Papers by mustapha jdahim
NOTE o La calculatrice et le plan comptable général marocain (liste intégrale des comptes) sont a... more NOTE o La calculatrice et le plan comptable général marocain (liste intégrale des comptes) sont autorisés. o L'écriture comptable doit comporter les numéros, les noms des comptes, les montants et un libellé. o Les deux dossiers du sujet sont indépendants. o Les pages 4, 5 et 6 sont à rendre obligatoirement avec la copie. o 0,5 point de la note sur vingt est consacré à la présentation soignée de la copie : éviter les ratures et surcharges, aérer le texte, numéroter les réponses, encadrer les résultats et utiliser la règle pour tracer le journal et les tableaux. Vous vous êtes présenté(e) au concours d'accès à une grande école de commerce. Le responsable pédagogique vous remet une épreuve de comptabilité composée de deux dossiers concernant l'exercice 2009 : Dossier n° 1 : Travaux d'inventaire ; Dossier n° 2 : Analyse comptable. DOSSIER N° 1 : TRAVAUX D'INVENTAIRE L'entreprise « PARFUMS-GLOBE » est spécialisée dans la fabrication et la commercialisation des produits de parfumerie. NS50 الصفحت 2 6 4. Titres État du portefeuille des titres et valeurs de placement (T.V.P). Titre Nombre Prix d'achat unitaire Cours au 31/12/2008 Cours au 31/12/2009 Action LOGO 800 320 300 280 Action AMAR 600 165 150 158 NB : 200 actions AMAR ont été cédées le 16/12/2009 au prix unitaire de 160 DH. Les commissions bancaires se sont élevées à 320 DH (HT). TVA sur les commissions au taux de 10%. L'avis de crédit n° 5432 se rapportant à cette cession n'a pas été enregistré. 5. Provisions pour risques et charges Extrait des balances des comptes avant et après inventaire au 31/12/2009 N° de comptes Intitulés de comptes Soldes avant inventaire Soldes après inventaire Débiteurs Créditeurs Débiteurs Créditeurs 1511 Provisions pour litiges 22 500-1555 Provisions pour charges à répartir sur plusieurs exercices 60 000 90 000 NB : Les deux provisions sont liées à l'exploitation. DOCUMENT N°3 : CHARGES ET PRODUITS À RÉGULARISER Un avoir portant sur une ristourne promise à un client n'a pas encore été établi. Le montant de la ristourne sur la vente des produits finis est estimé à 6 000 DH (HT) ; TVA au taux de 20%. Un intérêt annuel sur emprunt de 18 000 DH (HT), couvrant la période du 01/04/2009 au 31/03/2010, est payable à terme échu le 31/03/2010 ; TVA au taux de 10 %. Des produits finis d'un montant de 35 000 DH (HT) ont été expédiés le 28/12/2009. La facture correspondante sera établie en janvier 2010. TVA au taux de 20%.
Dans la méthode FiFo (première entrée, première sortie) les matières sortent du stock dans l'ordr... more Dans la méthode FiFo (première entrée, première sortie) les matières sortent du stock dans l'ordre où elles sont entrées. 7 C'est quoi le grand livre ? Le grand livre est un document comptable obligatoire qui regroupe tous les comptes de l'entreprise qui figurent au journal. Le grand livre se présente généralement sous forme de fiches classées dans un classeur ou dans un fichier, ou même sur des feuilles amovibles chacune est réservé à un compte. le grand livre est donc formé par l'ensemble des comptes reportés du journal, article par article 8 C'est quoi le passif du bilan ? Le passif du bilan traduit l'origine des ressources que l'entreprise possède et qui ont servit pour le financement de l'actif. Passif interne : Ou ressource interne, il rassemble des fonds appartenant à l'entreprise. Passif externe: Rassemble les dettes de l'entreprise envers des tiers (fournisseurs, dettes fiscales, banques…).
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Comment une élite financière s'arroge le pouvoir absolu par la captation universelle des ressourc... more Comment une élite financière s'arroge le pouvoir absolu par la captation universelle des ressources
Les grands hommes appellent honte le fait de perdre et non celui de tromper pour gagner.
