La France d'hier et d'aujourd'hui: Au pays des Bisounours

Sommaire

AVANT-PROPOS

1.0. ÉTAT DES LIEUX

1.1. LA FRANCE QUI RÊVE

2.0. PRINCIPALES PRÉOCCUPATIONS

3.0. SÉCURITÉ

3.1. INSÉCURITÉ CROISSANTE

3.2. LA FAUTE AUX GOUVERNEMENTS

4.0. RÉVEILLONS-NOUS !

5.0. IMMIGRATION

6.0. MAIN D’ŒUVRE ÉTRANGÈRE

7.0. INTÉGRATION DES ÉTRANGERS

8.0. PRODUCTION ET BALANCE

9.0. LES COUACS EN POLITIQUE

9.1. LES COUACS EN POLITIQUE INTÉRIEURE

10.0. MODE DE VIE - FAMILLE

11.0. LA JUSTICE

12.0. L’ENSEIGNEMENT

13.0. EMPLOI – FORMATION CHÔMAGE

14.0. RECHERCHE ET TECHNOLOGIE

15.0. ONU CONFLITS INTERNATIONAUX

15.1. HYPOCRISIE OCCIDENTALE

16.0. NÉGLIGENCE

16.1. CONFLIT ÏSRAËL HAMAS

16.2. DES ÉLUS INCONSCIENTS OU RÊVEURS ?

17.0. POUR AVOIR LA PAIX PRÉPARE LA GUERRE

17.1. EXPANSIONISME RUSSE

17.2. LA CRAINTE DES PAYS EXPENSIONNISTES

18.0. ÉTAT DE NOS ARMÉES

19.0. RÊVONS UN PEU !

20.0. ÉFFETS DE COMMUNICATION

20.1. UNE POLITIQUE DE CLANS

21.0. DERNIER

Les rêves d'enfants des politiques

ont coûté cher à la France !

AVANT-PROPOS

Dans le respect de ses devoirs civiques, l'auteur a toujours accompli son droit de vote, sans jamais ressentir le besoin de s'affilier à un quelconque parti politique.

Au cours des quinze dernières années, l'image de la France s'est dégradée de manière significative, ce qui a poussé votre obligé à rédiger cet ouvrage.

Les gouvernements incapables de prendre des décisions profitables, gèrent la destinée de la France à hue et à dia en prenant des mesurettes censées plaire à tout le monde.

Les syndicats à la française n'ont jamais suscité l'intérêt de l'auteur, qui leur préfère les syndicats de type allemand, moins sectaire et plus performant. Il est préférable de s'engager dans de longues négociations plutôt que de conclure des accords obtenus aux forceps, qui engendrent plus de pertes que de bénéfices.

Ce livre met en avant les échecs enregistrés ces dernières décennies et le manque de crédibilité de la parole de la France à l'échelle internationale. Une France qui sait retourner sa veste avec habileté et qui se laisse aller à l'autosatisfaction.

La France d’aujourd’hui, un saut dans l’inconnu !

Du même auteur :

Les tribulations d’un enfant de personne.

Une bonne volonté tardive

1.0. ÉTAT DES LIEUX

Que devons-nous regretter des années 1950 et 1960 à aujourd’hui ?

Il n’est pas rare d’entendre, de la bouche des anciens, dont votre obligé fait partie : « c’était mieux avant ! ».

Certes, les anciens ont quelques raisons de regretter ces années, dans de rares domaines, cependant je ne voudrais pas refaire le chemin en arrière, tant nos conditions de travail et notre qualité de vie en général, ont évolué avec bonheur au cours de ces décennies, en apportant du bien-être dans notre vie de tous les jours. Bien sûr, quelle que soit notre situation ou nos conditions de vie, nous pouvons toujours trouver une bonne raison pour nous plaindre et pleurer après, ce dont nous n’avons pas réellement envie de voir revenir.

Néanmoins, le mode de vie de notre société contemporaine, telle qu’elle se présente aujourd’hui, a également quelques aspects négatifs.

Les sujets qui ont le plus d’impact dans notre mode de vie sont abordés par catégorie. Certains d’entre eux peuvent ressortir dans plusieurs de ces catégories selon l’importance qu’elles représentent.

