guides/compression-nerveuse-et-troubles-lies-a-la-compression |site=infosante.be |consulté le=2022-05-12}}.</ref>), une [[nécrose]] (par privation d'apport sanguin) ou de fortes douleurs (par surpression sanguine), de la même façon qu'un [[garrot]] artériel. De plus, leur efficacité est remise en question par une étude<ref>{{Article|prénom1=Kenneth G.|nom1=Swan|prénom2=Deborah S.|nom2=Wright|prénom3=Stephanie S.|nom3=Barbagiovanni|prénom4=Betsy C.|nom4=Swan|titre=Tourniquets revisited|périodique=The Journal of Trauma|volume=66|numéro=3|date=2009-03|issn=1529-8809|pmid=19276736|doi=10.1097/TA.0b013e3181986959|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19276736/|consulté le=2022-05-12|pages=672–675}}</ref>, qui montre que l'arrêt du flux sanguin n'est pas durable malgré une pression constante (environ 20 secondes d'efficacité seulement), ce qui n'en fait qu'un moyen d'attente avant l'utilisation d'une technique plus durable ; il nécessite de surcroit un apprentissage pour le réaliser correctement<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Moyens d’hémostase en préhospitalier {{!}} La Mine |url=https://la-mine.net/2015/04/05/moyens-dhemostase-en-prehospitalier/ |consulté le=2022-05-12}}.</ref>.
Les '''points de compression''' sont des techniques d'[[H%C3%A9morragie#Traitement_des_h.C3.A9morragies|arrêt]] des [[hémorragie]]s (saignements abondants) à distance. Ils consistent à comprimer l'[[artère]] amenant le [[sang]] à la blessure contre un [[os]].
 
LeurIls utilisationont estde controversée.fait Enété effet,quasiment ilabandonnés s'agitau d'une compressionprofit d'uneautres artère principaletechniques, or,telles généralement,que c'estla unecompression artèremanuelle oudirecte<ref unename=":0">{{Lien veineweb périphérique|langue=fr-FR qui|prénom=Croix-Rouge est|nom=francaise touchée,|titre=Les ontutos «Croix-Rouge assèchefrançaise »: doncHemorragie toute|url=https://www.croix-rouge.fr/Actualite/L-Ete-qui-sauve/Les-tutos-Croix-Rouge-francaise-Hemorragie la partie sous|site=Croix-jacenteRouge sansfrançaise arrêter|consulté le=2022-05-12|brisé saignement (le membre= se vide)2023-11-30}}. D'autre part</ref>, les artères principales sont associées à deuxle [[veinepansement compressif]]s collectricesou dans l'[[aponévrose]]Coussin ;hémostatique si ld'on comprime l'artère, on comprime également les veines, on empêche donc le [[circulation sanguineurgence|retour veineuxhémostatique]], on augmente donc lale [[pression sanguinegarrot]] dans le membre, ce qui accélère la perte de sang (même si le volume compris dans le reste du corps reste constant). Ils ont de fait été quasiment abandonnés au profit d'autres techniquesetc. Par ailleurs, ces techniques ne sont pas des fins en soi, elle s'intègrent dans une démarche de [[premiers secours (médecine)|premiers secours]] : ce n'est pas le geste seul qui va sauver, mais toute la démarche de secours : la protection-, le bilan-, la réalisation de geste de premiers secours et l'alerte<ref>{{Lien web |langue=fr-alerteFR |prénom=Croix-Rouge |nom=francaise |titre=Les 4 étapes pour porter secours |url=https://www.croix-rouge.fr/Je-me-forme/Particuliers/Les-6-gestes-de-base/Les-4-etapes-pour-porter-secours |site=Croix-Rouge française |consulté le=2022-05-12}}.</ref>.
 
== Indications et formation par pays ==
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=== En France ===
 
En [[France]], les points de compression ne sont plus enseignés en [[Secourisme en France|secourisme]] depuis 2007 (réforme instituant le [[PSC1]] à la place de l'AFPS, et le PSE1/2 à la place de l'AFCPSAM et du CFAPSE<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |prénom=Ministère de |nom=l'Intérieur |titre=Les textes réglementaires |url=http://www.interieur.gouv.fr/Le-ministere/Securite-civile/Documentation-technique/Secourisme-et-associations/Les-textes-reglementaires |site=interieur.gouv.fr |consulté le=2022-05-12}}.</ref>). Les points de compression décrits plus bas étaient enseignés lors des anciennes [[Formation aux prompts secours#En France|formations de secourisme]], notamment le [[brevet national de secourisme]] (BNS), l'[[Formation de base aux premiers secours#Attestation de formation aux premiers secours (AFPS)|AFPS]] et le [[CFAPSE]]. Ils étaient recommandés lorsque l'appui manuel direct est impossible ou inefficace, par exemple :
En [[France]], les points de compression ne sont plus du tout utilisés en [[Secourisme en France|secourisme]].
 
