Prix ($) |
Pays |
7,88 |
Norvège |
6,37 |
Suède |
6,36 |
Suisse |
5,95 |
Sources : (en) The Economist |
Cette mesure traduit un niveau de prix relativement élevé comparé à la moyenne des pays de l'OCDE[78]. Selon une étude de l'UBS en 2006, les villes suisses connaissent un niveau des prix parmi les plus élevés du monde (loyer non compris) : deux villes suisses (Zurich à la quatrième place et [79].
Commerce extérieur
Le dollars par habitant en 2001 contre 7 000 par habitant pour l'Allemagne et 6 000 pour la moyenne de l'Union européenne. La Suisse étant un petit pays sans ressources en énergies fossiles, elle s'est tournée vers l'extérieur aussi bien sur le plan de l'offre que de la demande des biens et services et constitue l'une des économies les plus ouvertes du monde[80] : la part des exportations dans le PIB suisse se situait en moyenne, entre 1960 et 1990, à 33,2 % contre 15,8 % pour l'ensemble des pays de l'OCDE et a tendance à augmenter dans le cadre de la libéralisation des échanges au niveau mondial[81]. Dans ce contexte, la Suisse possède plus particulièrement un avantage comparatif pour la production et le commerce de produits relativement élaborés[82]. Par ailleurs, la plupart des marchandises importées sont soumis à des droits de douanes calculés en général en fonction du poids, cas unique dans le monde occidental[83].
Exportations et importations suisses de 1990-2005
Les principaux secteurs d'exportation suisses sont les machines-outils (56 milliards de francs), la industrie pharmaceutique (45 milliards de francs) et les instruments de précision, les montres et les bijoux[84], les services ne plafonnant qu'autour de 25 % des recettes totales des exportations[85] qui se montent à 23 milliards de [86]. Parmi les principaux figurent l'Allemagne (principal partenaire depuis les France et l'Union européenne qui réceptionne près de 60 % des exportations, les Royaume-Uni et le [86].
La 1916, 1945, 1953, les importations dépassant de quelques 20 % les recettes des exportations sectorielles avec un déficit maximum en 1989 (12,1 milliards de francs)[87]. En revanche, la balance des services, dont le tourisme est une composante importante était traditionnellement excédentaire et compensait ainsi le déficit de la balance des marchandises pour aboutir à une balance commerciale excédentaire[88]. Entre 1993 et 1996, la Suisse enregistre des excédents de sa balance commerciale avant de replonger dans le rouge entre 1997 et 2001. Cependant, dès 2002, les comptes redeviennent positifs avec un solde grandissant[89].
La Suisse est membre de nombreuses organisations internationales comme l'ONU (à laquelle elle a adhéré tardivement le 10 septembre 2002), l'Organisation mondiale du commerce (OMC), le conseil d'administration représentant les pays de l'Banque mondiale, l'OCDE, l'Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et la Union européenne (UE) ou les Communauté économique européenne entré en vigueur le 1er janvier 1973 et qui veillaient notamment à la réduction des tarifs douaniers industriels mais non agricoles[90]. Toutefois, le traité de création de l'2 mai 1992[91] est refusé par les Suisses lors de la votation du 6 décembre de la même année[92]. À la suite de ce refus, le gouvernement maintient la demande d'adhésion à long terme à l'UE et la négociation dans l'intervalle d'accords bilatéraux dossier par dossier en vue de faciliter les échanges et éviter l'isolement économique du pays[93].
Bien que située au milieu de la zone monétaire de l'franc suisse, qui subit une faible blanchiment d'argent et le terrorisme. La politique traditionnelle de tolérance vis-à-vis de la soustraction fiscale en relation avec le secret bancaire est battue en brèche et se trouve en évolution restrictive.
La libéralisation et la primauté des forces du marché constituent les principes directeurs de la politique commerciale suisse résultant du postulat général énoncé dans la constitution : la Confédération n'intervient que si l'activité des entreprises suisses se trouve entravée par l'action des pouvoirs publics à l'étranger[94] et promeut un système multilatéral d'échanges ouvert et bénéficiant d'une harmonisation réglementaire[83]. Ce qui n'empêche pas la Suisse d'adopter le 4 1984 une ordonnance réglementant les preuves documentaires de l'origine des marchandises en matière de commerce extérieur, entrée en vigueur le 1er janvier 1985, et modifiée à plusieurs reprises depuis[95]. De plus, les denrées agricoles sont pour leur part soumises à un réseau dense de réglementations et à des surtaxes diverses[96].
