Dimitri El Murr
Dimitri El Murr is Professor of Ancient Philosophy at the Ecole Normale Supérieure (Université Paris Sciences et Lettres) and a member of Centre Jean Pépin, UMR 8230. From 2007 to 2017, he was Associate professor of Ancient Philosophy (Maître de conférences) at the University of Paris 1 Panthéon-Sorbonne and a member of the Institut Universitaire de France (2010-2015). He has held visiting appointments at the University of Durham, Brown University, the Università degli Studi di Milano, and St John’s College, Cambridge. His research area is ancient philosophy, especially Socrates, Plato and political Platonism in Antiquity and beyond. He has published many articles on different aspects of Plato’s thought. He is the author of a collection of texts on the philosophy of friendship, with introduction and commentaries (L’Amitié, Paris, Flammarion, 2001, reprinted with corrections in 2018). He co-edited, with A. Brancacci and D. P. Taormina, a collective volume of essays on Plato (Aglaïa. Autour de Platon. Mélanges offerts à Monique Dixsaut, Paris, Vrin, 2010). He has recently edited a volume on the Theaetetus (La Mesure du savoir. Études sur le Théétète, Paris, Vrin, 2013) and coedited, with G. Boys-Stones and Ch. Gill, The Platonic Art of Philosophy, Cambridge University Press, 2013. He also directed a special issue of the Revue française d’histoire des idées politiques (37, 2013) dedicated to the reception of Plato’s political philosophy from the 18th century to the present. His last book is Savoir et gouverner. Essai sur la science politique platonicienne (Paris, Vrin, 2014).
Phone: 0033 (0)1 44 32 30 32
Address: Departement de Philosophie
Ecole Normale Supérieure
45, rue d'Ulm
75015 PARIS - FRANCE
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Books by Dimitri El Murr
« Comprendre un philosophe mieux qu’il ne s’est compris lui-même ». Ce principe célèbre, Kant le formule à l’occasion d’une remarque consacrée à Platon, et c’est à lui qu’il l’applique. C’est aussi le pari que fait cet ouvrage, qui examine l’usage que Kant fait de Platon, distinguant les vraies trouvailles des mauvais procès, mais qui s’intéresse surtout aux parentés conceptuelles qui lient leurs philosophies et qui font qu’elles se répondent sans nécessairement le savoir. Il s’agit donc de lire Platon avec Kant et Kant avec Platon, mais aussi de les lire à la lumière l’un de l’autre, en montrant ce qu’une telle lumière éclaire des angles inédits, des coins d’ombre et des lignes de fuite infinies qui naissent du rapprochement de ces deux figures monumentales de la philosophie.
Ont collaboré à ce volume : J. Benoist, P.J. Brunel, F. Calori, T. Dangel, S. Delcomminette, D. El Murr, F. Fronterotta, L. Guerpillon, C.M. Korsgaard et E. Partene.
gathers 15 original contributions in English, French and Italian by leading scholars in the field of ancient philosophy and classics.
List of contributors :
* Robert ALESSI, maître de conférences en langue et littérature grecques, Université de Poitiers.
* Mauro BONAZZI, professeur en philosophie ancienne et médiévale, Utrecht University.
*Aldo BRANCACCI, professeur émérite de philosophie ancienne, Università di Roma Tor Vergata.
* Douglas CAIRNS, professeur, Chair of Classics, University of Edinburgh.
* Dominique DEMANGE, maître de conférences en philosophie médiévale, Université Paris Nanterre.
* Paul DEMONT, professeur émérite de langue et littérature grecque, Sorbonne Université.
* Dimitri EL MURR, professeur en philosophie ancienne, École Normale Supérieure, Université Paris Sciences et Lettres.
* Isabelle KOCH, maître de conférences en philosophie ancienne, Aix-Marseille Université.
* David KONSTAN, professeur, Department of Classics, New York University.
* Jérôme LAURENT, professeur en philosophie ancienne, Université de Caen Normandie.
* Laurent LAVAUD, professeur en philosophie ancienne, École Normale Supérieure de Lyon.
* Laetitia MONTEILS-LAENG, professeure adjointe, Université de Montréal.
* Pierre PONTIER, maître de conférences en langue et littérature grecque, Sorbonne Université.