Les points de compressions étaient recommandés lorsque l'appui manuel direct est impossible ou inefficace, par exemple :
* la blessure est trop grande pour être couverte par la main ;
* la blessure comporte un corps étranger, qu'on n'enlèvera sous aucun prétexte (on peut également placer appuyer avec une main en amont et une main en aval du saignement, à proximité du corps étranger, ce qui est moins problématique) ;
* on voit l'os brisé sortir de la blessure ([[fracture ouverte]]) ;
* la partie qui saigne est inaccessible (par exemple coincée sous un objet lourd) ;
* le sauveteur ne peut pas appuyer ni avec sa main gauche, ni avec sa main droite car il a une plaie ouverte à chaque main et ne peut pas se protéger (il n'a pas de sac plastique, pas de gant).
S'il n'était pas possible de maintenir le point de compression (par exemple si le sauveteur devait de libérer pour prévenir les secours ou s'occuper d'autres victimes) il devait alors poser un [[garrot]] pour relayer la compression. Les cours enseignaient donc à poser un garrot d'une seule main tout en maintenant le point de compression.
 
En France, alors que ce geste avait été retiré des référentiels grands publics, une personne qui intervient sur une hémorragie et ne peux pas faire de compression manuelle directe peut à nouveau réaliser un garrot<ref name=":0" />. Cette technique a été réenseignée au grand public à la suite des [[Attentats du 13 novembre 2015 en France|attentats du 13 novembre 2015]], afin de fournir une réponse adaptée à une situation à nombreuses victimes.
 
=== Aux États-Unis ===
En France, désormais, lorsqu'une compression directe n'est pas possible, une personne non entraînée doit appeler le [[SAMU]]. Un secouriste titulaire du [[PSE1]] ou un personnel médical ou paramédical pourra, quant à lui, poser un [[garrot]].
 
En 1971, les points de compression étaient enseignés aux intervenants paramédicaux extrahospitaliers et figuraient dans le guide des soins d'urgence publiés par l'Académie des chirurgiens orthopédiques<ref> American Academy of Orthopedic Surgeons : {{Ouvrage
Les points de compression ci-dessous étaient enseignés lors des anciennes [[Formation_aux_prompts_secours#En_France|formations de secourisme]], notamment le [[brevet national de secourisme]] (BNS), l'[[AFPS#Attestation de formation aux premiers secours (AFPS)|AFPS]] et le [[CFAPSE]]. Le programme des formations actuelles ne comprend aucun point de compression.
| langue=en
| prénom1=A.N.
| nom1=Pollack
| responsabilité1=éditeur
| et al.=oui
| titre=Emergency care and transportation of the sick and injured
| éditeur=Jones & Bartlett Learning - lieu = Burlington, Mass
| année=1971
| isbn=
}}</ref> et ils étaient encore enseignés en 1976<ref>{{lien web
| url = http://www.jems.com/articles/2013/11/point-care-hemorrhage-control.html
| titre = Point-of-Care Hemorrhage Control: Is it time to re-examine the cardinal steps to controlling bleeding?
| auteur = Edward T. Dickinson
| date = 2013-11-07 | consulté le = 2017-01-10
| site = Journal of emergency medical services
}}.</ref>. Ils ne figurent pas dans les recommandations de 2010 de l'association américaine de cardiologie et de la Croix-Rouge américaine car d'autres méthodes sont plus efficaces<ref>{{article
| nom1 = Markenson | prénom1 = D.
| nom2 = Ferguson | prénom2 = J.D.
| nom3 = Chameides | prénom3 = L.
| et al. = oui
| langue = en
| titre = Part 17: First aid: 2010 American Heart Association and American Red Cross guidelines for first aid
| périodique = Circulation
| année = 2010 | volume = 122 | numéro = 18 suppl. 3
| pages = S934–S946
| lire en ligne = http://circ.ahajournals.org/content/122/18_suppl_3/S934
}}</ref>. Ils figurent toutefois sur certains sites à destination des infirmiers<ref>{{lien web
| url = http://www.nursingdegrees.com/fa-pp.htm
| langue = en
| titre = Pressure Points To Control Bleeding
| site = NurgingDegree.com
| consulté le = 2017-01-10
}} ; le site est la propriété de QuinStreet, Inc., une entreprise spécialisée dans le marketing</ref> ainsi que dans les manuels d'instruction militaires pour les ''Hospital Corpsmen''<ref>{{chapitre
| titre chapitre = Pressure Points
| titre ouvrage = Hospital Corpsman Revised Edition
| éditeur = US Navy | lien éditeur = United States Navy
| lire en ligne = http://www.tpub.com/corpsman/144.htm
}}</ref>.
 