Données sociales
Productivité
Le PIB par habitant de la Suisse est parmi les plus élevés au monde. Entre autres raisons, il faut citer l'orientation de la production vers des produits à forte valeur ajoutée et le domaine très actif des services. À titre de comparaison, le PIB par habitant en 2005, en parité de pouvoir d'achat, est de 33 600 dollars alors qu'il est de 28 500 dollars en Allemagne et de 27 700 dollars au sein des pays de l'OCDE.
Marché du travail
Le marché du travail suisse présente quelques particularités qui le distinguent de ceux de la plupart des pays industrialisés[97]. D'une part, les étrangers représentent la proportion de la population active parmi les plus élevées des pays de l'OCDE. D'autre part, le 1984 et ce avant la crise des Paix du travail, convention signée en 1937 entre patronat et syndicat, établit des règles de conciliation lorsqu'un conflit intervient. Cette solution, qui favorise la discussion plutôt que l'action, a permis de réduire l'intensité et la durée des population active suisse se répartit en 2003 dans les trois secteurs économiques de la façon suivante[98] :
La différence entre le taux d'activité entre les femmes et les hommes est relativement importante puisqu'en 2003, il n'y avait que 49,9 % de femmes occupées à plein temps contre 63 % des hommes.
La durée hebdomadaire du travail en Suisse est l'une des plus longues d'Europe, derrière celle du Royaume-Uni, avec 41,7 heures pour un salarié à temps complet[99].
Main d'œuvre étrangère
Après la Seconde Guerre mondiale, la Suisse connaît une croissance soutenue par la demande en provenance des pays voisins en pleine reconstruction. Les premières vagues d'immigration proviennent des régions du nord de l'Espagne, du Portugal, du sud de l'Italie, de la Yougoslavie et de la Turquie[100]. Le regroupement familial initié dès 1964 avec l'Italie conduit à un accroissement des investissements en infrastructure, favorisant la croissance économique mais aussi l'inflation et la naissance d'un mouvement xénophobe[101].
C'est alors que la Confédération met en place dans les 1970 prévoyant un quota annuel de permis de séjour annuels et saisonniers délivrés par canton fixé en fonction de la situation économique du pays[102] :
- le permis permanent (dit permis C) accordé aux étrangers établis depuis 10 ans et accordant les mêmes droits qu'aux travailleurs suisses ;
- le permis annuel (dit permis B) renouvelable chaque année puis tous les deux ans (après cinq ans) et lié à un emploi spécifique ;
- le permis saisonnier (dit permis A) délivré pour un maximum de neuf mois par an ;
- le permis frontalier renouvelable chaque année durant une période de cinq ans et lié à un emploi spécifique.
Toutefois, les frontaliers, non concernés par ces mesures dans un premier temps, voient leur nombre connaître une croissance importante mais restent dépendant avec l'instauration d'un permis propre de la conjoncture économique[103]. C'est aussi dans ce contexte que la qualification professionnelle moyenne des immigrés a tendu à décroître en raison de l'évolution de leur provenance de régions plus pauvres[101]. En 1991, la Confédération décide d'appliquer la politique des « trois cercles » : libéralisation de la circulation des personnes en provenance des pays de l'AELE et de la CEE, politique d'admission restrictive vis-à-vis des Canada et de l'[104].
