Papers by Géraldine CAZALS
"Belles Lettres, Inscriptions et Sciences à la Renaissance. Guillaume de La Perrière (1499-1554) ... more "Belles Lettres, Inscriptions et Sciences à la Renaissance. Guillaume de La Perrière (1499-1554) et les savoirs", Mémoire de l'Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, vol. 183, 2022, p. 121-132.
Comprendre les textes de la Renaissance Ateliers de néo-latin et de paléographie moderne 23 et 24... more Comprendre les textes de la Renaissance Ateliers de néo-latin et de paléographie moderne 23 et 24 juin 2022 Salle 2.
Ce colloque s'inscrit dans une série de manifestations autour du cinquième centenaire de la naiss... more Ce colloque s'inscrit dans une série de manifestations autour du cinquième centenaire de la naissance de Jacques Cujas (1522-1590), dirigée par Xavier Prévost et Alexandra Gottely et placée sous l'autorité des comités suivants.
Cahiers historiques de Annales de droit, 4, 2021: Des juristes et des œuvres. Droit et littérature en Normandie (xie-xviiie siècle) Sous la direction de Géraldine Cazals
"Avignon, mos Italicus, mos Gallicus ou mos Tholosanus ?", dans L'Humanisme juridique. Aspects d'... more "Avignon, mos Italicus, mos Gallicus ou mos Tholosanus ?", dans L'Humanisme juridique. Aspects d'un phénomène intellectuel européen, 2022, p. 181-212
"Un chrétien écrivant à princesse chrétienne et des philosophes vollantz, Guillaume de La Perriè... more "Un chrétien écrivant à princesse chrétienne et des philosophes vollantz, Guillaume de La Perrière et le réseau de Marguerite de Navarre", dans Le réseau de Marguerite de Navarre, Genève, Droz, 2022, p. 359-385
« Molinaeus noster. Charles Du Moulin (1500-1566), prince des juristes, praticien engagé et fonda... more « Molinaeus noster. Charles Du Moulin (1500-1566), prince des juristes, praticien engagé et fondateur de l’école juridique française. Un modèle de jurisconsulte dans la France du XIXe siècle », dans Liber amicorum. Mélanges réunis en hommage au professeur Jean-Louis Thireau, Revue d’histoire des facultés de droit et de la culture juridique, 2019, hors série, p. 57-100
"Longeon, Papon et les juristes", Claude Longeon, l'humanisme forézien et la Renaissance européen... more "Longeon, Papon et les juristes", Claude Longeon, l'humanisme forézien et la Renaissance européenne. RHR, 90, 2020/1, p. 17-37
Mens emblematica, mens juridica, mens anthropologica. Réflexions autour de la contribution des ju... more Mens emblematica, mens juridica, mens anthropologica. Réflexions autour de la contribution des jurisconsultes humanistes auteurs d'emblèmes à l'anthropologie (premier XVIe siècle). Clio@Themis n. 16, juin 2019.
Cet article se propose d'analyser la place prise par les savoirs et les questionnements intéressant l'anthropologie dans le cadre des travaux liés au développement de l'emblématique dans la première moitié du XVI e siècle. Via l'étude de divers emblèmes composés notamment par André Alciat, Guillaume de La Perrière, Barthélemy Aneau ou Pierre Coustau, il s'attache à démontrer non seulement les liens entre emblématique, étude des rites antiques et analyse de différents phénomènes sociaux et humains, mais aussi le développement dans ce cadre de perspectives intellectuelles qui ne sont pas étrangères à l'anthropologie contemporaine. Summary : This article aims to analyze the place taken by knewledges and questions concerning anthropology in works related to the development of emblematic in the first half of the sixteenth century. Through the study of various emblems composed by André Alciat, Guillaume de La Perrière, Barthélemy Aneau and Pierre Coustau, he endeavors to demonstrate the links between emblematic, the study of ancient rites and the analyses of different social and human phenomena, and also the development, in this context, of intellectual perspectives that are not foreign to contemporary anthropology.