== Hémorragie au cou ==
 
[[Image:afps ptcpr carotid.png|thumbvignette|leftgauche|point de compression carotidien]]
 
Le seul geste efficace face à une hémorragie au cou est le '''point de compression [[carotidien]]''', '''à la base du cou'''. Il consistait à pincer l'[[Artère carotide commune|artère carotide]] contre la [[colonne vertébrale]]. Pour cela, on se plaçaitplace du côté de la blessure, pour glisser la main sous la nuque, le pouce contre l'épaule ; puis on venaitvient chercher le creux du cou, pour appuyer avec le pouce en direction de la colonne vertébrale.
 
Vous pouvez vous entraîner à trouver le creux du cou sur vous-même. Pour cela, mettez vos doigts sur le devant du cou (sous le menton), au milieu ; vous sentez sous vos doigt le « tuyau » qui amène l'air aux poumons, (le [[larynx]], la [[pomme d'Adam]], et en bas la [[trachée]]). Faites glisser vos doigts sur le côté, vous allez sentir un creux, entre le larynx et le muscle du cou, c'est à cet endroit qu'il faut appuyer.
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== Hémorragie au membre supérieur ==
 
[[Image:afps ptcpr humer.png|thumbvignette|point de compression huméral]]
 
[[Image:cfapse ptcpr sousclavier.png|thumbvignette|point de compression sous-clavier]]
 
[[Image:cfapse ptcpr axillaire.png|thumbvignette|point de compression axillaire]]
 
Lorsque la blessure se situe sur le membre supérieur (bras, avant-bras, main), il existe trois points de compression pour arrêter le saignement à distance.
 
Le premier est le '''point de compression huméral''', il consiste à appuyer '''sur la face interne du bras''' (entre la blessure et l'épaule, au-dessus du coude). On comprime l'artère humérale contre l'[[humérus]] (os du bras) avec le pouce ; pour cela, on place la main sous le bras de la victime (victime allongée) paume vers le haut, on met le pouce entre les muscles du dessus ([[Muscle biceps brachial|biceps]]) et du dessous ([[Muscle triceps brachial|triceps]]) du bras, et on tourne la main pour appuyer le pouce.
 
La seconde technique est le '''point de compression sous-clavier''', '''dans le creux de la salière'''. Il est peu utilisé car le point de compression huméral est beaucoup plus simple.
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Cette position permet de bien appuyer dans la bonne direction et elle est suffisamment confortable pour être tenue plusieurs dizaines de minutes.
 
La paume de la main la plus proche de la victime se place sous l'omoplate de la victime (l'autre main, la plus proche de la blessure, estreste ainsi libre pour pouvoir faire un garrot si nécessaire).
Le pouce longe le cou, passe par-dessus l'épaule et s'enfonce en passant sous la clavicule, dans le creux de la salière, en appuyant en direction des pieds —&nbsp;on comprime ainsi l'artère sous-clavière contre la première côte, à l'endroit où l'artère sort de la [[cage thoracique]].
Le coude du bras effectuant le point de compression s'appuie sur la cuisse, c'est donc la poussée de la cuisse qui réalise la compression, les muscles du bras se reposent.
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== Hémorragie au membre inférieur ==
 
[[Image:afps ptcpr femor.png|thumbvignette|point de compression fémoral]]
 
[[Image:cfapse ptcpr poplite.png|thumbvignette|upright=0.7|point de compression poplité]]
 
Lorsque la blessure se situe sur le membre inférieur (cuisse, jambe, pied), on dispose de deux points de compression.
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Le premier est le '''point de compression fémoral''', '''dans le pli de l'aine'''. On comprime l'artère fémorale contre le [[fémur]] (os de la cuisse) ou le bassin, en appuyant le poing fermé, bras tendu, au milieu du pli de l'aine (pli de flexion de la cuisse).
 