* Olivier RENAUT, maître de conférences en philosophie ancienne, Université Paris Nanterre, Institut Universitaire de France.
* Christopher ROWE, professeur émérite, University of Durham.
* Teun TIELEMAN, professeur en philosophie et médecine anciennes, Utrecht University.
* Christelle VEILLARD, maître de conférences en philosophie ancienne, Université Paris Nanterre.
* Francesco VERDE, professeur assistant, Département de philosophie, Università di Roma La Sapienza.
Traduction (avec texte grec en vis-à-vis) et commentaire du Politique de Platon, par Monique Dixsaut et al.
Lecture philosophique suivie du Politique, cet ouvrage entend montrer ce qui fait l’originalité et la profondeur de ce dialogue. Et justifier, du même coup, qu’on le lise à la même hauteur que la République ou les Lois. Car s’il n’y a pas de bonne politique sans un bon politique, quelle influence celui-ci peut-il avoir sur les bipèdes sans plumes que nous sommes, et qui ne sont pas naturellement faits pour vivre ensemble dans une cité? Platon répond en élaborant du politique une figure nouvelle : celle du royal tisserand, soucieux du tissu social et attentif à le préserver de la moindre déchirure, le principal risque étant l’attraction du semblable par le semblable et la haine de ce qui est différent et étranger. Rien n’est donc plus actuel que ce tissage que la science politique platonicienne cherche à produire, grâce auquel la cité, au delà de ses antagonismes naturels, accède à une harmonie garantie par des valeurs partagées.
George Boys-Stones is Professor of Ancient Philosophy at Durham University.
Dimitri El Murr is lecturer in Ancient Philosophy at the University of Paris 1 Panthéon-Sorbonne and Junior member of the institut Universitaire de France.
Christopher Gill is Professor of Ancient ought at the University of Exeter.
Les études figurant dans ce volume examinent, dans une première partie, chacune des trois réponses proposées successivement. Les méandres que Socrate est contraint de parcourir pour réussir à les réfuter appellent des lectures raffinées, et divergentes : on ne peut commenter « objectivement » le Théétète, car il force son lecteur à réfléchir et à prendre parti, il « l’accouche » comme Socrate accouche le jeune Théétète.
Une seconde partie s’attache ensuite à la manière dont le Théétète a été lu et utilisé dans l’Antiquité et au-delà (jusqu’à Montaigne). Il apparaît que les questions soulevées dans la première partie, à propos notamment de la structure aporétique du Dialogue, de la théorie de la perception, du statut du monde sensible, de la possibilité de l’erreur, sont celles-là mêmes qui n’ont cessé de préoccuper les interprètes dans l’Antiquité. En retraçant les grands moments de la réception du Théétète, de ses premiers lecteurs académiciens à Plotin en passant par le commentateur médio-platonicien ou encore par Thrasylle, les contributions rassemblées reconstituent une tradition qu’on a trop souvent circonscrite à la Nouvelle académie sceptique et démontrent que l’héritage du Théétète est aussi riche que complexe.
Ont contribué à ce volume : M. Bonazzi, S. Delcomminette, M. Dixsaut, D. El Murr, M.-A. Gavray, M. L. Gill, J. Gosling, A. Macé, S. Magrin, M. Narcy, Chr. Rowe, D. Sedley, B. Sève, H. Tarrant, F. Teisserenc.
L’importance de son œuvre dans le paysage français et international des études platoniciennes justifie à elle seule le présent recueil, mais celui-ci porte aussi témoignage de l’affection profonde et de la reconnaissance qu’ont voulu lui exprimer ses amis, ses collègues et bon nombre de ses anciens étudiants. Car ce n’est pas seulement l’œuvre de Monique Dixsaut qui a fait de Platon la voix principale du philosopher, c’est aussi son enseignement, lui qui a marqué plusieurs générations d’étudiants et a toujours su rester fidèle à cette règle : lire Platon en philosophe, comme il demande à être lu, c’est en pâtir. Parler de lui ne peut se faire que du dedans, depuis cette passion.
Le nom de la plus éclatante des trois Grâces, Aglaïa, était celui qui convenait le mieux à un volume consacré à Monique Dixsaut et au rayonnement de ses travaux.