Le temps de travail. Bien que la durée du temps de travail ait sensiblement diminué, les Français semblent être de moins en moins attirés par le travail, ou par leur travail.

Aujourd’hui les gens trouvent qu’ils n’ont plus assez de temps pour profiter de leur famille, alors que le temps de travail a considérablement diminué en cinquante ans ?

En 1964, la durée hebdomadaire moyenne du travail était de 54 heures, samedi compris, contre 42 heures en 1970. Cette diminution est due à plusieurs facteurs, notamment l'augmentation des congés payés, la réduction du temps de travail hebdomadaire et la généralisation du temps partiel.

Cependant, le temps de travail n'est pas le seul facteur qui influence la disponibilité des personnes pour leur famille. D'autres facteurs, tels que la charge mentale, les obligations professionnelles et personnelles, et les modes de vie, peuvent également jouer un rôle non négligeable.

La charge mentale est le temps et l'énergie que l'on consacre à la planification, à la gestion et à la résolution des problèmes familiaux. Elle peut être importante, même si l'on ne travaille pas beaucoup. Par exemple, les parents d'enfants en bas âge peuvent être confrontés à une forte charge mentale liée à la prise en charge des enfants, à l'organisation des activités et à la gestion des conflits. Il faut tenir compte que les mères de famille étaient peu nombreuses à travailler, durant les années 1950 et 1960.

Les obligations professionnelles peuvent également limiter le temps que les gens peuvent consacrer à leur famille. Par exemple, les personnes qui ont des emplois exigeants ou qui doivent faire de nombreux déplacements professionnels peuvent avoir du mal à s'impliquer dans la vie de leur famille.

Les modes de vie modernes peuvent également rendre difficile la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale. Par exemple, les personnes qui vivent dans des grandes villes peuvent avoir des temps de trajet longs, ce qui leur laisse moins de temps à consacrer à leur famille après le travail.

En conclusion, il est possible que les gens trouvent qu'ils ont plus de temps à consacrer à leur famille, même si la durée du travail a diminué. La charge mentale, les obligations professionnelles et personnelles, et les modes de vie modernes peuvent également contribuer à réduire le temps disponible pour la famille.

Société de surconsommation. Peut-être avons-nous créé une société de consommation qui mériterait un peu plus de retenue. La surconsommation est un problème majeur dans notre mode de vie actuel. Nous avons tendance à acheter des choses dont nous n'avons pas vraiment besoin, et cela a un impact négatif sur l'environnement, sur l'économie et sur les budgets familiaux. Nous devons apprendre à consommer de manière plus responsable.

L’individualisme. Le manque d'intérêt porté à son voisinage est également un problème contemporain. Nous vivons dans des sociétés de plus en plus individualistes, et nous ne prenons pas le temps de connaître nos voisins. Cela peut conduire à une fragmentation de la société et à un sentiment d'isolement.

Nous devons trouver un équilibre entre les avantages du progrès et les risques qu'il comporte. Nous devons nous efforcer de créer une société plus juste, plus durable et plus solidaire.

Voici quelques idées pour améliorer notre société :

Encourager la consommation responsable et durable.

Promouvoir un retour à la connaissance du voisinage et du vivre ensemble, qui se sont perdus au cours des changements démographiques.

Investir dans les services publics et les infrastructures.

Soutenir les initiatives qui favorisent la solidarité et l'inclusion. Les restos du cœur en sont un très bel exemple.

Chacun de nous doit contribuer à créer un monde meilleur.

Le rôle de l’auteur ne consiste pas de s’exprimer à la place des Français. Cependant, aujourd’hui il lui est possible d’accéder et de traiter des informations de vie réelles, et de transmettre les résultats de sa recherche dans ses écrits. Ces résultats sont basés sur des enquêtes auprès de petits groupes de personnes qui ne représentent pas obligatoirement l'opinion de tous les Français. Cependant, ils peuvent fournir un aperçu des aspirations, que les gens peuvent regretter plus tard.

Selon une récente étude, les plus grands regrets exprimés par les personnes des années 1960,1970 et 1980 sont les suivantes :

Ne pas avoir passé assez de temps avec leurs proches.