Il existe un deuxième point de compression consistant à appuyer sur la '''face interne de la cuisse''', entre la blessure et l'aine. Il consiste à comprimer l'artère fémorale contre le fémur. Il n'est actuellement pas enseigné en France.
 
Si la blessure se situe à la jambe ou au pied, on peut également effectuer un '''point de compression dans le creux poplité'''. Il consiste à empaumer le genou par derrière et à enfoncer les deux pouces dans le creux poplité, en direction de la rotule. Ainsi, on comprime l'artère contre le genou. Il est peu pratique du fait de la position, mise à part pour une victime à plat-ventre ou sur le côté. Il n'est pas enseigné en France actuellement.
 
== Évolution ==
 
En 2016, l'entreprise North American Rescue a créé un dispositif, le JETT ({{lang-en|''junctional emergency treatment tool''}})<ref>{{lien web | url = https://www.narescue.com/junctional-emergency-treatment-tool-jett | titre = JETT, junctional emergency treatment tool | site = NARescue | consulté le = 2016-09-09}}.</ref>{{,}}<ref>{{youtube|HVY0_y5AE7Q|Jett™ Junctional Emergency Treatment Tool Overview/Instructions for Use|en}}</ref> permettant d'effectuer un point de compression fémoral. L'objectif est de pouvoir stopper une hémorragie lorsque la blessure est située sur la cuisse, mais plus haut que le [[Liste des muscles du corps humain#Plancher pelvien .2813.29|plancher pelvien]] ; il n'est alors pas possible de poser un [[garrot]]. L'efficacité de ce dispositif a été évaluée sur un cadavre perfusé et montre qu'il arrête efficacement la circulation dans le membre inférieur sans perturber la circulation aortique<ref>{{article
| présentation en ligne = https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=24604437
| nom1 = Gates | prénom1 = K.S.
| nom2 = Baer | prénom2 = L.
| nom3 = Holcomb | prénom3 = J.B.
| langue = en
| titre = Prehospital emergency care: evaluation of the junctional emergency tourniquet tool with a perfused cadaver model
| périodique = J Spec Oper Med
| date = printemps 2014 | volume = 14 | numéro = 1
| pmid = 24604437
}}</ref>. La mise en œuvre a également été évaluée sur des personnes saines, sur la base de l'absence de [[pouls]] pédieux, et le dispositif est jugé plus simple et plus rapide à mettre en œuvre qu'un garrot tactique standard<ref>{{article
| présentation en ligne = https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27045493
| nom1 = Theodoridis | prénom1 = C.A.
| nom2 = Kafka | prénom2 = K.E.
| nom3 = Perez | prénom3 = A.M.
| nom4 = Curlee | prénom4 = J.B.
| nom5 = Yperman | prénom5 = P.C.
| nom6 = Oppermann | prénom6 = N.
| nom7 = Holmstroem | prénom7 = E.
| nom8 = Niegsch | prénom8 = D.D.
| nom9 = Mannino | prénom9 = A.
| nom10 = Ramundo | prénom10 = N.
| langue = en
| titre = Evaluation and Testing of Junctional Tourniquets by Special Operation Forces Personnel: A Comparison of the Combat Ready Clamp and the Junctional Emergency Treatment Tool
| périodique = J Spec Oper Med
| date = printemps 2016 | volume = 16 | numéro = 1
| pmid = 27045493
}}</ref>.
 
== Notes et références ==
{{références}}
 
== Voir aussi ==
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=== Bibliographie ===
 
* [http://www.cfrc.fr/documents/gnrfps.pdf Formation aux Premiers Secours - MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR - page 38, 39 et 40 (PDF)]
* page 39 et suiv. du ''Guide national de référence - Formation aux premiers secours'' (GNRFPS), Direction de la défense et de la sécurité civiles, Bureau de la formation et des associations de sécurité civile, éd. ministère de l'Intérieur (France), 2001, téléchargeable sur le site du [http://www.interieur.gouv.fr/rubriques/c/c5_defense_secu_civil/c57_dosiers_et_documents/index_html/formsec ministère de l'Intérieur] (PDF, 211 pages, 1,3&nbsp;Mo)
 
=== Liens internes ===
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{{Palette Premiers secours et secourisme}}
{{Portail |premiers secours}}
 
[[Catégorie:Traitement des hémorragies]]
[[Catégorie:Premiers secours]]
 
[[en:Emergency bleeding control#Pressure points]]