La seconde partie de l’ouvrage (p. 47-212) est constituée d’une anthologie de textes, d’Empédocle à Maurice Blanchot. Ces textes sont commentés et regroupés sous cinq rubriques : I- De l’amitié cosmique à l’amitié éthique; II- L’ami, autre soi-même ? III- Amitié, utilité et amour de soi ; IV- Amitié, bonheur et suffisance à soi ; V- Amitié et charité : l’ami ou le prochain ? ; VI- L’ami ou le lointain ? L’anthologie est complétée par un vade-mecum (p. 215-240) comprenant de courtes analyses de notions (telles que agapè, ami du prince, amour-propre et amour de soi, flatterie, franchise, narcissisme ou sympathie) et par une bibliographie (p. 243-249).
Journal issues by Dimitri El Murr
Contributors: A. Sorensen (Univ. Copenhagen), P. Horky (Univ; Durham), A. Bonnemaison (ENS Paris), D. El Murr (ENS Paris), M. Schofield (Univ. Cambridge), M.L. Bartels (Univ. Pisa), R. de Nicolay (ENS-Paris/Princeton), S. Sauvé Meyer (Univ. Pennsylvania), M.-K. Lee (Univ. Colorado, Boulder), K.M. Vogt (Columbia Univ.), S. Marchand (Paris 1 Panthéon-Sorbonne Univ.), V. Arena (UCL London), D. O'Meara (Univ. Fribourg, Switzerland)
Sommaire du numéro :
D. El Murr, « Rousseau lecteur du Politique de Platon »
M. Narcy, « Le Platon libéral de Victor Cousin »
M. Schofield, « Platon à l'époque victorienne contre l'idée de système »
M. Dixsaut, « De l'homme démocratique à l'animal grégaire. De Platon vers Nietzsche, et retour »
M. Maïatsky, « Sauver Platon de ses ennemis... et de lui-même. Platon dans l'Allemagne de l'après-guerre »
M. Lane, « Platon et le développement durable. »
Papers by Dimitri El Murr
Download : https://brill.com/view/journals/phro/68/2/phro.68.issue-2.xml
« Comprendre un philosophe mieux qu’il ne s’est compris lui-même ». Ce principe célèbre, Kant le formule à l’occasion d’une remarque consacrée à Platon, et c’est à lui qu’il l’applique. C’est aussi le pari que fait cet ouvrage, qui examine l’usage que Kant fait de Platon, distinguant les vraies trouvailles des mauvais procès, mais qui s’intéresse surtout aux parentés conceptuelles qui lient leurs philosophies et qui font qu’elles se répondent sans nécessairement le savoir. Il s’agit donc de lire Platon avec Kant et Kant avec Platon, mais aussi de les lire à la lumière l’un de l’autre, en montrant ce qu’une telle lumière éclaire des angles inédits, des coins d’ombre et des lignes de fuite infinies qui naissent du rapprochement de ces deux figures monumentales de la philosophie.
Ont collaboré à ce volume : J. Benoist, P.J. Brunel, F. Calori, T. Dangel, S. Delcomminette, D. El Murr, F. Fronterotta, L. Guerpillon, C.M. Korsgaard et E. Partene.
gathers 15 original contributions in English, French and Italian by leading scholars in the field of ancient philosophy and classics.
List of contributors :
* Robert ALESSI, maître de conférences en langue et littérature grecques, Université de Poitiers.
* Mauro BONAZZI, professeur en philosophie ancienne et médiévale, Utrecht University.
*Aldo BRANCACCI, professeur émérite de philosophie ancienne, Università di Roma Tor Vergata.
* Douglas CAIRNS, professeur, Chair of Classics, University of Edinburgh.
* Dominique DEMANGE, maître de conférences en philosophie médiévale, Université Paris Nanterre.
* Paul DEMONT, professeur émérite de langue et littérature grecque, Sorbonne Université.
* Dimitri EL MURR, professeur en philosophie ancienne, École Normale Supérieure, Université Paris Sciences et Lettres.
* Isabelle KOCH, maître de conférences en philosophie ancienne, Aix-Marseille Université.
* David KONSTAN, professeur, Department of Classics, New York University.
* Jérôme LAURENT, professeur en philosophie ancienne, Université de Caen Normandie.