Les juristes humanistes de la Renaissance, des anthropologues en puissance ? Réflexions autour de... more Les juristes humanistes de la Renaissance, des anthropologues en puissance ? Réflexions autour de quelques études (principalement françaises) de cas Résumé : Interrogeant le rôle joué par les juristes -principalement français -dans l'histoire de l'anthropologie à la Renaissance, cet article met en avant la manière dont les juristes humanistes se sont trouvés, par leur travail philologique et historique, au coeur d'une immense oeuvre de collecte de savoirs, et à quel point les progrès de la cosmographie et du comparatisme juridique ont permis chez eux le développement de réflexions essentielles au plan anthropologique. Ce faisant, il s'agit de mettre en lumière non seulement l'apport particulier qui est le leur en matière anthropologique, mais aussi de questionner l'inscription du développement de l'anthropologie à la Renaissance dans une épistémè relevant du champ juridique.
L'histoire de la pensée juridique du XVI e siècle connaît en France, depuis quelques années, d'im... more L'histoire de la pensée juridique du XVI e siècle connaît en France, depuis quelques années, d'importants développements, et même, osons le mot, une véritable renaissance tant, depuis les années 2000, les travaux consacrés par les historiens du droit français à cette période se sont développés. Aussi cet article se penche-t-il sur cette actualité pour faire un bilan des perspectives et enjeux qui peuvent être les siens. Le premier constat qu'il dresse est celui d'un épanouissement des études portant sur les doctrines, via l'analyse des contributions personnelles d'un certain nombre d'auteurs et d'acteurs de la période. Le second porte sur un élargissement de la focale de départ qui permet une prise en considération grandissante des contextes comme de la matérialité des textes, dans le cadre d'approches désormais pluridisciplinaires. L'ensemble concourt ainsi au développement d'une histoire critique de la pensée juridique du XVI e siècle français, laquelle permet de resituer le droit dans un espace culturel plus vaste et de le faire sortir de l'isolement dans lequel divers clivages contemporains ont pu le placer. Isolement disciplinaire comme isolement nationaliste notamment.
G. Cazals, « Du droit et des coutumes dans les Arrests et Plaidoyez de Claude Expilly (1561-1636)... more G. Cazals, « Du droit et des coutumes dans les Arrests et Plaidoyez de Claude Expilly (1561-1636) », dans Les décisionnaires et la coutume : contribution à la fabrique de la norme. Actes du colloque organisé à l’Université de Toulouse, 9 et 10 juin 2016, dir. Géraldine Cazals et Florent Garnier, Toulouse, Presses de l’université de Toulouse 1 Capitole, 2017, p. 245-319 (C-ACTN ; COS).
G. Cazals, « "Le voilà dans l’Éthiopie" De l’ailleurs dans les plaidoyers de la Renaissance », da... more G. Cazals, « "Le voilà dans l’Éthiopie" De l’ailleurs dans les plaidoyers de la Renaissance », dans Les recueils de Plaidoyez à la Renaissance entre droit et littérature. Actes du colloque organisé à Avignon, 5-6 juin 2014, Genève, Librairie Droz, dir. Géraldine Cazals et Stéphan Geonget, Genève, Librairie Droz, 2018, p. 187-219
« Le Theatre des Bons Engins de Guillaume de La Perrière : une théâtrale et opportune illustratio... more « Le Theatre des Bons Engins de Guillaume de La Perrière : une théâtrale et opportune illustration du renouveau du stoïcisme à la Renaissance », Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 2015, p. 271-304 (ACL)
G. Cazals, "Recueil d’arrests notables (Collection of Important Cases) 1556 Jean PAPON (1507-1590... more G. Cazals, "Recueil d’arrests notables (Collection of Important Cases) 1556 Jean PAPON (1507-1590)", in The Formation and Transmission of Western Legal Culture. 150 Books that Made the Law in the Age of Printing, S. Dauchy, G. Martyn, A. Musson, H. Pihlajamäki, A. Wijffels (Eds.), Springer, 2016.
