- Neoplatonisme
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Néoplatonisme
Écoles de l’Antiquité Sophistique Académie Lycée Scepticisme Stoïcisme Nouvelle Académie Néoplatonisme Ammonios Saccas et surtout par Plotin, dont le dernier représentant est Antiquité tardive tentait de concilier la philosophie de Platon avec certains courants de la spiritualité orientale. Le mot "néoplatonisme" a été inventé par Thomas Taylor, dans sa traduction des Ennéades de Plotin (1787), ou par Heinrich von Stein en 1864 (Sieben Bücher zur Geschichte des Platonismus). Les néoplatoniciens se disent, eux-mêmes, simplement platoniciens.
Le néoplatonisme se caractérise par l'insistance donnée au premier Principe (
Sommaire
Origines
Il est possible de voir un précurseur du néoplatonisme en la personne de Philon d'Alexandrie qui, vers 40, traduisit le [1]. . Platon, pourtant, n'admet que deux niveaux, deux lieux, l'intelligible, le sensible, en participation.Platon n'admet qu'un Tout, un Univers (en deux niveaux, en deux lieux qui participent), pas deux mondes séparés : il parle de "lieu intelligible" et de "lieu visible", en rapport d'analogie, de ressemblance (La République, VI, 508b).
Les plus importants précurseurs du néoplatonisme, sont les Moyen-platonistes, tel que Plutarque (vers 80) et les Néopythagoriciens, surtout Numénius d'Apamée (vers 150).
Les premiers philosophes chrétiens, tels que Athénagoras d'Athènes, ont essayé de relier le néoplatonisme au Gnostiques d'Alexandrie, surtout Valentin (vers 150) et les disciples de Plotin, et sans aucun doute Alexandrie, d'où le néoplatonisme est originaire, fût baignée dans des pratiques religieuses orientales accessibles à tout un chacun. C'est uniquement le néoplatonisme tardif, à partir de Platon et les Écoles
Les écoles du platonisme les plus anciennes, depuis la fondation de l'Académie de Platon en -388, sont :
- l’école paléoplatonicienne ou platonisme ancien. Elle comprend les disciples immédiats de Platon : Speusippe (premier scolarque, recteur, de l'Académie de Platon en -348), Philippe d'Oponte, Héraclide du Pont, Xénocrate (deuxième scolarque en -339). Suivent Philon de Larissa (douzième scolarque en -129), etc. Speusippe et Xénocrate tirent du côté de Pythagore, du Nombre.[2] Mais quand Pythagore met les nombres dans les choses, Platon sépare Nombres et réalités sensibles..[3]
- l’école médioplatonicienne ou moyen-platonisme[4] ou platonisme éclectique : Ammonios d'Athènes (maître de Plutarque en 66), le fameux Plutarque de Chéronée 46-125, Théon de Smyrne (vers 130 ?), Atticos, Alcinoos le Philosophe, auteur du Didaskalikos. Enseignement des doctrines de Platon, vers 150), Madaure (125-180), Maxime de Tyr (IIe siècle), Numénius d'Apamée (vers 155). À partir de Numénius, la distinction entre néopythagorisme et néoplatonisme se brouille. Parmi les lettres attribuées à Platon, les n° II, VI, IX, XII et XIII viennent d'un "milieu pythagoricien fin du IIe ou début du Ier s. av. J.-C."[5] ; la IIe relève peut-être de la pensée d'[6]
Le néoplatonisme s'est développé en plusieurs écoles[7], depuis Ammonios Saccas en 232 jusqu'à la fermeture de l'école néoplatonicienne d'Athènes par Justinien en 529 ou jusqu'au milieu du VIIe siècle pour l'école néoplatonicienne d'Alexandrie :
- l’école néoplatonicienne de Rome : Ammonios Saccas (fondateur du néoplatonisme en 232, maître de Plotin), Plotin (244, maître de Porphyre, Amelius, Roghatianus, premier scolarque en 244), Porphyre de Tyr (264, secrétaire et éditeur de Plotin, second scolarque en 270), [8] (IIIe siècle). Ammonios Saccas, poursuivant le moyen-platonisme, affirme le concordisme Platon/Aristote : « Ce fut Ammonios d’Alexandrie, l’inspiré de Dieu, qui le premier, s’attachant avec enthousiasme à ce qu’il y a de vrai dans la philosophie et s’élevant au-dessus des opinions vulgaires qui rendaient la philosophie un objet de mépris, comprit bien la doctrine de Platon et d’Aristote, les réunit en un seul et même esprit, et livra ainsi la philosophie en paix à ses disciples Plotin, Origène [le Platonicien] et leurs successeurs » (Hiéroclès d'Alexandrie, cité par Photius). Plotin se présente comme un exégète des enseignements de Platon : "Cette doctrine n'est pas nouvelle. Elle fut professée dès les temps les plus anciens, mais sans être développée explicitement; nous ne voulons ici qu'être les interprètes des premiers sages et montrer par le témoignage même de Platon qu'ils avaient les mêmes dogmes que nous" (Ennéades V.1.8).