* Laurent LAVAUD, professeur en philosophie ancienne, École Normale Supérieure de Lyon.
* Laetitia MONTEILS-LAENG, professeure adjointe, Université de Montréal.
* Pierre PONTIER, maître de conférences en langue et littérature grecque, Sorbonne Université.
* Olivier RENAUT, maître de conférences en philosophie ancienne, Université Paris Nanterre, Institut Universitaire de France.
* Christopher ROWE, professeur émérite, University of Durham.
* Teun TIELEMAN, professeur en philosophie et médecine anciennes, Utrecht University.
* Christelle VEILLARD, maître de conférences en philosophie ancienne, Université Paris Nanterre.
* Francesco VERDE, professeur assistant, Département de philosophie, Università di Roma La Sapienza.
Traduction (avec texte grec en vis-à-vis) et commentaire du Politique de Platon, par Monique Dixsaut et al.
Lecture philosophique suivie du Politique, cet ouvrage entend montrer ce qui fait l’originalité et la profondeur de ce dialogue. Et justifier, du même coup, qu’on le lise à la même hauteur que la République ou les Lois. Car s’il n’y a pas de bonne politique sans un bon politique, quelle influence celui-ci peut-il avoir sur les bipèdes sans plumes que nous sommes, et qui ne sont pas naturellement faits pour vivre ensemble dans une cité? Platon répond en élaborant du politique une figure nouvelle : celle du royal tisserand, soucieux du tissu social et attentif à le préserver de la moindre déchirure, le principal risque étant l’attraction du semblable par le semblable et la haine de ce qui est différent et étranger. Rien n’est donc plus actuel que ce tissage que la science politique platonicienne cherche à produire, grâce auquel la cité, au delà de ses antagonismes naturels, accède à une harmonie garantie par des valeurs partagées.
George Boys-Stones is Professor of Ancient Philosophy at Durham University.
Dimitri El Murr is lecturer in Ancient Philosophy at the University of Paris 1 Panthéon-Sorbonne and Junior member of the institut Universitaire de France.
Christopher Gill is Professor of Ancient ought at the University of Exeter.
Les études figurant dans ce volume examinent, dans une première partie, chacune des trois réponses proposées successivement. Les méandres que Socrate est contraint de parcourir pour réussir à les réfuter appellent des lectures raffinées, et divergentes : on ne peut commenter « objectivement » le Théétète, car il force son lecteur à réfléchir et à prendre parti, il « l’accouche » comme Socrate accouche le jeune Théétète.
Une seconde partie s’attache ensuite à la manière dont le Théétète a été lu et utilisé dans l’Antiquité et au-delà (jusqu’à Montaigne). Il apparaît que les questions soulevées dans la première partie, à propos notamment de la structure aporétique du Dialogue, de la théorie de la perception, du statut du monde sensible, de la possibilité de l’erreur, sont celles-là mêmes qui n’ont cessé de préoccuper les interprètes dans l’Antiquité. En retraçant les grands moments de la réception du Théétète, de ses premiers lecteurs académiciens à Plotin en passant par le commentateur médio-platonicien ou encore par Thrasylle, les contributions rassemblées reconstituent une tradition qu’on a trop souvent circonscrite à la Nouvelle académie sceptique et démontrent que l’héritage du Théétète est aussi riche que complexe.
Ont contribué à ce volume : M. Bonazzi, S. Delcomminette, M. Dixsaut, D. El Murr, M.-A. Gavray, M. L. Gill, J. Gosling, A. Macé, S. Magrin, M. Narcy, Chr. Rowe, D. Sedley, B. Sève, H. Tarrant, F. Teisserenc.
L’importance de son œuvre dans le paysage français et international des études platoniciennes justifie à elle seule le présent recueil, mais celui-ci porte aussi témoignage de l’affection profonde et de la reconnaissance qu’ont voulu lui exprimer ses amis, ses collègues et bon nombre de ses anciens étudiants. Car ce n’est pas seulement l’œuvre de Monique Dixsaut qui a fait de Platon la voix principale du philosopher, c’est aussi son enseignement, lui qui a marqué plusieurs générations d’étudiants et a toujours su rester fidèle à cette règle : lire Platon en philosophe, comme il demande à être lu, c’est en pâtir. Parler de lui ne peut se faire que du dedans, depuis cette passion.
