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Historique : Explication de sa disparition
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Une nouvelle équipe prend progressivement la direction de la rédaction et, en 1929, ''Le Journal'' rachète le quotidien ''L’Écho des sports''. En complément des feuilletons, comme ceux de [[Maurice Leblanc]] et de [[Gaston Leroux]], ses pages publient des textes d'écrivains célèbres, comme [[Blaise Cendrars]] ou [[Colette]], qui y tient une rubrique hebdomadaire jusqu’en 1938. [[Géo London]], grand reporter, est, durant cette période, le chroniqueur judiciaire.
 
La ligne politique du journal reste ancrée à droite. Dans les [[années 1930]], il s'affirme anticommuniste et préconise une alliance avec l’[[Italie fasciste]]. Quand éclate la [[Seconde Guerre mondiale]], ''Le Journal'' s'exile d'abord à [[Limoges]], puis à [[Marseille]], et enfin à [[Lyon]]. Il {{pourquoi|est suspendu en 1944 avant de cesser définitivement sa parution la même année}}. Il est supprimé, ainsi que tous les autres journaux ayant légalement continué à paraître sous l'Occupation, excepté ''[[Le Figaro]]''. Une partie de ses archives sont alors attribuées au quotidien ''[[L'Aurore (journal 1944)|L’Aurore]]''.
 
== Sources ==
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Journal ».