- l’école néoplatonicienne d'Apamée (en Syrie), théurgique : Amelius (268 ; disciple de Plotin en 246, maître de Jamblique), [9] (313), Sopatros d'Apamée (325, successeur de Jamblique), Ædesios (ou Édésius) de Cappadoce (parti à Pergame), Eustathe de Cappadoce ;
- l’école néoplatonicienne de Pergame, première ramification de l'école syrienne, d'orientation magique : Ædesios de Cappadoce (disciple de Jamblique, fondateur de l'école de Pergame vers 330), Maxime d'Éphèse (disciple d'Aedesios, et maître du futur Julien l'Empereur dès 351)[10], Chrysanthe, Priscus (385, vivant à Athènes), école néoplatonicienne d'Athènes, deuxième ramification de l'école syrienne, d'orientation mystique : Nestorios le Hiérophante (hiérophante à Plutarque d'Athènes (premier scolarque de l'école d'Athènes, vers 400), Syrianos (deuxième scolarque, en 435), Proclos (disciple de Plutarque d'Athènes et de Syrianos, troisième scolarque en 438), Ammonios, fils d'Hermias (maître de Marinos (quatrième scolarque, biographe de Proclos, 485), Hégias, Isidore de Gaza (maître de Zénodote (495), Simplicios de Cilicie ("dernier représentant", de retour à Athènes en 533). L'école naît donc à Athènes vers 400, avec Plutarque d'Athènes, Syrianos, puis elle émigre à Alexandrie vers 430, avec Hermias, Ammonios, fils d'Hermias. En 529, l'empereur romain d'Orient Justinien Ier fait fermer l'école d'Athènes[11], aussi sept philosophes néoplatoniciens (Simplicios de Cilicie, Priscien de Lydie, Eulamios de Phrygie, Hermias de Phénicie, Diogène de Phénicie, Isidore de Gaza ) durent quitter Athènes et se réfugièrent en Perse, chez le roi de Perse Khosrô Ier, puis à Harrân, en Mésopotamie ; après le traité de paix (562) conclu entre Khorô Ier, et Justinien Ier, les philosophes s'installèrent à Carrhae, en territoire byzantin sous influence perse.
- l’école néoplatonicienne d'Alexandrie, troisième ramification de l'école syrienne, d'orientation exégétique : Synésios de Cyrène (élève d'Hypathie, évêque de Ptolémaïs en 410), Hermias, Ammonios, fils d'Hermias (vers 500), e s.), Olympiodore d'Alexandrie le Jeune (scolarque en 541), Étienne d'Alexandrie (vers 620). Jean Philopon s'est converti au christianisme vers 529, sans doute à cause de la mesure de Justinien Ier. Pour Ilsetraut Hadot, "il n'y a pas d'école néoplatonicienne d'Alexandrie dont les tendances doctrinales différeraient des tendances propres à l'école d'Athènes" (Le problème du néoplatonisme alexandrin. Hiéroclès et Simplicius, 1978).