Le nom de la plus éclatante des trois Grâces, Aglaïa, était celui qui convenait le mieux à un volume consacré à Monique Dixsaut et au rayonnement de ses travaux.
La seconde partie de l’ouvrage (p. 47-212) est constituée d’une anthologie de textes, d’Empédocle à Maurice Blanchot. Ces textes sont commentés et regroupés sous cinq rubriques : I- De l’amitié cosmique à l’amitié éthique; II- L’ami, autre soi-même ? III- Amitié, utilité et amour de soi ; IV- Amitié, bonheur et suffisance à soi ; V- Amitié et charité : l’ami ou le prochain ? ; VI- L’ami ou le lointain ? L’anthologie est complétée par un vade-mecum (p. 215-240) comprenant de courtes analyses de notions (telles que agapè, ami du prince, amour-propre et amour de soi, flatterie, franchise, narcissisme ou sympathie) et par une bibliographie (p. 243-249).
Contributors: A. Sorensen (Univ. Copenhagen), P. Horky (Univ; Durham), A. Bonnemaison (ENS Paris), D. El Murr (ENS Paris), M. Schofield (Univ. Cambridge), M.L. Bartels (Univ. Pisa), R. de Nicolay (ENS-Paris/Princeton), S. Sauvé Meyer (Univ. Pennsylvania), M.-K. Lee (Univ. Colorado, Boulder), K.M. Vogt (Columbia Univ.), S. Marchand (Paris 1 Panthéon-Sorbonne Univ.), V. Arena (UCL London), D. O'Meara (Univ. Fribourg, Switzerland)
Sommaire du numéro :
D. El Murr, « Rousseau lecteur du Politique de Platon »
M. Narcy, « Le Platon libéral de Victor Cousin »
M. Schofield, « Platon à l'époque victorienne contre l'idée de système »
M. Dixsaut, « De l'homme démocratique à l'animal grégaire. De Platon vers Nietzsche, et retour »
M. Maïatsky, « Sauver Platon de ses ennemis... et de lui-même. Platon dans l'Allemagne de l'après-guerre »
M. Lane, « Platon et le développement durable. »
Download : https://brill.com/view/journals/phro/68/2/phro.68.issue-2.xml
Une logique stérile, une dialectique artificielle, voilà ce que semble mettre en œuvre la division platonicienne, deux défauts majeurs qui n’ont pas échappé à la plupart des commentateurs des derniers dialogues. En voici deux exemples, choisis parce qu’ils ont le mérite de dire tout haut ce que la plupart des autres pensent tout bas.
URL : http://www.laviedesidees.fr/Socrate-l-inculpe.html
Les responsables de ce dossier (D. El Murr et P.-M. Morel) invitent toute personne intéressée à adresser un résumé de deux pages exclusivement à l’adresse : [email protected], avant le 14 février 2023 (remise des articles pour le 30 septembre 2023). Les auteurs seront ensuite invités à soumettre à la même adresse une première version de leur manuscrit (environ 45 000 signes espaces compris) pour évaluation par les responsables (en simple aveugle) et par un expert externe (en double aveugle).
https://www.puf.com/Collections/Revue_de_métaphysique_et_de_morale
The aim is to cover as much historical ground as possible, taking into account a wide range of philosophical traditions, from the Presocratics to Hellenistic philosophers and late Neoplatonists, with a special focus on the different conceptions these traditions develop of the legislator, from a critical as well as positive point of view. Although Plato’s Republic and Laws are the subject of a particular focus during this conference, other key texts or traditions are considered such as the Dissoi logoi, Aristotle’s Politics, Cicero, the Stoics, the Sceptics and the Emperor Julian.
URL: www.ens.fr (rubrique agenda)
Deadline is 1st september 2018.
Papers published in Methexis, Rivista internazionale di filosofia antica / International Journal for Ancient Philosophy (Leiden, Brill) vol. 27, 2015.
« Desiring the Good in Plato », a year-long research project jointly conducted by Katja Maria Vogt (Columbia University) and Dimitri El Murr (Université Paris I Panthéon-Sorbonne)
Project funded by the Columbia-Paris Alliance Program and Paris 1 Panthéon-Sorbonne University.