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Papers by Géraldine CAZALS
Cet article se propose d'analyser la place prise par les savoirs et les questionnements intéressant l'anthropologie dans le cadre des travaux liés au développement de l'emblématique dans la première moitié du XVI e siècle. Via l'étude de divers emblèmes composés notamment par André Alciat, Guillaume de La Perrière, Barthélemy Aneau ou Pierre Coustau, il s'attache à démontrer non seulement les liens entre emblématique, étude des rites antiques et analyse de différents phénomènes sociaux et humains, mais aussi le développement dans ce cadre de perspectives intellectuelles qui ne sont pas étrangères à l'anthropologie contemporaine. Summary : This article aims to analyze the place taken by knewledges and questions concerning anthropology in works related to the development of emblematic in the first half of the sixteenth century. Through the study of various emblems composed by André Alciat, Guillaume de La Perrière, Barthélemy Aneau and Pierre Coustau, he endeavors to demonstrate the links between emblematic, the study of ancient rites and the analyses of different social and human phenomena, and also the development, in this context, of intellectual perspectives that are not foreign to contemporary anthropology.
http://cedre.univ-psl.fr/ressourcesnumeriques/bibliotheque-republicaine/le-miroir-politicque/
Cet article se propose d'analyser la place prise par les savoirs et les questionnements intéressant l'anthropologie dans le cadre des travaux liés au développement de l'emblématique dans la première moitié du XVI e siècle. Via l'étude de divers emblèmes composés notamment par André Alciat, Guillaume de La Perrière, Barthélemy Aneau ou Pierre Coustau, il s'attache à démontrer non seulement les liens entre emblématique, étude des rites antiques et analyse de différents phénomènes sociaux et humains, mais aussi le développement dans ce cadre de perspectives intellectuelles qui ne sont pas étrangères à l'anthropologie contemporaine. Summary : This article aims to analyze the place taken by knewledges and questions concerning anthropology in works related to the development of emblematic in the first half of the sixteenth century. Through the study of various emblems composed by André Alciat, Guillaume de La Perrière, Barthélemy Aneau and Pierre Coustau, he endeavors to demonstrate the links between emblematic, the study of ancient rites and the analyses of different social and human phenomena, and also the development, in this context, of intellectual perspectives that are not foreign to contemporary anthropology.
http://cedre.univ-psl.fr/ressourcesnumeriques/bibliotheque-republicaine/le-miroir-politicque/
Droit et littérature en Normandie (xie-xviiie siècle) Sous la direction de Géraldine Cazals
Vol. 1. - Synthèse des activités scientifiques. Recueil d'articles. 172 p.
Vol. 2. - Mémoire inédit: L'arrestographie flamande. Jurisprudence et culture juridique à la fin de l'Ancien Régime (1668-1789), 229 p.
Thursday, June 24, 2021
4e rencontres doctorales pluridisciplinaires des doctorants du CESR.
influences d’ici et d’ailleurs. Journée d’étude – 22 novembre 2019. CUREJ - Université de Rouen-Normandie – Institut universitaire de France. APPEL A COMMUNICATIONS
Journée d’étude
Université de Rouen, 21 novembre 2017
Dossier thématique à paraître dans la revue Clio@Themis, janvier 2019
Parallèlement à sa carrière de juriste, Guy Coquille mène une carrière politique : conseil- ler de la ville dès 1560, il devient le premier échevin de Nevers entre 1568 et 1570. Il est élu député du tiers état du Nivernais aux États généraux qui se tiennent à Orléans en 1560 et 1561 et à Blois en 1576 et 1588.
Gallican, monarchiste défenseur d’une monarchie tempérée, attaché aux corps intermé- diaires et aux institutions locales, Guy Coquille laisse une œuvre doctrinale essentielle, consacrée à la fois au droit privé et au droit public. Auteur gallican, Coquille est aussi auteur coutumier. Défenseur des droits du duché de Nevers, il l’est aussi de ceux du roi catholique. Avocat humaniste, il est auteur de poésies.
Autant de centres d’intérêt chez ce grand juriste qui permettent, à l’occasion de cet an- niversaire, de réunir autour de lui de nombreux spécialistes de différentes disciplines : historiens, historiens du droit, historiens des idées politiques, historiens des lettres et tous ceux qui s’intéressent à son œuvre, son environnement ou son influence.
Le premier lundi de chaque mois, de 13h à 16h, salle 15, 54 boulevard boulevard Raspail.
Jeudi 14 novembre 2019 à 14h Salle Amériques - MISHA
Institut d’histoire du droit, Université Paris II Panthéon-Assas, 4 rue Valette, 75005 Paris, 3e étage
Salle des pas perdus de la cour d'appel de Bordeaux. 10 mai 2019. 18h30. Rencontre tout public
Colloque international
Université de Bordeaux
7 et 8 mars 2019
Malgré les mutations fondamentales qui se déploient entre 1789 et 1804, pour de nombreux auteurs des XIXe et XXe siècles, le seizième siècle apparaît comme l’époque la plus brillante de l’histoire de la jurisprudence moderne, et les œuvres comme les auteurs d’Ancien Régime continuent de jouer dans la pensée juridique contemporaine un rôle non négligeable.