Après Damascios (470-544), les penseurs sont moins philosophes, davantage compilateurs ou alchimistes. Certains sont considérés comme commentateurs en alchimie : Synésios peut-être identique à Synésios de Cyrène), Olympiodore l'Alchimiste peut-être identique à Olympiodore d'Alexandrie le Jeune, Étienne d'Alexandrie (Stephanos d'Alexandrie (v. 620).[12] Olympiodore d'Alexandrie le Jeune oppose contemplatifs et théurgistes : "Beaucoup, comme Porphyre et Plotin, préfèrent la philosophie, d'autres, comme Jamblique, Syrianos et Proclos, préfèrent la théurgie (ιερατική)."[13]
Le platonisme a continué en créant :
- le gnosticisme platonisant : Ménandre (fin du Ier siècle), Cérinthe, Satornil, [14]
- le néoplatonisme chrétien : Marius Victorinus (Ad Candidum Arianum, vers 350), Augustin, le Pseudo-Denys l'Aréopagite (vers 490, en Syrie), Avicenne (1020), Sohrawardî d'Alep (1155-1191), Espagne ;
- le néoplatonisme juif ésotérisant : Avicebron (Ibn Gabirol, mort en 1058), Abraham bar Hiyya (1100), Abraham Ibn Ezra, le cercle des rabbins de Provence (Abraham ben Isaac de Narbonne, Jacob Nazir de Lunel), les kabbalistes néoplatoniciens (Moïse de León (auteur du Zohar en 1280) ; Léon l'Hébreu, avec ses Dialogues d'amour (1503) accomplit la "synthèse du néoplatonisme et de la Cabale" (P. Béhar)
- le platonisme de Perse : Sohrawardî d'Alep (1155-1191) (mélange de soufisme, néoplatonisme, mazdéisme, zoroastrisme), Mollâ Sadrâ Shîrâzî (1572-1640) ;
- le platonisme de Mistra : [15] (1409), néoplatonisme médicéen ou platonisme hermétique, protégé par Laurent de Médicis, invoquant Marsile Ficin (1484), [16] En 1494 Léon l'Hébreu atteint le sommet avec ses Dialogues d'amour, 1503.
- le platonisme de Henry More[17] (1641), Ralph Cudworth (1654), lady Anne Conway (1692), Th. Burnet, R. Burthogge.
Philosophie
La philosophie néoplatonicienne a pour but la résolution d'un des problèmes au cœur de la pensée grecque antique, à savoir le problème de nature, or platonisme de par sa volonté de résoudre les l'Un (l'Un absolu inconnaissable et ineffable qui exclut tout multiple ; l'Un qui est être et admet donc tous les contraires ; l'Un qui est et qui n'est pas, et qui donc est changement, instant).[18]
Il y a quatre principes qui commandent la solution du problème Un/Multiple :
- "Toute multiplicité suppose une unité qui lui donne sa structure" : principe d'unité systématisante
- "Toute unité transcende la multiplicité qu'elle unifie" : principe de transcendance
- "Toute multiplicité est contenue en quelque manière dans l'unité qui la transcende" : principe d'Vie de Pythagore, 86). 4) On repère beaucoup de triades : trois dieux chez Numénius d'Apamée, trois hypostases chez Plotin, les triades être/pensée/vie, repos/procession/conversion, substance/activité/puissance... 5) Les hypostases, c'est-à-dire les principes divins (Un, Second Un, Être, Vie, Intellect...) se multiplient. 6) La philosophie orientale est plus ou moins présente (Égyptiens, Chaldéens, judaïsme...). Les néoplatoniciens veulent systématiser et unifier la mythologie grecque, l'orphisme, le pythagorisme, le platonisme, les Oracles chaldaïques.
Les néoplatoniciens identifient les dieux avec les Idées platoniciennes. Mais Plotin et Porphyre considèrent la pratique religieuse comme indigne du sage, parce qu'il est capable d'atteindre Dieu directement par l'élévation spirituelle de sa pensée, tandis que Jamblique, Proclos et l'école néoplatonicienne d'Athènes s'efforcent d'observer le plus religieusement possible les rites traditionnels.[19]Expériences spirituelles
Les néoplatoniciens connaissent contemplations, extases, pratiques de théurgie...
- De Plotin : "Souvent lorsque je m'éveille à moi-même en sortant de mon corps [extase mystique], et qu'à l'écart des autres choses, je rentre en moi, je vois une beauté d'une force admirable" (Plotin, Ennéades, traité VI).
- Sur Proclos : "Nuit et jour, il se livrait à des rites apotropaïques [qui protègent contre les sortilèges et les maléfices], à des ablutions et à d'autres pratiques de purification, soit orphiques soit chaldaïques [des Oracles chaldaïques], et chaque mois il entrait sans hésiter dans la mer, quelque fois même deux ou trois fois le même mois... De fait, il ne s'alimentait que fort peu. Le plus souvent il s'abstenait de la chair des êtres animés... Chaque mois, il passait dans la pureté les fêtes de la Mère des dieux [Cybèle] en usage chez les Romains ou antérieurement même chez les Phrygiens ; il observait les jours fastes des Égyptiens... Il jeûnait certains jours à la suite d'une apparition divine..." (Marinus, Vie de Proclus, § 19).