Le « monde de l'entreprise » (selon la formule consacrée), est un monde complexe, qui a ses règle... more Le « monde de l'entreprise » (selon la formule consacrée), est un monde complexe, qui a ses règles, ses références, son vocabulaire… Surtout son vocabulaire, forcément technique ! Lorsqu'il emprunte au marketing, il reste finalement assez compréhensible parce que nous sommes tous des acteurs de la vie économique. Nous sommes tous des consommateurs et les mots « offre », « demande », « part de marché », « publicité » ont, pour chacun de nous, une signification assez concrète (même si l'on commet parfois de petits contresens). Par contre, lorsque ce vocabulaire emprunte à la finance, second pilier de l'économie d'entreprise, les choses deviennent plus compliquées. Il suffit d'écouter parler pendant quelques minutes des banquiers, des analystes financiers, des experts-comptables, des grands patrons, des chroniqueurs économiques… pour se convaincre que, décidément, ces gens-là ne s'expriment pas comme tout le monde. Pas seulement parce que, souvent, ils utilisent un vocabulaire anglais (Price Earning Ratio, cash-flow…), mais aussi, et c'est presque plus frustrant, parce que même le vocabulaire strictement français se réfère à des notions qui, pour beaucoup, restent très abstraites : « fonds de roulement », « capitaux propres », « passif circulant », « marge opérationnelle »… Est-ce à dire qu'il faut être diplômé de Polytechnique ou d'HEC pour s'y retrouver ? Heureusement non. Comme les autres disciplines, qu'il s'agisse de mécanique, de médecine ou de droit, la finance a son propre jargon. Mais derrière son apparence ésotérique, les notions auxquelles il se réfère sont relativement peu complexes. À condition que l'on prenne le temps de les expliquer et de les restituer dans le contexte de la vie concrète de l'entreprise. C'est l'objet de cet ouvrage. Son ambition ? Démystifier, rendre intelligibles et concrets les concepts fondamentaux de la finance d'entreprise. Découvrir que, derrière l'apparente difficulté d'interprétation de données financières, se cache une réalité économique qui, elle, est parfaitement compréhensible. Donner aux praticiens des PME, et singulièrement à leurs patrons, des clés pour « décrypter » le discours des banquiers. Dédramatiser, pour les étudiants, cette discipline un peu rébarbative qu'est l'analyse financière (qu'ils confondent souvent avec la comptabilité…). Permettre enfin aux financiers « occasionnels », qu'ils le soient pour leur plaisir ou par obligation professionnelle (petits investisseurs en bourse, salariés d'entreprise, artisans…), de savoir de quoi il est question quand ils entendent « endettement à court terme », « crédit de restructuration », « Marge Brute d'Autofinancement », « équilibre de bilan » (dont on pense parfois qu'il est réalisé lorsque l'actif égale le passif, ce qui serait donc toujours le cas !). La méthode sera simple. Les questions seront abordées par degré croissant de difficulté et seront illustrées d'exemples très concrets. Cet ouvrage s'inspirant largement d'un cours d'analyse financière à l'intention d'étudiants d'école de management et de 1er cycle universitaire, on y trouvera aussi des exercices pratiques, des cas à résoudre (avec leur solution), de nombreux exemples et quelques « recettes », aussi bien pour juger rapidement la situation financière d'une entreprise, que pour négocier avec son banquier quand on est patron d'une petite PME. Cet ouvrage a aussi ses limites. Il ne prétend pas faire du lecteur un spécialiste de l'analyse financière ou un professionnel de l'évaluation d'entreprise, mais sûrement un bon généraliste. Le dirigeant de PME y découvrira les chiffres que le banquier regarde en priorité… qui ne sont pas les mêmes que ceux que regardent ses clients ou ses fournisseurs. Il pourra aussi repérer plus aisément les clignotants d'alerte dans sa propre entreprise et discuter, presque d'égal à égal, avec son expert-comptable. L'étudiant saura aller plus vite et plus sûrement à l'essentiel. Le candidat au recrutement pourra apprécier la situation financière de son futur employeur. L'investisseur occasionnel pourra exercer un choix plus éclairé… L'information financière n'a jamais été aussi abondante. Mais, pour beaucoup, cette abondance est parfois suspecte : « On peut faire dire ce que l'on veut aux chiffres ! », entend-on souvent dans la bouche de non-professionnels. Ce n'est pas toujours faux, mais, précisément, analyser une entreprise à travers ses bilans, c'est chercher à dévoiler ce que cachent les chiffres bruts, c'est mettre à nu la réalité derrière l'apparence. De même qu'il est facile de redonner l'air du neuf à une voiture d'occasion un peu « fatiguée », en refaisant sa peinture, en changeant les jantes, de même peut-on donner une apparence de solvabilité et de bonne santé financière à une entreprise en déclin : en faisant apparaître un résultat avantageux alors que son exploitation est médiocre, en « gonflant » sa trésorerie au bilan, et bien d'autres techniques encore, toutes parfaitement légales. Dans le jargon des analystes, on désigne ces procédés d'habillage de bilans du joli nom de « window-dressing ». Le terme est assez parlant : il s'agit d'habiller de rideaux neufs une menuiserie vermoulue ! Comme pour la voiture d'occasion, l'amateur se laissera facilement abuser. Un analyste un peu plus éclairé essaiera de gratter sous le vernis, comme le professionnel de la mécanique vérifiera d'abord l'état réel de l'embrayage ou des freins. Il ne s'agit pas de suspecter par principe, en considérant que toute entreprise bien portante serait « un malade qui s'ignore », pour reprendre la formule du Dr Knock ! Il convient par contre de ne jamais se départir d'un certain esprit critique, de faire preuve d'un minimum de rigueur, de toujours considérer le contexte, et, finalement, de poser un diagnostic impartial et dénué d'affectivité. Car rien n'est jamais tout blanc ni tout noir. Puisse chacun en tout cas trouver du plaisir dans cette « quête de la vérité ». 