Cette importance du XVIe siècle, période charnière de la Renaissance en France, apparaît dans un certain nombre de déclarations fameuses : Savigny assure ainsi que c’est alors que « la science du droit eut véritablement le grand et noble caractère, qu’elle n’a jamais retrouvé depuis » ; Bardoux y voit l’« époque doctrinale » par excellence ; Ginoulhiac une époque de législation, comme une époque de science, et le Répertoire Dalloz le temps du « grand essor de l’esprit juriste français ». Aux yeux de nombreux juristes, jusqu’à nos jours, Cujas, Doneau, Le Douaren, Du Moulin et quelques autres apparaissent durablement comme de « grands jurisconsultes », « fondateurs de la jurisprudence française ». Ceux qu’inspire dès le XIXe siècle la méthode historique dans la science du droit n’hésitent pas à mobiliser dans leurs travaux une liste importante d’autorités d’Ancien Régime : Ricard, Furgole, Bourjon, Lebrun, Coquille, Prévost de La Janès, Pothier, Domat comme, bien sûr, Du Moulin. Tandis que la jurisprudence consacre encore certaines de leurs thèses, la doctrine s’efforce de « renouer la chaîne des temps » avec le droit romain et l’Ancien Régime, occultant au passage certaines innovations de la codification napoléonienne. Certes, les progrès de l’histoire et le développement d’un esprit de libre examen promu dès le milieu du XIXe siècle contrecarrent quelque peu ces perspectives. Tandis que l’« école des praticiens » en appelle à une évolution du raisonnement et du statut des sources de la réflexion juridique, le poids des autorités traditionnelles se heurte au développement d’un esprit critique et à une prise en considération plus grande des décisions de justice. Si l’autorité des « vieux auteurs » reste centrale aux yeux de divers auteurs, offrant « nourriture solide » et « mâles instructions », leurs œuvres peuvent désormais apparaître comme constituant un « lourd et embarrassant fardeau » à ne pas mettre entre les mains de tous ceux qui étudient le droit. De fait, dans la seconde moitié du XIXe siècle, l’usage qui est fait de leurs œuvres se révèle plus parcimonieuse. Certains civilistes se méfient de l’élément historique en matière juridique et, leurs œuvres n’étant plus réimprimées, l’audience des jurisconsultes de la Renaissance se réduit.
À la fin du XIXe siècle, avec l’érection de l’histoire du droit en discipline autonome voire en science « sérieuse », dans le cadre d’une étude « minutieuse » des documents juridiques du passé, l’attention portée à l’histoire de la pensée juridique du XVIe siècle et aux auteurs de la période se maintient cependant. Tandis que certaines institutions de la Renaissance française font l’objet de scrupuleuses études, telles les universités, les vies des anciens jurisconsultes et leurs doctrines sont mobilisées. Le tout n’est pas sans contribuer à la révélation d’une histoire juridique à la gloire de diverses formes de particularisme nationaliste, ainsi qu’une certaine conception du progrès juridique et social. Les cours, ouvrages et traités consacrés au Code civil qui continuent de s’intéresser à ces questions comme les travaux plus spécifiquement dédiés à l’histoire du droit servent l’écriture d’un récit national à la gloire d’une école juridique et d’un « esprit juridique » français (F. Audren, J.-L. Halpérin). L’importance accordée à un auteur comme Du Moulin le révèle : tandis que ses travaux si essentiels sur les coutumes contribuent à mettre en lumière l’identité juridique nationale dont le Code civil est l’expression aboutie, il est embrigadé, avec bien d’autres jurisconsultes humanistes, « dans un discours historiographique téléologique dont la vocation essentielle demeure de paver la voie à la formation d’un droit national français qui culmine dans l’ère des codes » (A. Wijffels). Il contribue à la mise en place d’un schéma d’interprétation de la construction de l’État et du droit français qui fait la part belle à une vision tout aussi évolutionniste que continuiste (J.-L. Halpérin).