Bibliographie
Sources
- Porphyre de Tyr, Vie de Plotin (vers 301), trad., Vrin, 2 t. [2] Vie de Plotin
- [3] : trad. an. Lives of the Philosophers and Sophists, Harvard University Press, 1921, p. 342-565 (sur Jamblique, Maxime d'Éphèse, etc.). Trad. fr. S. de Rouville, 1879[4]
- Marinus, Proclus ou Sur le bonheur (486), texte établi, traduit et annoté par Henri Dominique Saffrey et Alain Philippe Segonds, avec la collaboration de Concetta Luna. Paris, Les Belles lettres, 2001. (Collection des Universités de France), ISBN 2-251-00496-3
- Damascios, Vie d'Isidore [de Gaza] (495), fragments in Photius, Bibliothèque, Codex 242. Trad. : La vie d'Isidore ou Histoire de la philosophie, traduit par Anthelme-Édouard Chaignet, in Commentaire sur le Parménide. Proclus le Philosophe. Suivi d'une traduction de La Vie d'Isidore ou Histoire de la philosophie de Damascius, Paris : E. Leroux. 3 vol. : 1900-1903, x-340, 407, xv-374 p. Réimpr. : Francfort-sur-le-Main : Minerva Journals, 1962, 2007, t. III, p. 241-371.
Textes néoplatoniciens par ordre chronologique
- Numénius d'Apamée, Fragments (vers 155), trad. du grec, Les Belles Lettres, 1973, 220 p.
- Oracles chaldaïques (vers 170), trad. du grec, Les Belles Lettres, 1997, 357 p. Recueil attribué à un magicien ayant interrogé l'âme de Platon
- Ammonios Saccas (maître de Plotin de 232 à 244) : voir W. Theiler, Forschungen zum Neuplatonismus, Berlin, 1966.
- Plotin (205-270), Ennéades (254-270), trad. du grec, Garnier-Flammarion.
- Porphyre (234-310), De l'abstinence, trad. du grec, Les Belles Lettres, 1977-1995, 2 t.
- Alain Philippe Segonds. Paris, Les Belles Lettres, 1977, 1979 et 1995. (Collection des Universités de France), ISBN 2-251-00281-2, ISBN 2-251-00282-0 et ISBN 2-251-00444-0
- Jamblique, Fragments de L'histoire de la philosophie ; éd. et trad. Alain Philippe Segonds. Paris, Les Belles Lettres, 1982. (Collection des Universités de France), ISBN 2-251-00361-4
- Saloustios (IVe s.), Des Dieux et du Monde, trad., Les Belles Lettres, 1983, L-85 p.
- Proclos (412-485), Commentaires sur le Timée (439), en 5 tomes, trad. André-Jean Proclos, Commentaires sur la République (date ?), en 3 tomes, trad. André-Jean Trouillard. Paris : Aubier-Montaigne, 1965. (Bibliothèque philosophique)
- Proclos, Théologie platonicienne, en 6 tomes, éd. et trad. Leendert Gerritt Westerink & Henri Dominique Saffrey. Paris : les Belles Lettres, 1968, 1974, 1978 et 1987. (Collection des Universités de France), ISBN 2-251-00284-7, ISBN 2-251-00285-5, ISBN 2-251-00286-3, ISBN 2-251-00287-1, ISBN 2-251-00386-X et ISBN 2-251-00462-9
- Leendert Gerritt Westerink, intr., tr. et notes Joseph Combès, avec la collaboration d’Alain Philippe Segonds. Paris, Les Belles Lettres, 1997, 2002 et 2003. (Collection des Universités de France), ISBN 2-251-00454-8, ISBN 2-251-00456-4, ISBN 2-251-00500-5 et ISBN 2-251-00512-9
- Prolégomènes à la philosophie de Platon (déb. VIe s.), trad. J. Trouillard et A.-Ph. Segonds, Les Belles Lettres, coll. "Universités de FRance", 1990, XCIX-145 p.
- Olympiodore d'Alexandrie le Jeune, Commentaire sur le premier Alcibiade (après 527), trad. an. : Olympiodorus, Commentary on the First Alcibiades of Plato, Amsterdam, North-Holland Publishers, 1956.
Études
(par ordre alphabétique)
- (en) Armstrong A. H., (éditeur), Cambridge History of Later Greek and Early Medieval Philosophy, Cambridge University Press, 1970.
- Brun, Jean, Le néoplatonisme, Paris, PUF, coll. "Que sais-je ?", 1988.
- Dörrie, H., "L'âme dans le néo-platonisme", Revue de théologie et de philosophie, Lausanne, 1973, p. 42-60.
- e siècle, Leyde, Brill, 1977.