Chômage
La Seconde Guerre mondiale inaugure une période de plein emploi jalonnée de quelques très légers fléchissements : 250 000 emplois disparaissent entre 1974 et 1976[105] mais sans conséquences sur les chiffres du chômage car, faute d'assurance obligatoire, quelques 170 000 étrangers licenciés regagnent leur pays d'origine tandis que les salariés suisses non protégés abandonnent le marché du travail[106]. Le taux de chômage atteit ainsi 0,7 % en 1976 puis 0,2 % en 1981 et 1,1 % en 1984[107]. Avec d'une 1er avril 1977 et dont les prestations sont améliorées en 1984, et l'arrivée de la crise des [105] — et leur nombre augmente jusqu'à atteindre en 1992 une ampleur comparable à celle de la chômage est resté particulièrement bas en Suisse, contrairement à ses pays voisins[108], malgré une augmentation depuis les [109] :
- la sous-estimation statistique du chômage ;
- la politique d'immigration sélective ;
- les relations décentralisées entre employeurs et employés et la paix du travail ;
- la valorisation de la formation professionnelle et la double formation en école et entreprise ;
- la flexibilité de la population active ;
- la structure économique équilibrée (pas de branches en déclin) ;
- une politique macro-économique basée sur le contrôle direct de la masse monétaire et l'équilibre budgétaire.
À la fin septembre 2008, il y avait 95 980 personnes au chômage soit 2,4 % de la population[110]. Les premiers touchés sont les étrangers, dont le niveau de qualification est en général plus faible, puis les Suisses romands (francophones) et les Tessinois (italophones)[107] alors que le taux de chômage le plus faible se trouve dans les régions alémaniques (germanophones). Les plus importants taux de chômage sont concentrés dans les grands centres urbains tels Zurich ou [111] et parmi les travailleurs jeunes (15 à 24 ans connaissant toutefois des périodes de chômage plus courtes que la moyenne) et peu qualifiés[112].
Les statistiques sont établies par l'Office fédéral de l'industrie, des arts et métiers et du travail (actuel Secrétariat d'État à l'économie) à partir des chiffres transmis par les offices cantonaux de l'emploi. Ils ne prennent en compte que les travailleurs inscrits auprès des offices cantonaux, afin de bénéficier des prestations de l'assurance chômage, et non les femmes désirant se réinsérer dans le marché du travail ou les personnes ayant épuisé leur droit aux indemnités. Depuis 1991, l'Office fédéral de la statistique met pour sa part une enquête, l'enquête suisse sur la population active (ESPA) sur un échantillon de 16 000 à 18 000 personnes[113] représentatives de la population active au cours du second trimestre de chaque année[114].
Partenaires sociaux
Les relations de travail en Suisse sont caractérisées par une longue tradition de concertation. C'est la convention historique de 1937, connue sous le nom de « paix du travail », conclue au sein de l'industrie des machines qui en est à l'origine. Les relations sont concrétisées par des conventions collectives de travail — accord négocié à intervalles réguliers entre les syndicats et les associations patronales — qui fixent les conditions de travail minimales, y compris les hausses de salaires, et interdisent en principe le recours à la [115] pour les salariés et le lock-out pour les employeurs[116]. L'article 28 de la [117] garantit le 1992, 1146 conventions sont en vigueur et couvrent plus de 1,4 million de travailleurs, soit deux cinquièmes de la population active occupée[118].
L'Union syndicale suisse (USS), la Fédération des sociétés suisses d'employés et la Confédération des syndicats chrétiens représentent au début des [116]. Le taux de syndicalisation est alors d'environ 30 %, ce qui est relativement bas comparé au niveau international. En octobre 2004, les syndicats du Syndicat industrie et bâtiment (SIB), de la Fédération suisse des travailleurs de la métallurgie et de l'horlogerie (FTMH) et de la Fédération suisse des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation (FCTA) ont décidé de fusionner pour donner naissance à Unia (membre de l'USS) qui fédère désormais 200 000 personnes dans environ 60 branches professionnelles.
Les employeurs sont pour leur part regroupés au sein de l'Union centrale des associations patronales et d'Economiesuisse résultant de la fusion de l'Union suisse du commerce et de l'industrie (plus connue sous le nom de Vorort) et de la Société pour le développement de l'économie suisse.
Rémunérations
Revenu cantonal
Revenu total des différents cantons en 2007 (millions de francs).
On remarque clairement sur la carte ci-contre la justification du placement de Zurich comme la capitale économique de la Suisse. Avec un revenu d'environ 70 milliards de canton se situe loin devant les autres.
Chaque région possède sa propre spécialisation et sources de revenus. Ainsi les industries mécaniques de précision et des montres se situent plutôt dans la région du Jura et de industrie pharmaceutique se situe dans la canton du Valais ou le fruits, légumes, produits laitiers et diverses spécialités locales.