Ne pas avoir pris plus de risques.

Ne pas avoir tenté de vivre leurs rêves.

Ne pas avoir été plus indépendant.

Ne pas avoir été plus reconnaissants pour ce qu'ils possédaient.

Si vous êtes tiraillé par des regrets et qu’il n’est pas trop tard, il est conseillé de prendre les mesures qui vous permettent de les réaliser. Il est également important de rappeler que le regret est une émotion normale et qu'il est humain de commettre des erreurs. Si comme tout un chacun, vous commettez une erreur, ce n’est pas grave, tirez-en la leçon et faites en sorte de ne pas la répéter.

Aujourd’hui, en comparaison des années 1960 et 1970 de nombreuses avancées technologiques sont très appréciées, parmi lesquelles :

La technologie. La technologie a révolutionné notre monde de bien des manières. Elle nous a rendu plus connecté, plus productif et mieux informé. Nous sommes plus enclins à utiliser la technologie pour améliorer notre vie de toutes les manières possibles.

L'environnement. Les gens d'aujourd'hui sont plus conscients de l'importance de protéger l'environnement. Mais ce réflexe n’est pas encore automatique, nous devons nous efforcer de réduire notre impact sur la planète et de vivre de manière plus durable.

Le bien-être. Nous sommes devenus plus conscients de l'importance du bien-être physique et mental. Nous nous efforçons de vivre une vie plus saine et plus équilibrée, en prenant soin de notre corps et de notre esprit.

L'authenticité. Bien que l’authenticité soit encore bien fébrile, nous sommes aussi plus enclins à nous exprimer de manière authentique. Nous nous efforçons d'être nous-mêmes, sans trop nous soucier du regard et de la pensée des autres.

Nous avons conservé le goût de passer du temps en famille, entre amis, à profiter de la nature et à vivre simplement.

Cependant, dans l'ensemble, il est clair que les valeurs et les priorités des gens ont changé au cours des dernières décennies. Il faut reconnaître que la diminution du temps de travail a permis de profiter de la vie.

Néanmoins, la France semble s’être engagée sur une réduction du temps de travail en contrepartie d’une qualité de vie supérieure. Une synthèse qui aujourd’hui tend à faire régresser notre niveau de vie. Ne dit-on pas : « qui trop embrasse mal étreint » ?

L’incivilité. Malheureusement, nous sommes de plus en plus confrontés aux incivilités. Que ce soit à la ville comme à la campagne, il n’est pas rare de trouver des immondices de toute nature, négligemment ou intentionnellement déposées sur la voie publique. Des porcs, vêtus comme des humains, issus de toutes les couches de la société, pourtant parfois très propres chez eux, se laissent aller sur le domaine public et sur les propriétés d’autrui.

Il est difficile de retrouver les personnes qui abandonnent des immondices dans la nature, car elles le font souvent de manière discrète et furtive. Cependant, il existe quelques moyens de les traquer, mais ces moyens ont leurs limites.

La vidéosurveillance est un outil efficace pour identifier les auteurs de dépôts sauvages. Les caméras installées dans les rues, les parkings et les autres lieux publics peuvent permettre de filmer les personnes qui abandonnent des déchets. Ces images peuvent ensuite être utilisées pour identifier les suspects et leur infliger une amende, malheureusement ces caméras doivent être visibles et les plus gros pollueurs ne se font pas prendre.

Il en va de même pour les propriétaires de chiens qui laissent leur animal faire ses besoins sur les trottoirs et dans des parcs pour enfants et interdits aux chiens.

Les témoignages sont également importants pour identifier les auteurs de dépôts sauvages et les maîtres peu scrupuleux, quant au comportement de leurs chiens. Réprimandés, ces propriétaires de chiens laissent sous-entendre que leur animal passe avant les enfants.

Les patrouilles de police peuvent également contribuer à lutter contre les dépôts sauvages. En patrouillant régulièrement dans les rues, les policiers peuvent identifier les personnes qui abandonnent des déchets et les mettre en garde.

Malheureusement la Police en sous-effectif à très souvent d’autres chats à fouetter.

En plus de ces mesures, il est important de sensibiliser les citoyens à l'importance de la propreté publique. Des campagnes de sensibilisation peuvent être menées pour rappeler aux gens qu'il est interdit d'abandonner des déchets sur la voie publique.

