« Bataille du Chemin des Dames » : différence entre les versions
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|combattants2 = {{Empire allemand}}
|commandant1 = [[Robert Nivelle]]
|commandant2
|forces1 = 61 divisions d'infanterie <br /> 7 divisions de cavalerie <br /> {{unité|850000|hommes}}
|forces2 = 41 divisions <br />{{nombre|682650|hommes}}
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|géolocalisation = France/Nord-Pas-de-Calais-Picardie/Aisne
}}
La '''bataille du [[Chemin des Dames]]''', aussi appelée '''seconde bataille de l'[[Aisne (département)|Aisne]]''' ou '''« offensive Nivelle »''' a lieu pendant la [[Première Guerre mondiale]]. Elle commence le {{nobr|16 [[avril 1917 (guerre mondiale)|avril 1917]]}} à {{heure|6}} du matin par la tentative [[France|française]] de rupture du front allemand entre [[Soissons]] et [[Reims]] vers [[Laon]], sous les ordres du général [[Robert Nivelle|Nivelle]] : {{cita|L'heure est venue, confiance, courage et vive la France !}}. La bataille se prolonge jusqu'au {{nobr|24 [[octobre 1917 (guerre mondiale)|octobre 1917]]}} avec des résultats stratégiques discutés et de très lourdes pertes humaines dans les deux camps.
== La situation militaire en avril 1917 ==
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=== Les tactiques ===
==== L'artillerie ====
Le rôle de l'[[artillerie]] est primordial : un bombardement massif et
Une fois l'offensive lancée,
==== L'infanterie ====
L'[[infanterie]] est chargée de s'engouffrer dans les brèches faites par l'artillerie, de nettoyer les premières lignes et prendre les lignes plus en arrière. L'objectif est d'atteindre le sud de [[Laon]] avant le soir. {{unité|180000|hommes}} sont massés au pied des premières lignes allemandes, prêts à s'élancer. Les troupes de seconde ligne doivent dépasser rapidement ces hommes pour bousculer les défenses ennemies et emporter la victoire. En fait, elles se contenteront de les seconder.
Les fantassins doivent attaquer en ''tenue d'assaut''. Le règlement d'infanterie de {{date-|janvier 1917}}, précise qu'il s'agit de porter, en sautoir, la couverture roulée dans la toile de tente ; un outil individuel, la musette de vivres, la musette à grenades (en théorie, cinq grenades dont deux [[Viven-Bessières (arme) |VB]], mais on ira jusqu'à distribuer {{nobr|16 grenades}} par homme), un bidon d'eau de deux litres et un bidon supplémentaire d'un litre, le masque à gaz (deux si possible), des sacs à terre<!--
Mais certaines unités attaqueront avec tout leur barda sur le dos. Ce sera le cas, par exemple, des troupes du {{20e|corps}}. En plus, ils ont des vivres pour six jours<ref>Labayle, {{p.|39}}. Ce ne sont pas des rations, comme celles popularisées durant la
==== Les chars ====
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=== Dans la culture ===
La bataille est l'inspiration du spectacle chorégraphique de 2016 « Noir de boue et d’obus » de [[Chantal Loïal]], qui a été joué notamment en France et au Sénégal<ref>{{lien web|url=http://sortir.telerama.fr/evenements/spectacles/compagnie-dife-kako-noir-de-boue-et-d-obus,143079.php|titre=Compagnie Difé Kako - Noir de boue et d'obus|éditeur=telerama.fr|auteur=Rosita Boisseau|consulté le=29 avril 2017}}.</ref>{{,}}<ref>{{lien web |langue=fr |titre=Compagnie Difé Kako : Noir de boue et d'obus |url=
=== Célébrations du centenaire ===
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* [[Félix Baudy]]
* [[Caverne du Dragon]]
* [[Corps expéditionnaire russe en France]]
=== Liens externes ===
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[[Catégorie:Histoire de la Picardie]]
[[Catégorie:Picardie (1914-1918)]]
[[Catégorie:Craonne]]
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