Cette différence de revenus entraîne inévitablement des problèmes spécifiques comme l'inégalité des salaires ou encore les prestations sociales qui varient d'un canton à l'autre. Certaines mesures ont été prises par la Confédération pour éviter de voir apparaître une Suisse à deux vitesses : les régions possédant un revenu plus modeste reçoivent davantage d'argent, par le biais d'une péréquation financière, ou pratiquent une charge fiscale plus élevée pour garantir les aides sociales.
Revenu individuel
Le salaire des citadins suisses est en moyenne plus élevé que dans la plupart des autres pays du monde, que cela soit en termes de salaire brut ou en termes de salaire net. En moyenne, un Suisse gagne environ 30 UBS qui a comparé le salaire de treize professions répandues dans les grandes villes à travers le monde, le salaire net des Suisses est le plus élevé (Zurich devant Genève et Lugano) juste devant les pays scandinaves[119].
L'évolution du salaire est restée constante jusqu'aux 1993 à 2000, le pays connaît une période de stabilité avec une progression quasi nulle. Aujourd'hui, on assiste à une plus forte progression du revenu pour les femmes : l'indice de salaire réel a mesuré une progression de 4,1 points pour la période 2000-2003 alors que la progression a été de 3,5 points pour les hommes[120].
Bien que l'égalité des sexes soit inscrite dans la [121]. Cet écart de salaire s'explique en partie par le niveau de formation plus élevé des hommes, une différence qui tend toutefois à s'amoindrir.
Dépenses des ménages
Les dépenses liées à l'alimentation se sont considérablement réduites au cours du XXe siècle. Aujourd'hui, les principales dépenses sont liées au logement et à la santé. Les dépenses de consommation atteignent 63,4 % du total et les dépenses de transfert (impôts, etc.) 36,6 %.
La dépense mensuelle par ménage (constitué en moyenne de deux à trois personnes) atteint 7 912 [122].
Notes et références
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- ↑ En 1992, les machines constituent 27,6 % du total des exportations contre 23,1 % pour les produits chimiques et les instruments de précision, montres et bijoux 20,7 %. Cette structure est similaire à celles des importations suisses.
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 96
- ↑ a et b Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 99
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- ↑ Solde des transactions courantes (Banque nationale suisse)
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- ↑ Vie active et rémunération du travail (Office fédéral de la statistique)
- ↑ Principaux chiffres sur la vie active et la rémunération du travail (Office fédéral de la statistique)
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 20
- ↑ a et b Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 22
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., pp. 22-24
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., pp. 23-24
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., pp. 24-25
- ↑ a et b Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 31
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 32
- ↑ a et b Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 27
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 25
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- ↑ Situation sur le marché du travail en septembre 2008 (SECO)
- ↑ Personnes sans emploi et taux de sans-emploi au deuxième trimestre 2007 (Office fédéral de la statistique)
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., pp. 27-28
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 28
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., pp. 25-26
- ↑ Plus d'un tiers des conventions prévoient le droit de grève pour des objets qui ne sont pas explicitement réglés par la convention concernée.
- ↑ a et b Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 35
- ↑ Article 28 de la constitution de la Suisse garantissant le droit de grève
- ↑ Alain Schoenenberger et Milad Zarin-Nejadan, op. cit., p. 36
- ↑ Voir le niveau des salaires en comparaison internationale
- ↑ Voir l'évolution des salaires
- ↑ Voir la différence de salaire selon l'âge et le sexe
- ↑ Structure des dépenses d'après l'Office fédéral de la statistique
Voir aussi
Bibliographie sélective
- Jean-Marie Ayer et Luca Perazzi, L'économie dans le mille, éd. LEP Loisirs et Pédagogie, Lausanne, 2001 (ISBN 2606002997)
- Beat Bürgenmeier, Main-d'œuvre étrangère, une analyse de l'économie suisse, éd. Economica, Paris, 1992
- Gérard Geiger [sous la dir. de], 1291-1991, l'économie suisse : histoire en trois actes, éd. SQP Publications, Saint-Sulpice, 1991
- Lien interne