4. Les matériaux non financiers de l'analyse Ils sont de deux ordres. Ceux qui se présentent sous la forme d'une documentation, au sens littéral du terme, et ceux, plus immatériels, qui procèdent du bon sens. 4.1 L'extrait d'immatriculation « K bis » de l'entreprise au Registre du Commerce et des Sociétés (R.C.S.) Chacun peut se le procurer, moyennant une somme modique, auprès du Greffier du Tribunal de Commerce dans la juridiction duquel est établi le Siège social ou même un simple établissement secondaire de l'entreprise concernée. Cet extrait fournit quantité d'informations. On y trouvera notamment : ▶ Sa date d'immatriculation (en général correspondant à celle de la création de la société). ▶ Sa forme juridique. ▶ Ses dirigeants et leur âge (ce qui est moins neutre qu'on ne le pense…). ▶ L'indication selon laquelle l'entreprise est propriétaire ou locataire de son fonds de commerce. ▶ L'activité exercée (en clair). ▶ La date de clôture de l'exercice (déterminante dans les activités saisonnières). ▶ Les principales décisions d'Assemblées Générales (pour les sociétés) : changement d'objet social, de date de clôture d'exercice, de dirigeants, etc. 4.2 Les états d'endettement Ils sont fournis également par le Greffe du Tribunal de Commerce. On y trouve le détail des dettes ayant donné lieu à constitution de garanties sur les biens de l'entreprise, le détail des contrats de crédit-bail, mais aussi, et surtout, des informations sur les éventuels incidents qui auraient émaillé la vie de l'entreprise : retards de paiement auprès des organismes fiscaux et sociaux, publication de protêts, etc. Ensemble des emplois Ensemble des ressources ▶ Selon l'approche patrimoniale, le bilan est une image statique des biens dont l'entreprise est propriétaire (actif) et de la manière dont ils sont financés (passif). Les actifs sont en principe évalués à leur valeur actuelle. Ces deux approches sont complémentaires pour un diagnostic financier d'entreprise. Recensement des avoirs Capitaux propres Recensement des engagements 2 Les documents comptables Mots-clés Compte de résultat, bilan, tableau de flux. Nous examinerons en détail essentiellement les deux documents de base : le compte de résultat et le bilan, qui sont les deux supports principaux de l'analyse. Nous ne ferons référence à certains éléments de l'Annexe qu'en fonction des besoins de l'analyse à partir du chapitre 3. Comme son nom l'indique, le compte de résultat est l'état qui permet de déterminer le résultat de l'exercice, c'est-à-dire de la période, en général un an, qui s'écoule entre deux dates d'arrêté des comptes. On dira par conséquent : « le compte de résultat de l'année 2013 », plutôt que « le compte de résultat au 31 décembre 2013 ». Très schématiquement le compte de résultat : ▶ Additionne les recettes de la période, c'est-à-dire les produits retirés de l'exploitation, de l'activité économique de l'entreprise. ▶ Additionne les dépenses de la même période, c'est-à-dire les charges générées par cette même activité, et correspondant à des consommations. L'achat d'une machine n'est donc pas une charge d'exploitation : contrairement aux achats de matières ou de marchandises, contrairement aux frais généraux, la machine ne sera pas « consommée » dans l'année. C'est un investissement. ▶ Et, par différence, détermine le bénéfice (produits supérieurs aux charges) ou la perte (charges supérieures aux produits). ▶ C'est donc un compte qui présente une vision dynamique de l'exploitation, 3 Les ratios-Les scores Mots-clés Ratio, scores, structure financière. Les analystes et les investisseurs ont recours aux états financiers d'une entreprise pour comprendre son activité et sa situation financière. En général, cela passe par une comparaison chronologique (entre deux dates) pour mesurer les évolutions, ou une comparaison en coupe (avec une ou des entreprises comparables). Ces comparaisons portent sur des ratios financiers qu'il faut savoir calculer et interpréter.
Drafts by mustapha jdahim
Urban jungle Rural life, city life Rural life HI 11325 j Listen to two people talking about where... more Urban jungle Rural life, city life Rural life HI 11325 j Listen to two people talking about where they live. Decide whether they live in ; rural or urban area. Speaker 1: Speaker 2: QUi P2?] Now listen again and make a note of the advantages and disadvantages of rural life that th^ speakers mention.
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Les grands hommes appellent honte le fait de perdre et non celui de tromper pour gagner.
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