Nous sommes parfois surpris par la civilité de la population de certains pays que nous avons l’habitude de regarder de haut. La propreté et la civilité ne sont pas liées à des questions de moyens financiers, mais à la seule éducation que nous avons reçue.

La France d’hier et d’aujourd’hui

1.1. LA FRANCE QUI RÊVE

Les Français, toujours aussi rêveurs, mangent à nouveau leur chapeau. Sous l'impulsion des Américains, le Premier ministre australien Scott Morrison a pris une décision inattendue en annulant le « contrat du siècle ». Après six ans de négociations entre la France et Naval Group, un accord a été conclu pour la livraison de 12 sous-marins, pour un montant total de 34 milliards d'euros. Les États-Unis et la Grande-Bretagne assurent la continuité.

En seulement 48 heures, le « contrat du siècle » s'est transformé en un camouflet commercial qui a marqué l'histoire. Naval Group a conclu un contrat de vente de 12 sous-marins à l'Australie pour un montant estimé à environ 34 milliards d'euros, mais le Premier ministre Scott Morrison a rompu le contrat.

Depuis la Maison Blanche, le Premier ministre australien annonce la résiliation du contrat. En effet, l'Australie a maintenant fait le choix de traiter avec les États-Unis et la Grande-Bretagne. La décision que nous avons prise de ne pas poursuivre avec les sous-marins de classe Attack et de choisir un autre itinéraire ne signifie pas que nous avons changé d'avis. Selon Monsieur Morrison, nous avons effectué un changement de besoins, et nous avons également fait part de notre intention d'acheter des missiles américains Tomahawk.

Le camouflet dépasse largement le cas du géant français Naval Group. C'est un revers pour toute l'industrie de défense en France, et ce revers est à la fois commercial et politique. Selon l'ambassadeur d'Australie, Brendan Berne, interviewé par le Parisien en 2017, nous sommes pragmatiques. Il est évident que nous avons pris notre décision en nous basant sur des spécifications techniques. Cependant, ce contrat va bien au-delà de la simple fourniture d'équipements militaires. Nos deux pays ont établi un partenariat stratégique. Les quatre prochaines décennies sont fondées sur cette base solide qui soutient la relation franco-australienne.

Le revirement a été rapidement dénoncé par le ministère des Affaires étrangères français. Je suis actuellement extrêmement en colère. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a dénoncé ce matin ce qui constitue une entrave entre « alliés », en exigeant des clarifications de la part de l'Australie et des États-Unis.

Un haut fonctionnaire spécialisé dans les contrats militaires exprime sa frustration face à la décision stratégique d'un pays souverain. Toutefois, il est question d'une décision géopolitique, en aucun cas d'une décision technique ». La qualité de la solution technique apportée par Naval Group a été largement saluée par la presse australienne. Le travail réalisé et la capacité à transférer des technologies.

Naval Group s'apprête à négocier les conditions de résiliation sans risquer de perdre de l'argent. Néanmoins, il est certain que le groupe - qui n'a pas répondu à nos sollicitations - sera bien en deçà des 34 milliards d'euros attendus. Il ne faut pas oublier les conséquences inévitables.

La France cocue, ça ne tue pas, dit-on ?

Maintenant que l'annonce officielle de la décision australienne a été faite, le plus grand risque est celui d'un effet domino et d'une détérioration de la confiance des autres clients. Naval Group est engagé dans des contrats de sous-marins avec l'Inde et le Brésil, et des recherches sont en cours aux Pays-Bas et en Inde pour renouveler ces contrats. Il est essentiel de communiquer et de rassurer, car la France et Naval Group n'ont rien à voir avec cette affaire, insiste un expert bien informé. Il ne s'agit pas d'un dysfonctionnement ou d'une déception technique, mais d'une décision politique. »

Une décision géopolitique qui devrait inciter les pays de l'Union-Européenne à réfléchir, car ils seront tôt ou tard confrontés au même problème. Dans une transaction inverse, cela évoque vivement les frégates vendues à la Russie !