- Hadot, Ilsetraut, Le problème du néoplatonisme alexandrin. Hiéroclès et Simplicius, 1978.
- Hadot, Ilsetraut, Simplicius, sa vie, son oeuvre, sa survie, Berlin, de Gruyter, 1987.
- Hadot, Pierre, Plotin et la simplicité du regard, Études augustiniennes, 1989.
- (en) Lloyd A. C., The Anatomy of Neoplatonism, Oxford, Clarendon Press, 1990.
- Paolo Mastandrea, Un neoplatonico latino Cornelio Labeone. Testimonianze e frammenti), Leyde, éd. Brill, 1979. Cornelius Labeo est un néoplatonicien du IIIe s.
- Le néoplatonisme (Royaumont, juin 1969), 1971.
- Saffrey, Henri-Dominique, Recherches sur le néoplatonisme après Plotin, Paris, Vrin, 1990, 317 p.
- Saffrey, Henri-Dominique, Recherches sur la tradition platonicienne au Moyen Âge et à la Renaissance, Paris, Vrin, 1987, 255 p.
Notes et références
- ↑ Philon d'Alexandrie, De opificio mundi (De la fabrication du monde) (vers 40), trad. du grec Roger Arnaldez, Cerf, 1961, p. 151-153.
- ↑ W. Burkert, Lore and Science in Ancient Pythagoreanism, trad. de l'all. en an., Cambridge (Mass.), 1972.
- ↑ Aristote, Métaphysique, M, 6, 1080b ; M, 7, 1083b10 ; N, 2, 1090a23.
- ↑ P. Merla,; From Platonism to Neoplatonism, La Haye, 1960. J. M. Dillon, The Middle Platonists, Londres, 1977.
- ↑ Luc Brisson, Platon, Lettres, Garnier-Flammarion, 1987.
- ↑ P. T. Keyser, "Orreries, the Date of Letter II, and Eudorus of Alexandria", Archiv für Geschichte der Philosophie, 80, 1998, p. 241-267
- ↑ Jean-Paul Dumont, Éléments d'histoire de la philosophie antique, Nathan Université, 1993, p. 681.
- ↑ Paolo Mastandrea, Un neoplatonico latino Cornelio Labeone. Testimonianze e frammenti, Leyde, éd. Brill, 1979.
- ↑ J. Bidez, "Le philosophe Jamblique et son école", Revue des études grecques, 32 (1919), p. 29-40.
- ↑ [1]
- ↑ H. J. Blumenthal, "529 and its sequel. What happended to the Academy", Byzantion, 48 (1978), p. 369-385.
- ↑ Les alchimistes grecs, t. IV.1 : Zosime de Panopolis, Les Belles Lettres, 1995, p. XIX. Textes d'Étienne (Stephanos) d'Alexandrie : F. Sherwood Taylor, The alchemical works of Stephanos of Alexandria, Ambix, I, 1937, p. 116-139, II, 1938, p. 39-49. Pour les autres : Collection des anciens alchimistes grecs (CAAG).
- ↑ Olympiodore d'Alexandrie le Jeune, In Platonis Phaedonem, édi. par W. Norvin, 123.3. , 1977, p. 301, en grec.
- ↑ Ruth Majercik, "The Existence-Life-Intellect Triad in Gnosticism and Neoplatonism", Classical Quaterly, 42.2 (1992), p. 475-488.
- ↑ François Masai, Pléthon et le platonisme de Mistra, Les Belles Lettres, 1956.
- ↑ Jean pic de la Mirandole, Discours de la dignité de l'homme (1486), in Œuvres philosophiques, éd. et trad. Olivier Boulnois, Giuseppe Tognon, Paris, PUF, coll. "Épiméthée", 1993, éd. bilingue latin-français pour 2 des textes : Sur la dignité de l'homme ; L'Être et l'Un) ; De la dignité de l'homme, Oratio de hominis dignitate, prés. et trad. Yves Hersant, Paris, L'Éclat, "Philosophie imaginaire", 1993.
- ↑ Serge Hutin, Henry More, Hildesheim, G. Olms, 1966.
- ↑ Platon, Parménide, hypothèse 1 : 137c-142b ; hypothèse 2 : 142b-156e ; hypothèse 3 : 156e-157b.
- ↑ Pierre Hadot, Études de philosophie ancienne, 1998, p. 353-354.
Voir aussi
Articles connexes
- Ammonios Saccas
- école néoplatonicienne d'Alexandrie | école néoplatonicienne d'Athènes | école néoplatonicienne de Rome
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