Ces perspectives téléologiques et utilitaristes se poursuivront dans la plupart des grands manuels d’histoire du droit du début du XXe siècle, lesquels insistent sur la fécondité de cette école juridique française dont sont sortis tant d’hommes illustres, à commencer par cet « homme de génie » que fut Du Moulin, sur l’importance des institutions de l’époque (la coutume…), et, au fond, sur l’importance d’un XVIe siècle qui ne cesse d’apparaître non seulement comme « l’âge d'or de la jurisprudence en France », celui de « l’immense travail de la rédaction des coutumes », mais aussi celui de « toutes les grandes ordonnances », et celui d’une pléiade de jurisconsultes illustres, « tels par leur savoir et leur sens juridique, qu’on peut les mettre à côté de ceux de la grande époque romaine ». C’est bien de là que « notre droit moderne est sorti » et là qu’eut lieu « le grand essor de l’esprit juriste français ».
C’est toute l’importance de cette période charnière de la Renaissance dans l’histoire de la pensée juridique française et européenne que ce colloque entend interroger.
Bibliographie indicative :
Audren F., « Ecrire l’histoire du droit français : science du politique, histoire et géographie chez Henri Klimrath (1807-1837), dans Histoire de l'histoire du droit, dir. J. Poumarède, Études d’histoire du droit et des idées politiques, n° 10/2006, p. 113-131.
Audren F., Halpérin J.-L., La culture juridique française. Entre mythes et réalités (XIXe-XXe siècles), Paris, CNRS éditions, 2013.
Barenot P. N., Hakim N., « La jurisprudence et la doctrine : retour sur une relation clef de la pensée juridique française contemporaine », Quaderni fiorientini per la storia del pensiero giuridico moderno, 41, 2012, p. 251-297.
Cazals G., « Molinaeus noster. Charles Du Moulin (1500-1566), prince des juristes, praticien engagé et fondateur de l’école juridique française. Un modèle de jurisconsulte dans la France du XIXe siècle », dans Mélanges en l’honneur de Jean-Louis Thireau, dir. Anne Dobigny-Reverso, Xavier Prévost et Nicolas Warembourg, à paraître.
Cherfouh F., Hakim N, « L’histoire de la pensée juridique contemporaine : hétérogénéité et expansion », dans L’Histoire du droit en France. Nouvelles tendances, nouveaux territoires, Bernard d’Alteroche et Jacques Krynen (dir.), éd. Garnier, 2014, p. 117-143.
Fergusson, Wallace K., La Renaissance dans la pensée historique (1950), rééd. Paris, Payot, 2009.
Hakim N., « Continuità o rottura nella storia del pensiero giuridico ? Esegesi, transtestualità e positivismo legalistico del Cours de Code Napoléon di Charles Demolombe », Historia et Ius, Rivista di storia giuridica dell’età medievale e moderna, www.historiaetius.eu - 12/2017 - paper 2 (version italienne d’un article à paraître en français dans Mélanges en l’honneur de Jean-Louis Thireau, Mare&Martin, 2018).
Halpérin J.-L., « Est-il temps de déconstruire les mythes de l’histoire du droit français ? », Clio@Themis, 5, 2012, en ligne.
Halpérin J.-L., « La lecture de Pothier par la doctrine du XIXe siècle », dans Robert-Joseph Pothier, d’hier à aujourd’hui, dir. J. Monéger, J-L. Sourioux et A. Terrasson de Fougères, Paris, 2001, p. 65-75.
Jouanjan O. (dir.), « L’esprit de l’école historique du droit », Annales de la Faculté de droit de Strasbourg, nouvelle série, n°7, 2004.
Jouanjan O. Une histoire de la pensée juridique en Allemagne (1800-1918), Paris, PUF, 2005.
Sturmell P., « L’école historique française du droit a-t-elle existé ? », Rechtsgeschichte : Zeitschrift des Max-Planck-Instituts für Europäische Rechtsgeschichte, 2002, p. 90-121.
Wijffels A., « Le ius commune européen : ‘‘harang rouge’’ de l’approche comparative des traditions juridiques anglaise et française », Clio@Themis, 5, 2012, en ligne.
Organisateurs :
Géraldine Cazals : [email protected]
Nader Hakim : [email protected]