Ho ! L'Ukraine, qui est si souvent présentée comme un exemple de courage, se retrouve reléguée en deuxième ou troisième position d'intérêt au profit d'Israël. Il est vrai que vous devez comprendre mon attachement à Israël, mais ce jeu de vases communicants, pour ne pas dire ce jeu de dupes, ne présente rien de rassurant.

Ne dit-on pas : « Méfions-nous de nos trop bons amis, ils peuvent être pire que nos ennemis !».

Une restructuration des forces armées françaises serait très souhaitable, afin de se préparer à toute éventualité d'agression et de nous retrouver seuls à notre tour.

Trouver des solutions pour compenser les nombreux marchés perdus en raison de la conjoncture économique et de l'émergence des pays en développement à bas coûts. Pour les plus rêveurs, ces marchés semblaient acquis à vie.

2.0. PRINCIPALES PRÉOCCUPATIONS

DES FRANÇAIS

Aujourd’hui, la sécurité est devenue l’une des préoccupations premières des Français.

L’État de droit peut se définir comme un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise au droit.

Le respect de la hiérarchie des normes ;

L’égalité des sujets de droit ;

L’indépendance de la justice.

Aujourd’hui nous sommes arrivés à un stade ou trop de démocratie, tue la démocratie. Faut-il réviser la Constitution pour adapter nos lois à notre époque, ou tout simplement appliquer les lois qui existent déjà ?

Encore une fois, la question de savoir s'il faut réviser la Constitution pour adapter nos lois à notre époque est un sujet complexe. On se heurte à des arguments à la fois favorables et défavorables.

Les arguments en faveur d'une révision constitutionnelle :

La Constitution est un document ancien qui ne reflète plus les réalités de notre époque. Elle a été rédigée le 4 octobre 1958 et n'a été révisée qu'une seule fois, en 2008.

La Constitution ne garantit pas suffisamment les droits et libertés des citoyens. Elle est notamment critiquée pour son manque de protection des droits fondamentaux des étrangers et des minorités.

La Constitution ne permet pas de répondre aux défis de notre époque, tels que la crise climatique, la transition numérique et la montée du populisme.

Les arguments contre une révision constitutionnelle :

Une révision constitutionnelle est un processus long et coûteux. Elle nécessite l'accord d'une majorité qualifiée des députés et des sénateurs, ainsi que du président de la République.

Une révision constitutionnelle peut être dangereuse si elle est utilisée pour saper les principes fondamentaux de l'État de droit.

Une révision constitutionnelle peut entraîner une instabilité politique.

En définitive, la décision de réviser ou non la Constitution est une décision politique. Elle doit être prise en tenant compte des arguments tant en faveur qu’en défaveur de la révision.

Il est nécessaire de réviser la Constitution, mais de manière prudente et progressive. Il est important de conserver les principes fondamentaux de l'État de droit, mais il est également nécessaire de moderniser la Constitution pour qu'elle soit mieux adaptée aux réalités de notre époque.

La Constitution pourrait être révisée dans les domaines suivants :

Les droits et libertés fondamentaux pourraient être révisés pour en renforcer la protection de tous les citoyens, sans discrimination.

Les institutions démocratiques pourraient être révisées pour améliorer la transparence et la responsabilité.

La Constitution pourrait être révisée pour répondre aux défis de notre époque, tels que la crise climatique, la transition numérique et la montée du populisme.

Bien entendu, ce ne sont là que quelques exemples. Il est important de mener un débat public sur les questions à aborder lors d'une éventuelle révision constitutionnelle.

Violence. Que penser des violentes émeutes qui ont ébranlé une grande partie de la France ces dernières années, alors que seule une infime partie des émeutiers avaient de réelles revendications à formuler ? Aujourd’hui, la France se trouve face à de graves problèmes sociétaux et de communication qui doivent être résolus rapidement.

Ces émeutes sont souvent le résultat d'un sentiment de colère et de frustration chez certains jeunes, ou moins jeunes qui se sentent marginalisés, exclus de la société française et/ou pas écoutés. Tout particulièrement, en France, elles peuvent être le résultat de tensions raciales et religieuses.

Il est important de comprendre les causes profondes de ces émeutes afin de pouvoir y remédier. Une solution serait de s'attaquer aux facteurs qui contribuent à la marginalisation et à l'exclusion des jeunes et des moins jeunes. Cela pourrait inclure des investissements dans l'éducation, l'emploi et les services sociaux dans les quartiers défavorisés. Il est également important de promouvoir la diversité et l'inclusion dans la société française.

Les causeries organisées par le président de la République au cours de son premier quinquennat n’étaient que poudre aux yeux et ont été très rapidement oubliées.

Il faut redonner la parole au peuple, l’écouter et lui apporter des réponses concrètes, circonstanciées.

Pour ce faire, pourquoi ne pas organiser un référendum populaire, en parallèle à un référendum habituel, en y joignant un questionnaire, simple et clair, proposant différentes actions susceptibles de répondre aux vœux des Français ?

Les vagues migratoires insoutenables sont des vecteurs d’insécurité en raison du manque de Policier, qui s’est aggravé sous les précédents quinquennats. Le nombre de policiers a baissé de 10 000 entre 2002 et 2022. Il faut néanmoins savoir, qu’en Île-de-France et dans les grandes villes ce fléau existait déjà durant les années 1960.

Il existe de nombreux facteurs qui ont pu contribuer à l'aggravation de l'insécurité dans les grandes villes françaises.

Parmi ces facteurs, on peut citer :

La concentration de la pauvreté et de l'immigration dans les grandes villes, qui ont créé des conditions propices à la délinquance.

L'échec de l'intégration des migrants, qui a conduit à une marginalisation de certains groupes et à une augmentation des tensions sociales.

La montée de l'islam radical, qui a contribué à la radicalisation de certains jeunes et à l'augmentation des actes terroristes.

Le fléau de l'insécurité existe depuis de nombreuses années, durant les années 1960, sous cette forme, l’insécurité se cantonnait à certains quartiers de grandes villes, mais elle a connu une accélération ces dernières années. Cela est probablement dû à une combinaison de ces facteurs, qui ont créé un cercle vicieux.

La pauvreté et l'immigration ont conduit à une augmentation de la délinquance, qui a à son tour à créer une baisse de confiance des citoyens envers la police. Une situation qui a rendu plus difficile la lutte contre la délinquance et a engendré une augmentation de la violence.

L'échec de l'intégration des migrants a également contribué à l'aggravation de l'insécurité. Les migrants qui ne sont pas bien intégrés sont plus susceptibles d'être marginalisés et de tomber dans la délinquance.

La montée de l'islam radical a également joué un rôle dans l'augmentation de l'insécurité. Les actes terroristes ont créé un climat de peur et d'insécurité, qui a généré une augmentation de la surveillance et de la répression.

Pour lutter contre l'insécurité, il est important de s'attaquer à tous ces facteurs. Il faut augmenter le nombre de policiers, investir dans la prévention de la délinquance, améliorer l'intégration des migrants et lutter contre l'islam radical. La tâche est énorme !

Drogue. En matière de drogue, nous vivons une hypocrisie absurde, tout le monde se plaint des conséquences de la drogue ainsi que des mineurs non encadrés, livrés à eux-mêmes, tout en se retournant contre les policiers lorsqu’ils poursuivent un mineur à moto ou dans une voiture volée.

En se conduisant ainsi, les parents se rendent complices de leurs chérubins !

En effet, ces parents envoient le message à leurs enfants que la loi n'est pas respectée et que les policiers sont leurs ennemis. Cela encourage les enfants à continuer à commettre des actes illégaux, dont la consommation et le commerce de drogues.

Il est important de rappeler que la consommation de drogues peut entraîner des conséquences graves pour la santé, pouvant aller jusqu’à la mort.

Les points de vente de drogues rapportent des sommes énormes qui n’incitent pas à travailler et à étudier. De très jeunes enfants, simples guetteurs, perçoivent des sommes importantes.

Aucune mesure concrète n’a été prise. Faut-il établir plus de contrôles systématiques semblables au contrôle d’alcoolémie au volant, et toucher durement les utilisateurs, ou les parents de mineurs, au porte-monnaie ? Pas de consommateur, pas de dealeur ? Comme dans toute action, il y a des arguments divergents.

Arguments en faveur de plus de contrôles